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Questions pédagogiques

Aujourd’hui, tout le monde est conscient de la dégradation et du recul de système éducatif au Maroc. Quelles en sont les causes et comment peut on y remédier?

Une méthode efficace de préparer ses examens

 

Comment faire des fiches de rvision 3 728

Pour réviser, une des meilleures méthodes est encore de faire ses propres fiches de révisions. En effet, cela vous permet de relire vos cours, d'en sortir les informations les plus importantes et de les noter. Faire des fiches de révisions, c'est déjà commencer à réviser efficacement puisqu'en notant les idées importantes du cours, vous commencez déjà à le mémoriser !

Pas facile de faire une fiche de révision ! Et pourtant, à l'approche des examens, une fiche de révision peut s'avérer très utile pour gagner du temps et bien apprendre ses cours. digiSchool média vous donne 3 étapes pour réussir vos fiches de révisions.

Ne retenir que l'essentiel

Pour faire une bonne fiche de révision, il faut commencer par trier ses cours. Distinguez un point précis du cours que vous pourrez synthétiser. Par exemple, une liste de dates ou de définitions à apprendre par coeur. Cela peut aussi être une démonstration mathématique qui risque de tomber à l'examen, une compilation d'informations sur un auteur... Bref, retenez cette formule simple : une fiche de révision = un sujet.

Car le principal écueil dans lequel les étudiants tombent régulièrement quand ils préparent leurs examens, c'est de raisonner uniquement sur l'ordre donné par le professeur durant le cours. Sachez que pour faire vos fiches de révisions, vous n'êtes pas obligé de garder la même structure ! Au contraire, lire son cours et ses fiches de révisions doivent être deux manières de travailler complémentaires !

Rédiger une fiche de révision

L'important dans une fiche de révision, c'est qu'elle soit CLAIRE ! Elle doit compiler des idées-clés et vous permettre de vous remémorer et apprendre plus en détail un cours. Pour cela :

Notez en haut le nom de la matière et le semestre concerné (toujours pratique, surtout si vous souhaitez les conserver par la suite) ;

Numérotez vos fiches de révisions par matière, cela permet de les classer ;

Indiquez un titre clair à votre fiche de révision ;

Dans le corps de la fiche, évitez de rédiger des phrases, voire des paragraphes entiers. Essayez de rester le plus synthétique possible, et surtout lisible ;

Et, surtout, n'oubliez pas que l'un des intérêts de la fiche de révision est de gagner du temps ! Alors, pas la peine d'y passer 3 semaines non plus...

Combinées au planning de révisions, les fiches de révisions prennent alors tout leur sens. En effet, tout cet ensemble de techniques n'a comme seul intérêt que de faciliter et rendre plus efficace vos révisions. Elles sont donc à utiliser sans modération et à perfectionner. N'hésitez pas, par exemple, à ajouter une touche personnelle à une fiche de révision.

Une méthode efficace de préparer ses examens

Ceci dit, l'un des avantages d'une fiche de révision, c'est qu'elle est elle-même utile pour préparer ses examens. En effet, si vous êtes capable de faire des fiches de révisions bien structurées, sur les thématiques essentielles de vos cours, c'est que vous avez déjà du recul sur vos cours.

Ensuite, il y a l'intérêt et de pouvoir alléger ses révisions, en s'extirpant du format "100 pages de cours écrites en tout petit", qui décourage à vue d'oeil ! Pour toutes ces raisons, les fiches de révision sont un outil indispensable à la préparation de ses examens et peut payer à long terme.

 

https://www.digischool.fr/methodologie/rediger-une-fiche-de-revision-en-3-etapes-2493.php

 

Comment rendre les devoirs agréables

Enseignement

Les devoirs ne sont pas nécessairement un moment pénible, vous pouvez les transformer pour les rendre agréables et productifs. Comme pour toute activité, votre enfant fera mieux ses devoirs s’il est motivé. Lui dire que c’est nécessaire pour sa vie plus tard ne suffit en général pas à le faire travailler sérieusement, il est encore trop jeune et immature pour se dire que travailler aujourd’hui l’aidera dans sa vie d’adulte.

;;;;;• Motiver les enfants à travailler sérieusement et consciencieusement

Ce que vous pouvez faire en revanche, c’est le motiver à être plus sérieux et consciencieux avec ses devoirs. Pour cela, utilisez le compliment descriptif, qui est une technique qui vous permettra de remarquer tous les petits pas dans la bonne direction, même si ce n’est pas encore à la hauteur de vos attentes. Remarquez tout ce qui est OK, et faites le savoir à votre enfant par une phrase simple et factuelle. Par exemple : « Sur les cinq phrases que tu as écrites, quatre commencent par une majuscule. » ou encore « Tu t’es mis à ton bureau pour faire tes devoirs pile à l’heure que nous avions convenue. » Pas la peine de rajouter ‘c’est bien’ ou ‘bravo’, vous constatez juste ce que votre enfant a réussi à faire.

;;;;;• Eviter les critiques démotivantes

Trop souvent, les devoirs s’accompagnent de nombreuses critiques. Les parents sont exigeants vis à vis de leurs enfants, et cela est très louable. Cependant, est-ce que les critiques motivent pour avancer ? Dire à un enfant, « Tu écris comme un cochon, applique-toi » ou bien « Regarde-là tu as encore oublié la majuscule à ta phrase » ne l’aide pas à prendre confiance en lui ni même à prendre l’habitude de faire autrement. Lorsque vous critiquez ce qu’il fait, même si la remarque se veut « constructive », vous risquez à chaque fois de le démotiver, car il aura l’impression que ses efforts – même s’ils sont encore minimes- ne servent à rien. Combien de critiques reçoit votre enfant lorsqu’il fait ses devoirs et combien de compliments? 10 pour 1 ? Inversez la tendance !

;;;;;• Aider votre enfant à développer son potentiel !

Avec les compliments descriptifs, vous montrez à votre enfant que même si ce n’est pas encore parfait, il est CAPABLE de faire dans une certaine mesure les choses mieux. Cela le motivera à s’améliorer. Une fois que l’on est dans cette optique de remarquer tout ce qui va dans la bonne direction, on se rend compte qu’il y a beaucoup de choses qui vont bien, ou du moins pas trop mal. Voici ce qu’il est encore possible de dire :

- Ton « L» est correctement formé, il monte jusqu’au 3ième interligne et ne dépasse pas de la ligne du bas.

- Ton addition est posée proprement avec les chiffres en colonnes.

- Tu as commencé par regarder ton cahier de texte avant de te lancer dans ton travail.

Il est possible d’ajouter une qualité suite au compliment que l’on fait pour le renforcer. Les qualités peuvent être : le soin, l’attention aux détails, le sens de l’organisation, la persévérance, le courage (de continuer malgré la difficulté), le sens de l’effort, etc. A vous de trouver les qualités qui font sens pour vous et que vous souhaitez valoriser. En reprenant les exemples ci-dessus, voici ce que l’on peut ajouter comme qualité

- Ton « L » est correctement formé, il monte jusqu’au 3ième interligne et ne dépasse pas de la ligne du bas. Tu t’es appliqué pour le faire.

- Ton addition est posée proprement avec les chiffres en colonnes. Tu as fait attention au soin de ton travail.

- Tu as commencé par regarder ton cahier de texte avant de te lancer dans ton travail, tu es bien organisé.

Plus vous soulignerez ces qualités chez vos enfants, plus ils prendront confiance en eux et seront motivés pour faire preuve des qualités que vous remarquez. Lorsque vous avez des points d’amélioration du travail de votre enfant à souligner, pensez à dire deux compliments descriptifs avant. Il sera plus attentif à votre remarque. Au delà de la technique du compliment descriptif, pensez à lui demander de les faire à un horaire régulier.

Se mettre à ses devoirs devient ainsi une habitude et l’enfant rechigne moins à les commencer. Lorsqu’en plus, le moment des devoirs devient plus agréable car plus positif et productif, il sera plus enclin à s’y mettre. Enfin, les devoirs doivent aussi venir autant que possible avant les activités ludiques (jeux, écrans, lecture, …). Vous pouvez trouver cela difficile à croire, mais de nombreux parents ont souligné comment cette approche leur a permis de voir leur enfant améliorer son écriture, avoir de meilleures notes en math,… .

Dossier :Anne PEYMIRAT

 

http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/faciliter-les-devoirs-1752-8-16.html

 

La pédagogie du sourire

 

La journée nationale du sourire  - Fais moi sourire!

Afin de vous aider à sourire davantage en classe, je vous propose près d'une vingtaine d'idées d'activités à réaliser en classe, que ce soit en français, en arts, en mathématiques ou même en sciences. J'ai aussi déniché à votre intention quelques sites Web pour créer, se divertir, apprendre, discuter ou même relaxer, toujours sur le thème du sourire.

 

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 20 façons de sourire à l'école

1- Composez une chanson thème sur le sourire. Toute l'école pourra la chanter en souriant. Les enseignants pourraient composer le refrain, et chaque classe pourrait créer un couplet différent.

2- Rédigez de petits messages qui incitent à sourire, un peu comme les messages contenus dans les biscuits chinois. Mettez-les dans une petite boîte à laquelle vous pourrez donner un nom particulier (La boîte à sourires, par exemple). Finalement, distribuez vos petits messages dans divers lieux ou même dans la rue, en faisant piger les gens.

3- Organisez de la publicité pour la journée : affiches, messages à la radio communautaire, macarons... L'objectif: inciter les gens à sourire et à vivre en harmonie.

4- Créez des cartes de souhaits pour la journée. Faites ainsi parvenir des sourires à vos proches ou aux élèves des autres classes.

5- Faites aller votre plume sur le thème du sourire : histoires, poèmes, chansons, journal du sourire, recherches sur les effets du sourire ou même sur l'humour ou le bonheur... Créez un recueil ou publiez vos textes sur le Web.

6- Participez à un sourire-o-thon. Il suffit de sourire le plus longtemps possible. Qui tiendra le coup pour la plus longue période? Quel est l'effet ressenti à force de tant sourire?

7- Invitez un clown en classe ou déguisez-vous (ou les élèves) en clown. Vous pourrez créer des costumes avec des retailles de tissus et des nez cirés rouge (un demi-emballage ciré de fromage Mini Babybel fait le travail et fournira en plus une dose de protéines à vos élèves. Collation rigolote et succulente!). Avec du carton, vous pourrez confectionner un chapeau de clown et une boucle pour le cou que les enfants décoreront avec des crayons, de la peinture ou d'autres éléments.

8- Participez à la quête des plus beaux sourires. Les élèves apportent des photos ou images de beaux sourires : ce peut être des photos de leur album personnel, des images trouvées dans les revues ou sur les publicités, etc. Ces images sont ensuite affichées sur les murs ou encore, utilisées pour concevoir un scrapbook de classe sur le thème du sourire.

9- Créez, personnellement ou en groupe, un petit logo du sourire. Ce petit logo pourra ensuite être collé sur les bureaux de chacun afin de rappeler de sourire. Chaque élève pourra évidemment agrémenter son logo à sa façon.

10- Participez au jeu des sourires. Chaque élève apporte trois épingles à linge de la maison (identifiées au nom de l'élève, si vous souhaitez redistribuez les épingles à la fin de la journée). Chaque fois qu'un élève est surpris à ne pas être en harmonie avec les autres ou à être de mauvais poil, il doit donner son épingle à celui qui l'a pris en défaut. Voilà une excellente façon de passer une journée sans chicane et sans violence en classe. Qui réussira à conserver toute ses épingles?

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11- Planifiez une séance de gymnastique du sourire, en début de matinée. Il suffit de passer une minute à faire de grands sourires, des sourires idiots, des sourires bizarres, brefs, toutes sortes de sourires et d'étirements de la bouche.

12- Organisez un concours de définition du mot sourire. Vous pouvez illustrer la définition en utilisant les mots qu'elle contient pour tracer un bonhomme sourire. Voyez cet exemple.

13- Dessinez un sourire. Distribuez à tous les élèves de l'école une feuille blanche comprenant seulement la forme vide d'un visage. Les élèves devront ensuite ajouter un sourire et des détails à ce visage. N'hésitez pas à encourager le collage et le dessin comme techniques artistiques. Vous pourrez ensuite afficher tous ces sourires sur les casiers des élèves ou dans les couloirs de l'école. Vous pourriez aussi réaliser une énorme murale de sourires dans la bibliothèque ou au gymnase, en y collant tous les sourires des élèves.

14- Repensez le bonhomme sourire. Invitez les élèves à modifier le fameux bonhomme sourire jaune à l'aide de couleurs, de papiers, d'éléments 3D, de papier mâché, etc. Créez ensuite une exposition de bonhommes sourires et faites voter les élèves pour les bonhommes les plus originaux ou sympathiques, par niveau scolaire.

15- Animez un blogue du sourire : les élèves pourront venir y raconter ce qui les fait sourire, chaque jour. Pendant une semaine, vous pourriez avoir un sujet du jour que les élèves pourront commenter : 1) les gens qui me font sourire, 2) les activités qui me font sourire, 3) les objets qui me font sourire, 4) les événements qui me font sourire, 5) les blagues qui me font sourire, etc. Pour créer facilement un blog, vous pouvez utiliser Blogger. Sinon, utilisez le blogue du sourire, déjà prêt à accueillir tous vos commentaires et créé à cette intention pour vous.

16- Faites aller les méninges des jeunes en leur proposant de concevoir un personnage ou un visage dont le sourire peut être actionné par un mécanisme au choix.

17- Participez au décompte des sourires. Selon le niveau de vos élèves, choisissez un nombre. Vos élèves devront ensuite partir à la chasse aux sourires et noter le nom (ou la description, s'il s'agit d'étranger) de tous ceux qui leur ont souri pendant la journée ou la semaine, jusqu'à ce qu'ils atteignent le nombre désigné ou même plus. Combien de sourires auront reçu tous les élèves de la classe?

18- Organisez des joutes d'improvisation, pour rire et sourire. Élaborez des thèmes humoristiques.

19- Fabriquez des marionnettes qui ont le sourire, avec des matériaux de votre choix. Ensuite, placez les élèves en équipes pour que chacune crée un petit sketch sur le bonheur, l'harmonie ou la paix.

20- Faites la course à relais des sourires. Divisez les élèves en deux équipes, dont les membres seront placés à la file indienne. Au signal, le premier élève doit courir jusqu'à une ligne et revenir vers la ligne de départ. Lorsqu'il revient, il doit exécuter 10 sourires avant que son coéquipier puisse prendre le relais du sourire. La première équipe dont tous les membres ont effectué la course remporte la victoire, et les perdants doivent les féliciter avec le sourire...

 

Des sites Web pour rire et sourire

Des textes pour réfléchir et partager les sourires

Juste un sourire... / Chez Maya
Accompagné d'un charmant diaporama de bébés qui sourient, ce petit texte incite tout le monde à sourire et à répandre une épidémie de sourires.

Les effets d'un sourire / Chez Maya
Tout le monde est capable de sourire, même les plus déprimés. Ce texte vous invite à essayer, sans plus tarder.

Souriez au suivant / La petite douceur de la semaine
Vous pourrez aussi télécharger une relaxation dirige sur le sourire (8 minutes)

La révolution du sourire juste / La petite douceur de la semaine
Ce document PDF de 40 pages convient aux enseignants qui souhaitent réfléchir sur le sourire. Certains éléments pourront ensuite être présentés ou adaptés en classe, pour initier des discussions.

Pourquoi sourire? Quelques explications...

Rien ne bat un beau sourire / L'Association canadienne pour la santé mentale
Si vous cherchez de bonnes raisons de sourire, vous en trouverez ici sept. De quoi convaincre les plus grognons!

À quoi nous sert le sourire? / Psychologies.com*
Le sourire sert beaucoup plus qu'à simplement illustrer notre joie ou notre bien-être. Cet article vous aidera à découvrir d'autres utilités du sourire. Les élèves sauront-ils en nommer avant même de prendre connaissance de l'article?

 

Des citations sur le sourire

Randonneur.net
Une vingtaine de citations vous sont ici proposées.

Evene.fr
Evene répertorie 150 citations sur le sourire, dont 30 ont été sélectionnés pour composer le guide thématique sur le sourire.

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La biologie du sourire

Les ordonnateurs du sourire / Les secrets du corps humain
Voyez ici les 17 muscles qui sont sollicités lors d'un sourire.


Des images artistiques de sourires

Musée du sourire*
Cet espace d'expression artistique invite les internautes « à découvrir les oeuvres d'artistes contemporains dédiées à la plus subtile des expressions humaines » : le sourire.

 

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Histoire de nuls qui ont réussi

La réussite professionnelle pour les nuls

Reussir ou echouer

 

Comment réussir sa vie sur le plan professionnel ?

Quand j’étais petit, je croyais naïvement que pour réussir sa vie, il fallait bien travailler à l’école.
Après tout, la réussite scolaire mène aux meilleurs diplômes. Les meilleurs diplômes mènent aux meilleurs emplois. Les meilleurs emplois mènent aux meilleurs salaires. Et l’argent fait le bonheur :D
Puis j’ai cessé de croire au Père Noël, le choc !

Si « réussir sa vie » implique l’accomplissement de soi à différents niveaux, j’aimerais aborder ce thème sous l’angle professionnel.

Au commencement

S’il n’est jamais trop tard pour bien faire, commençons par envisager l’origine de ce succès dès la vie scolaire.

Je ne comprends pas. Je suis jeune diplômé Bac+5. J’ai terminé major de ma promotion. J’ai des lettres de recommandation de mes professeurs qui témoignent de l’exemplarité de mon parcours scolaire.
Pourtant, je ne parviens pas à décrocher d’emploi malgré les dizaines de cv que j’envoie. J’ai pourtant fait ce qu’ils (mes parents et professeurs) m’ont dit. Pourquoi est-ce si dur ? – Michel

Avoir de bons résultats scolaires est indéniablement un atout dans notre société. C’est dire si nous ne sommes pas conditionné par la formule suivante : valeur sociale = performance scolaire
Pourtant l’Histoire relate de nombreux exemples d’illustres personnages aux résultats scolaires médiocres. Citons un Albert Einstein qui s’avoue « incapable de suivre les cours, de prendre des notes et de les travailler de façon scolaire ». Un Thomas Edison écarté des bancs d’école car jugé comme un « hyperactif stupide ».
Non le modèle de réussite scolaire s’il a des mérites n’est pas la vérité absolue.

Alors, comment assurer son avenir professionnel (indépendamment du contexte économique) ?

Des millions de jeunes fraîchement diplômés approchent le marché de l’emploi et s’y cassent les dents. N’y voyez vous pas un signe pour vous inciter à procéder différemment ? ;)
EtreMeilleur.com vous apprend à être meilleur. Pourquoi ne pas mettre en valeur vos qualités personnelles au service de votre avenir ?

Changez votre vision du monde professionnel.

Vous ne voudriez pas vous retrouver après des années à travailler pour une entreprise dont vous vous moquez, à faire un travail que vous détestez, pour un salaire en deçà de vos aspirations  mais qui vous permet de « survivre ».
Alors abandonnez les méthodes et conseils classiques. Vous savez ceux-là mêmes que l’on retrouve dans de nombreux livres poussiéreux d’aide à la carrière. Soyez différents de la masse.

Ma vie, mon œuvre

Quand je serai plus grand, je serai : pompier, docteur, astronaute, testeur de jeux vidéo, chirurgien, …

Avez-vous réfléchi à ce que vous voulez faire de votre vie ? Je veux dire une vrai réflexion avec si possible un vrai plan de carrière et non pas une simple idée ou label de métier qui semble « cool » sur le moment.
Imaginez une journée « ordinaire » de votre vie idéale.
A quelle heure vous levez-vous ? Que faites-vous ? Qui côtoyez-vous ? Dans quel cadre évoluez-vous ? Quelles émotions ressentez-vous ? Quelle valeur ou contribution apportez-vous au monde ?
Soyez totalement honnête dans votre projection.

Relevez-vous certaines incohérences entre vos ambitions et votre parcours actuel ? Rectifiez alors votre trajectoire car il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Créer vos opportunités

« Développer votre réseau »

Cette expression m’a toujours fait sourire. Elle a au moins le mérite de schématiser l’idée de mettre à contributions ses compétences sociales !
Que vous soyez étudiant ou actif, vous rencontrez forcément des personnes. En développant ces relations, vous vous créez des opportunités multiples et non exclusives : amicales, professionnelles, amoureuses, …

N’hésitez pas à parler précisément du type de métier auquel vous aspirez. Faites en sorte que vos amis en parlent à leurs amis, n’oubliez pas non plus de sonder votre famille.

Créer votre emploi

Beaucoup de personnes rêvent de créer leur entreprise. Et peu passent à l’action.

C’est risqué. C’est compliqué. C’est trop de stress. Ça prend trop de temps. Ça ne rapporte pas plus

On vous donnera une infinité d’arguments pour vous convaincre de ne pas vous mettre à votre compte.
Le fait est que c’est une formidable source d’expérience, enrichissante à tous les niveaux. J’y consacrerai prochainement un article ;)

Proposer vos services de manière bénévole

En voilà une tactique contre-intuitive ! C’est pourtant un subtil moyen de faire ses preuves et développer une relation privilégier avec des entreprises.
Imaginez. Vous proposez aux employeurs de tester vos compétences sans qu’ils ne prennent le moindre risque. Et vous avez toute latitude pour organiser votre activité.
Si votre travail est de qualité acceptable, ils ne pourront qu’apprécier votre démarche et vous faire alors d’autres propositions plus lucratives.
Et parce qu’il est plus facile d’obtenir un job bénévole, vous allez pouvoir sélectionner les entreprises et les projets qui vous tiennent à cœur.
Certes cela peut sembler financièrement peu intéressant à court terme. A long terme, vous instaurerez une relation enrichissante.

Développer vos talents

Internet est une formidable source de savoir. Exploitez en les richesses.
Pourquoi ne pas acquérir des connaissances pointues dans un domaine recherché ?
Informez-vous sur les besoins des entreprises dans le domaine qui vous intéresse.
Quels sont les  métiers attirants qui requièrent ces compétences rares que vous vous ferez un plaisir d’assimiler ?
Une fois votre objectif de spécialisation déterminé, organisez votre propre éducation :)

Soyez votre propre attaché de presse

A l’ère de la communication de masse, il est difficile de rester anonyme.
Si vous négligez votre image, vous prenez le risque que vos interlocuteurs se fassent leur propre idée. Et elle ne sera pas forcément réaliste ni à votre avantage.
Allez sur un moteur de recherche et voyez quels résultats correspondent à vos noms et prénoms.
Cela en dit-il long sur vos qualités personnelles ?

Je vous invite vivement à prendre en main votre communication. Utilisez tous les moyens disponibles sur le net ou autres. Les sites de réseaux sociaux sont particulièrement adaptés à cet usage. On en revient au conseil « développer votre réseau » :)
Avoir une présence sur le net c’est aussi tisser des liens avec le monde réel.
Donnez un éclairage particulier à vos expériences personnelles et professionnelles et éveiller l’intérêt d’employeurs.

Je vous garantie que si vous adoptez une démarche motivée à l’aide de ces préceptes votre réussite professionnelle est assurée.

Olivier Prize

http://www.etre-meilleur.com/job/reussite-professionnelle-pour-nuls.html

Histoire de nuls qui ont reussi


Histoire de Madonna (partie1) par JF66MICHEL


Histoire de Madonna (partie2) par JF66MICHEL

. [ Vidéo] – Comment Madonna est devenue une pop-star ? (Partie 4)
. [ Vidéo] – Comment Madonna est devenue une pop-star ? (Partie 3)

 


Michael Faraday (Partie 1) par JF66MICHEL


. [ Vidéo] - L’histoire de Michael Faraday (partie 3)
. [ Vidéo] - L’histoire de Michael Faraday (partie 2)

Comment « noter » les élèves sans les décourager ?

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Différentes options sont envisageables – et parfois mises en œuvre localement – pour réformer un système de notation qui détourne certains élèves des apprentissages.

« Une évaluation exigeante, une évaluation qui stimule, une évaluation qui encourage, plutôt que de décourager ou de reléguer les élèves. » Tel est le cap fixé par la ministre de l’éducation Najat Vallaud-Belkacem aux acteurs de la Conférence nationale chargée de lui remettre des propositions d’ici à la fin de l’année.

Cette démarche a pour point de départ un constat peu flatteur pour notre système éducatif : l’étude Pisa, réalisée dans l’OCDE auprès de jeunes âgés de 15 ans, montre que la France possède une école assez peu performante et qu’elle fait même figure de championne des inégalités sociales et culturelles.

Une forme d’inhibition

Or, de l’avis de nombreux spécialistes, la façon dont on évalue les élèves n’est pas étrangère aux mauvais résultats enregistrés. À preuve, cette même enquête internationale fait apparaître une forme d’inhibition chez les jeunes Français.

Ainsi, lorsqu’ils ne sont pas totalement sûrs de leur réponse, ils préfèrent, bien plus que les autres élèves, ne pas réaliser un exercice plutôt que de courir le risque de se tromper… Comment corriger ces défauts ? Des pistes existent, souvent inspirées d’exemples étrangers, parfois déjà appliquées, ici ou là, à titre plus ou moins expérimental.
LES DIFFÉRENTES PISTES D’ÉVALUATION
► Évaluer par compétences

Plutôt que d’accorder une note globale, sur 10 ou sur 20, pour tel exercice, il s’agit d’employer trois à quatre couleurs (vert, bleu, orange, rouge) ou lettres (A, B, C, D) pour déterminer le degré d’acquisition des compétences nécessaires à sa réalisation.

« Je ne note pas l’ensemble du travail mais m’intéresse aux différentes tâches, prises séparément : comprendre la consigne, trouver la réponse, la formuler », explique le professeur d’histoire-géographie du collège-lycée Sainte-Thérèse, à Rennes.

« Ce système d’évaluation permet de mieux se situer, d’identifier les points sur lesquels on doit faire porter nos efforts », approuve Aymeric, 14 ans, élève de cet établissement qui, il y a huit ans, a banni les notes jusqu’à la classe de 4e.

À dire vrai, cette méthode est largement appliquée en maternelle et, dans une moindre mesure, en élémentaire, où les notes sur 10 ou sur 20 font une apparition progressive. Dans la plupart des cas, le livret présenté aux familles à la fin de chaque trimestre procède de cette logique.

Chaque domaine y apparaît décomposé en une série de compétences à acquérir. En géométrie par exemple, il s’agira entre autres de s’assurer que l’élève de CE2 « construit un cercle avec un compas », « reproduit des figures sur papier quadrillé, pointé ou uni, à partir d’un modèle ou à l’aide du papier-calque », « calcule le périmètre d’un polygone », etc.

Cette forme d’évaluation va dans le sens du « socle commun » voulu par la loi Fillon de 2005 et aujourd’hui en cours de réécriture. Ce bagage minimum censé être partagé par tous les élèves à l’issue de la scolarité obligatoire inclut à la fois des connaissances académiques et des compétences plus larges, comme le respect des règles collectives, l’utilisation de matériels numériques, l’autonomie dans son travail ou encore la capacité à s’engager dans un projet personnel.

Ces items figurent, au milieu de bien d’autres, dans le livret personnel de compétences. Mais les enseignants du primaire et du collège, tenus de le remplir pour chaque élève, ne se sont guère emparés de cet outil, vu plutôt comme une source supplémentaire de paperasse.

Il faut dire que, sans même parler des attentes des parents, le maintien de notes au brevet national des collèges, en contrôle continu et final, les incite – au moins en classe de 3e – à accorder un poids prépondérant aux méthodes « classiques » de notation.
► Amener l’élève à s’auto-évaluer

Très prisée par certaines écoles « alternatives », comme celles estampillées « Montessori », parfois adoptée par des classes d’autres établissements, publics comme privés, l’auto-évaluation permet, soutiennent ses défenseurs, de responsabiliser l’élève et de l’amener à une plus grande autonomie.

La cité scolaire Les Lazaristes – sous tutelle des Frères des écoles chrétiennes – à Lyon, explorent cette piste dans certaines matières, sans pour autant avoir abandonné le système de notation traditionnelle.

Dès la 6e, les élèves sont ainsi invités à remplir eux-mêmes un petit livret pour faire le point à l’approche de chaque conseil de classe. « Cela permet ensuite de comparer ce qu’on pense savoir avec les résultats sur notre bulletin », confie Octave, aujourd’hui en 5e.

Cette démarche, souligne Frédéric Bodin, le directeur de l’établissement, présente notamment un grand intérêt dans les classes supérieures, en particulier dans sa « prépa » pour les écoles d’ingénieurs, lorsqu’il s’agit de déterminer son propre profil (leader, technicien, créatif, etc.) pour mieux s’entourer de camarades aux compétences complémentaires. « Cela distille l’idée qu’on est plus forts et plus intelligents à plusieurs », vante-t-il.

L’auto-évaluation doit néanmoins être abordée avec prudence, en particulier avec des enfants jeunes, qui ne disposent pas encore d’une autonomie de jugement, estime le sociologue de l’éducation Pierre Merle.

« En primaire et au collège, les élèves ont tendance à reproduire et à intérioriser le point de vue du professeur. De plus, beaucoup s’attribuent des compétences moindres, de peur de paraître présomptueux », met en garde ce spécialiste de la notation.

Pierre Merle prône aussi la circonspection à l’égard de l’évaluation par les pairs, susceptible d’être affectée, en bien ou en mal, par un biais personnel. Cette pratique, qui reste très marginale dans les établissements scolaires, commence à se développer dans le supérieur, à la faveur des « moocs ». Ces cours en ligne fonctionnent souvent sur le mode de la communauté, avec un premier niveau de correction des exercices par d’autres étudiants, avant une éventuelle intervention du professeur.
► Utiliser autrement les notes

Sans forcément les abandonner, il serait sans doute possible de faire un meilleur usage des notes, trop souvent vécues comme des sanctions. Donner un 0 sur 20 à un enfant, c’est d’une certaine manière lui signifier qu’il n’a pas sa place dans la classe.

Et ce sentiment est d’autant plus cuisant qu’un zéro pointé cache peut-être une progression : l’élève n’a pas fait 50 fautes à la dictée, comme la dernière fois, mais 30, au prix d’un réel effort, qui passe inaperçu…

L’un des défis que doivent donc relever les professeurs – cela passe par leur formation, en la matière insuffisante – consiste à tenir davantage compte des progrès de l’élève plutôt que de faire de la note un outil de comparaison permanente avec le reste de la classe, dans une logique parfois proche du concours, qui a tendance à détourner des apprentissages les élèves les plus faibles.

Pour motiver l’élève, certains, comme le chercheur en didactique André Antibi, partisan d’une « évaluation par contrat de confiance », suggèrent de lui indiquer systématiquement et précisément à l’avance sur quoi portera le contrôle, en ne réservant que 4 points sur 20 à un exercice « surprise ».

Sans doute faudrait-il aussi, soutient Pierre Merle, « s’éloigner parfois de la notation écrite, individualisée, portant sur des savoirs disciplinaires, pour noter d’autres compétences, comme la capacité à écouter et à travailler avec les autres ».

Reste que la structure même des notes « à la française », sur 10 ou sur 20, pose problème. L’Allemagne, elle, utilise une échelle de 1 à 6, avec une seule note signifiant que les acquis sont insuffisants. Et en Finlande, pays souvent cité en exemple, le 4/10 a remplacé le 0/10.

Dans ces pays, il suffit à l’élève en difficulté de passer un seul pallier pour être évalué positivement, là où un petit Français peut avoir jusqu’à dix marches à gravir avant d’obtenir la « moyenne ». De quoi parfois entamer sa détermination.

 

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Comment-noter-les-eleves-sans-les-decourager-2014-11-19-1266437

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