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Quand ça ne marche pas à l'école

"Quand j’étais petit, je croyais naïvement que pour réussir sa vie, il fallait bien travailler à l’école.
Après tout, la réussite scolaire mène aux meilleurs diplômes. Les meilleurs diplômes mènent aux meilleurs emplois. Les meilleurs emplois mènent aux meilleurs salaires. Et l’argent fait le bonheur :D
Puis j’ai cessé de croire au Père Noël, le choc !"

Coronavirus: détails sur les cours à distance

Coronavirus: détails sur les cours à distance

Comme prévu, le dispositif de cours à distance a été lancé lundi 16 mars à 10h. Il vise à "assurer la continuité de l'enseignement" pendant la période d'arrêt des cours pour éviter la propagation du coronavirus.

Coronavirus : Détails sur les cours à distance

 

Afin d'éviter la propagation de l'épidémie, crèches, écoles et universités marocaines sont fermées jusqu’à nouvel ordre. Un dispositif de cours à distance a été mis en place par le ministère de l'Education nationale.

Le dispositif est destiné à tous les élèves, de la première année du primaire au baccalauréat. Il compte deux composantes: le portail électronique TelmidTice et la chaîne TV Athaqafia.

Le portail TelmidTice comporte des capsules classées par niveaux (primaire, collégial et secondaire) et par matières (mathématiques, arabe...).

Concrètement, les écoliers, collégiens et lycéens choisissent, selon leur niveau d'études, un cours dans différentes matières, selon le programme scolaire actuellement interrompu.

Alimenté dans un premier temps de cours numériques actuellement disponibles, le portail sera régulièrement actualisé selon une programmation horaire prenant en compte la progression pédagogique adoptée dans les cours au sein des établissements scolaires, avait expliqué le ministère de tutelle.

La continuité pédagogique devra, également, être assurée pour les familles ne disposant pas d'ordinateur et n'ayant pas accès à internet, à travers la chaîne TV Arrabia (Athaqafia).

Sur la chaîne, accessible sur la TNT, le satellite Nilesat ou à travers l’application SNRT Live, les séances ont démarré avec un cours d'éducation islamique destiné aux élèves de troisième année du collège. Un verset du coran a été suivi d'explications dispensées par deux professeurs. L'après-midi, un cour de physique a été destiné aux élèves du baccalauréat.

La priorité a été attribuée aux élèves des niveaux de première et de 2e année baccalauréat, de 3e année collège et de 3e année primaire. La programmation sur la chaîne TV se fait comme suit:

Quelle efficience?

La suspension des cours à partir du lundi 16 mars ne signifie pas l’instauration de vacances scolaires exceptionnelles mais juste l’arrêt des cours présentiels et leur remplacement par des cours à distance, avait insisté le ministère de l'Education nationale.

Les élèves, les étudiants et les stagiaires sont ainsi appelés à rester chez eux, à ne pas voyager et à ne pas pratiquer d’activités ludiques, sportives ou toutes autres activités et à suivre les cours à distance.

Lancé pour assurer la continuité des enseignements, le dispositif de cours à distance laisse, toutefois, perplexe. Les usagers en pointent déjà les failles.

En effet, l'accès au portail en ligne nécessite une connexion internet. Pour suivre assidûment, l'enfant devra être accompagné par un parent. Les enseignants n’ayant pas les moyens d’obliger leurs élèves à faire les exercices ni à assister aux cours virtuels, notamment en l'absence d'échange.

A partir du lundi 16 mars à 14h, le ministère a annoncé la mise en place d'un "service d'écoute électronique" via le numéro vert 0800001122 et une adresse électronique, destinés à recevoir toutes les interrogations et suggestions relatives à l'avancement du processus d'enseignement à distance. Le service devra être disponible tous les jours de 8h30 à 18h30.

Interrogée sur le déroulement des contrôles déjà entamés avant la suspension des cours, une source autorisée du ministère affirme que les épreuves seront reprogrammées après la reprise. Des cours de soutien seront également fournis aux élèves.

"Tout le monde n'est pas connecté, mais tout le monde a accès à la télé" 

Les cours sont tournés et élaborés au Centre des technologies éducatives, à Rabat. Nous y avons rencontré Ilham Laaziz, directrice du programme Genie (Généralisation des technologies d’information et de communication dans L’enseignement au Maroc), qui pilote la partie relative à la plateforme TelmideTice. Dans cet entretien à bâtons rompus, Mme Laaziz a répondu à nos questions:

- Médias24: Quel est le contenu de la plateforme? Les cours dispensés couvrent-ils toute l'année scolaire ou seront-ils alimentés au fur et à mesure?

- Ilham Laaziz:  La plateforme Telmidetice offre des cours aux élèves des trois cycles et tous les niveaux. Toutes les matières actuelles ne sont pas couvertes mais sont en voie de l’être. Nous avons par exemple enregistré une quinzaine de cours pour le 16 mars. Il y a une trentaine de personnes qui sont mobilisées dans cette production à la fois pour Telmidetice et la télévision scolaire qui passe à Athaqafia TV.

- Les élèves et étudiants ont l'habitude de poser des questions et de demander des explications. Comment pourront-ils faire à distance?

- Il est vrai que l’interactivité avec l’enseignant est la meilleure façon de s’approprier un apprentissage. Mais nous sommes dans une situation exceptionnelle. A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles.

Nous avons des enseignants qui ont l’habitude des classes virtuelles, d’être en contact avec leurs élèves à travers les réseaux sociaux. Ceux là ont déjà initié cette approche. Mais nous sommes en train de travailler sur cette troisième possibilité qui consistera à mettre en contact les élèves avec les enseignants. Cela demande plus d’appropriation des technologies de la part des enseignants mais aussi une offre technologique différente.

- Il y a la partie cours, mais aussi celle des contrôles et examens...

- Aujourd’hui, ce qui nous importe, c’est de donner du contenu aux élèves. Je ne suis pas habilitée à vous dire ce qu’on va faire en matière d’examens et de contrôles. Nous avons une direction des examens et vu la situation actuelle, je n’ai pas de réponses à vous donner.

Notre souci, notre priorité c’est que nos enfants ne soient pas confinés chez eux à ne rien faire. Ce ne sont pas des vacances, ce sont des mesures de distanciation qui ont été mises en place par le Royaume du Maroc pour accompagner les mesures sanitaires.

Dans une étape future, il y aura surement les réponses nécessaires pour les évaluations et les examens.

- Tous les élèves n'ont pas forcément accès à internet ou à la télé, notamment dans le milieu rural. Seront-ils pénalisés?

- La plupart des enfants ont accès à la télévision. Je ne pense pas qu’on ait des foyers qui ne disposent pas d’une télévision. Le contraire reste exceptionnel. Vous me direz que tout le monde n'a pas accès à un ordinateur, c'est vrai. Tout le monde n'a pas accès à un ordinateur ou internet, c'est vrai. Même si les chiffres de l'ANRT montrent que les connectivités sont de plus en plus importantes.

Interview live avec Ilham Laaziz, Directrice du Programme GENIE

https://www.medias24.com/coronavirus-details-sur-les-cours-a-distance-8399.html

École buissonnière ou phobie scolaire ?

Il y a plus d’une bonne ou mauvaise raison de ne pas aller à l’école, mais depuis le milieu des années 2000, il en est une qui se développe: la « phobie scolaire ».

Au plus simple, c’est un comportement de refus angoissé de l’école chez l’adolescent. Selon une étude ancienne, les deux tiers des cas reconnus seraient précurseurs de troubles névrotiques, voire psychotiques chez l’adulte. Oui, mais voilà : psychiatres, médecins et pédagogues s’interrogent sur l’utilité d’une telle catégorie pathologique, car on ne sait pas trop à quelle cause l’attribuer.

Plusieurs thèses se partagent l’explication du phénomène. Une phobie suppose une causalité endogène. Dans le cas présent, ce serait une angoisse spécifique d’avoir à apprendre, ou d’être incapable de le faire. Selon d’autres psychiatres, ce serait la crainte d’être confronté à autrui, voire la conséquence d’un harcèlement. Les auteurs anglo-saxons parlent de « refus scolaire », qui a peu à voir avec l’école, mais serait une forme tardive de l’angoisse d’être séparé de ses proches. À l’opposé, la cause peut être cherchée dans l’inadaptation du système scolaire, soit qu’on le juge anxiogène par nature, soit qu’on incrimine un moment de crise dans la transmission de la culture. Dans ce cas, on parle de « décrochage scolaire » et non de phobie.

Comme le souligne Philippe Mazereau, chercheur à l’université de Caen, le choix des mots est donc un problème. Celui des remèdes en est un autre. Or, son enquête montre deux choses. D’abord, il existe une demande croissante de diagnostic « phobique » de la part des parents, plus que des médecins. Ensuite, s’il n’existe pas de description consensuelle de la phobie scolaire, le diagnostic est déductible du traitement que l’on applique : s’il y a prise en charge psychologique et scolarisation à la maison, alors c’est bien une phobie scolaire, et non un autre trouble, qu’il soit de séparation ou lié à la « crise adolescente ».

 


Philippe Mazereau et al. (coord.), 
« Phobie scolaire ou peur d’apprendre ? », 
La Nouvelle Revue de l’adaptation 
et de la scolarisation, n° 62, juillet 2013.

Comment rebondir après un échec ?

Ecole



Seuls ceux qui n'ont jamais connu d'échec ne peuvent comprendre ce que vous ressentez. Abattement, colère, tristesse... Et si ce n'est pas votre premier échec, c'est encore plus dur.

Mais la bonne nouvelle, c'est que vous n'êtes pas seul à vivre cela. "Il n’y a pratiquement jamais de parcours de vie sans échec, aime à dire Michel Giraud, ancien ministre du Travail, et directeur général de la Fondation de la Deuxième chance. Contrairement à une tendance culturellement trop répandue chez nous, il ne faut pas considérer l'échec comme un naufrage mais à l’inverse, comme une opportunité de rebond !" Rebondir, oui, mais comment ?

Attention à la perte d'estime de soi !

Le risque est de se laisser emporter par les émotions, très fortes, qui vous submergent. Le découragement, l'angoisse, et surtout, la perte de confiance en soi. "De toutes façons, je suis nulle"...
"En France, on a souvent tendance à confondre "avoir" et "être" : je n'ai pas le bac, donc je suis nul. Alors que je vaux beaucoup plus que cet échec !", fait remarquer le psychiatre Patrice Huerre.

La blessure d'amour propre peut être si vive, que certains en viennent presque à perdre toute estime d'eux-même, et jusqu'au goût de vivre. "J'ai raté mon bac avec 9,5, a écrit Khalid sur nos forums. Quelle agonie ! Le plus grave, c'est que tout mes amis l'ont eu sauf moi. Je préfère mourir que refaire une année !"
Autre réaction courante, la fuite : "De toutes façons, c'est nul ces études, je vais tout laisser tomber". On peut fuir dans les voyages lointains, les addictions, pour oublier, ou, après un échec amoureux, les aventures sentimentales à répétition.

Evidemment, ce sont de fausses pistes, qui ne vous permettront pas vraiment de rebondir parce que vous niez la blessure plutôt que de la soigner. "L'échec n'est pas à nier, confirme Isabelle Stoquelet-Dargent, psychologue. Il faut plutôt l'analyser, en tirer les éléments pour bâtir d'autres stratégies."

Analyser l'échec pour mieux le digérer

[Soyez franc avec vous-même : où sont les causes de cet échec ?]
Soyez franc avec vous-même : où sont les causes de cet échec ?
Laissez donc un peu de côté  vos émotions, et forcez-vous à raisonner. Imaginez votre échec devant vous, comme un objet extérieur, et tâchez de l'analyser.

Pour quelles raisons avez-vous échoué ? L'objectif que vous vous étiez fixé était-il trop élevé ? Aviez-vous le bon profil ? Etiez-vous réellement motivé ? Et avez-vous mis toutes les chances de votre côté ? Répondez franchement à toutes ses questions, soyez en vérité avec vous-mêmes. "En fait, j'avais fait ces études pour faire plaisir à mes parents, mais je ne les avais pas vraiment choisies, je n'ai jamais voulu être ingénieur, raconte Alice, en échec après deux ans de classes préparatoires aux grandes écoles.

Un gagnant est une personne qui sait choisir ses combats, vous diront tous les coachs. En matière d'études ou de vie professionnelle, il est donc capital de savoir si vous avez choisi la bonne orientation, c'est-à-dire celle qui vous motive et pour laquelle vous avez les compétences et les talents requis.

En tirer les bons enseignements

Il ne s'agit pas de vous accommoder de l'échec, mais d'en tirer toutes les leçons possibles pour l'avenir. En cas d'échec sentimental, ne mettez pas tous les torts sur l'autre, mais reconnaissez aussi vos manques et vos erreurs.

Sur le terrain professionnel ou étudiant, cernez bien les raisons qui vous ont fait échouer. Et tenez-en compte pour ne pas recommencer. "J'ai voulu mener de front mes études avec un travail à temps plein, mais c'était trop pour moi", reconnaît Laetiita qui a décidé cette année de consacrer plus de temps à l'étude. Ne vous contentez d'ailleurs pas de bonnes résolutions ("l'an prochain, c'est décidé, j'apprends mes cours dès le début'"), mais mettez en place des moyens concrets pour réussir. Emploi-du-temps, lecture, travail, nouvelles habitudes de vie... Pour partir en guerre, et être victorieux, mieux vaut avoir les bonnes armes !

Ne pas rester seul

Pour reprendre confiance en vous, il faut vous appuye sur vos points forts, vos qualités, vos succès antérieurs ou annexes. L'échec que vous venez de subir a tendance à tout recouvrir, mais peu à peu, il va prendre moins de place. Pour vous aider, repensez à ce que vous avez réussi jusque-là, aux qualités que votre entourage apprécie en vous....

L'idéal est de faire ce travail avec une personne extérieure, qui vous aidera à être objectif : un membre de votre famille, un ami, un conseiller d'orientation... "Il ne faut pas rester seul face à son échec, insiste Isabelle Stoquelet-Dargent. Au contraire, certaines personnes peuvent vraiment vous aider à vous relever en portant sur vous un regard qui vous voit dans votre globalité, avec tout votre potentiel".

Construire un nouveau projet

[A partir de l'analyse de votre échec et de votre personnalité, vous allez bâtir un nouveau projet.]
A partir de l'analyse de votre échec et de votre personnalité, vous allez bâtir un nouveau projet.
Comme l'étincelle qui relance le moteur, il suffit souvent de ce coup de projecteur sur vos qualités et vos points forts pour vous remettre en route. L'analyse de votre échec conjugué à ce bilan vous indique de nouvelles voies à suivre : vous pouvez ainsi bâtir un nouveau projet, plus en phase avec votre personnalité, et donc plus motivant.

"Après mon échec en médecine, raconte Tiphaine, j'ai fait un bilan avec un conseiller d'orientation. Je me suis rendu compte que j'avais finalement peu de goût pour les matières scientifiques, mais une forte motivation sociale. Je me suis réorientée vers un DUT Carrières sociales et je pense passer le concours d'assistante sociale, un métier qui me convient finalement bien mieux que la médecine, même si au départ, il n'y avait que cela qui m'attirait".

Elargir son horizon

Les parcours réussis sont souvent ainsi semés d'échecs... Interrogez quelques seniors aujourd'hui épanouis dans leur travail. Vous serez étonnés par la sinuosité de leur itinéraire ! En matière professionnelle, il vous faut cependant élargir vos horizons et vous dire une fois pour toutes qu'il n'y a pas qu'un métier fait pour vous, mais des quantités de métiers ou secteurs professionnels qui pourraient vous convenir !

De même sur le plan amoureux : il n'y a pas qu'une personne faite pour vous ! Après un échec sentimental, évitez cependant de repartir tout de suite en conquête, car en la matière, la réussite n'est jamais assurée et un nouvel échec pourrait vous faire replonger.  Fixez-vous plutôt de petits objectifs de réussite, très faciles à atteindre. Organisez un voyage, refaites la déco de votre chambre, refaites du sport... Et félicitez-vous lorsque vous avez réussi !

Vous relancez ainsi la spirale de la réussite, et vous rechargez  les batteries de la confiance en vous pour aborder votre nouveau projet de vie.

 

http://www.reussirmavie.net/Comment-rebondir-apres-un-echec_a953.html

 

6 conseils pour participer en classe

Enseignement

 

Participer en classe représente une véritable épreuve et crée pour un grand nombre d’élèves un sentiment de mal-être. Cela peut dans la majorité des cas nuire à leur apprentissage. En effet, beaucoup d’élèves aux collèges et lycées n’arrivent pas à participer en classe pour plusieurs raisons : peur de la réaction des camarades, timidité, manque de confiance en soi…

 

Tu as souvent peur de la réaction des autres lorsque tu lèves la main? Tu as du mal à prendre la parole en classe même si tu comprends bien la leçon? Tu n’as pas compris la leçon et as peur de poser la question?

Suis donc ces 6 simples conseils qui t’aideront à participer plus en classe !

Pose des questions:

Une bonne façon de participer en classe est de poser des questions. Pour participer en classe, il ne s’agit pas seulement de répondre aux questions du professeur, tu peux donner ton opinion par exemple ou tout simplement poser des questions.

Lorsque tu as une question à propos de quelque chose que tu n’as pas compris ou que tu as envie de savoir plus sur un sujet, lève la main et pose ta question.

Sache qu’un élève qui ne pose pas de question quand il comprend pas a forcément tendance à régresser.

Entraîne toi à la maison:

L’une des meilleures façons qui t’aideront à oser participer en classe est le fait de s’entraîner chez soi. Tu vas faire peut être beaucoup d’erreurs mais l’avantage c’est que tu es seul dans cette étape. Profites de cet exercice pour te corriger et apprend de tes erreurs pour ne pas les commettre en classe.  

Apprends à communiquer:

Si tu n’as pas l’habitude de participer en classe, il faut apprendre petit à petit. Commence à communiquer plus avec tes amis et ta famille. Tu peux par exemple leur raconter ce que tu as fait pendant la journée ou ce que tu as appris en classe. Tu peux aussi donner ton avis sur un film, une chanson, un livre ou tout simplement raconter tes sorties ou tes vacances… Tu verras, cette technique t’apprendra à mieux communiquer avec ton entourage et t’encouragera à participer en classe.

Révise tes cours la veille:

Souvent, beaucoup d’élèves ne participent pas parce qu’ils n’ont tout simplement pas révisé leurs cours avant de venir en classe. Pour avoir le courage de participer en classe, il est préférable de réviser le cours précédent au moins une fois avant de venir en cours. Les révisions t’apporteront beaucoup par la suite et t’encourageront à devenir plus dynamique et motivé en classe.

Participe à des activités parascolaires:

Il existe beaucoup d’activités parascolaires efficaces pour développer l’aisance à l’oral, d’avoir plus confiance en soi. Il est donc très conseillé de te lancer dans une activité de loisirs en dehors du collège ou lycée comme par exemple :  cours de musique, cours de théâtre, cours de dessin, cours de danse ou encore la participation aux sports collectifs.

Il s’agit en effet  d’excellents moyens de devenir une personne confiante car ce sont des activités qui permettent de s’exprimer d’une manière différente.

Tu verras, qu’avec le temps, tu participeras plus en classe, quel que soit le regard ou les remarques de tes camarades sur toi.

Parles-en avec ton professeur:

Si tu es en classe c’est pour apprendre! Ne te fais pas alors de soucis lorsque tu commets une erreur. Si tu n’arrives toujours pas à participer en classe pour une raison ou pour une autre, tu peux le dire à ton professeur. Il est le mieux placé pour t’aider à surmonter cette difficulté. En lui parlant, il saura que tu es motivé et t’encouragera progressivement à prendre la parole en classe.

 

http://www.9rayti.com/conseil/conseils-participation-classe

Face aux difficultés des études comment réagir?

Enseignement

Vos études sont trop difficiles? Vous en avez marre de vos échecs? Faites comme Thomas Edison !

Cris, pleurs, découragement, questionnement sur sa motivation de continuer, envie d’abandonner, ras-le-bol, dégoût…voilà le petit lot quotidien de nombreux étudiants, en cette période de résultats de fin d’année. Eh oui, ça doit avoir été énorme par exemple à l’annonce des résultats du BAC.

Découragement

À tous ces étudiants au bord de l’abandon, tous ces parents, ces étudiants pour qui l’été a été « pourri » dès l’annonce des résultats de fin d’année, nous avons un message, un conseil pour vous. Nous adressons plus spécialement à ceux qui n’échouent pas pour la première fois, et qui en ont presque marre déjà, marre d’échouer et marre d’essayer. Alors, vous vous sentez fatigué, vous vous dites dépassé, découragé, lassé d’essayer? Vous avez échoué une fois, deux fois, trois fois,…et vous en avez vraiment marre? Vous en avez marre de toujours avoir cette mauvaise note en maths, en physique, en littérature? On a rendu les résultats de fin d’année et voilà, vous es encore à côté de la plaque? Vous pensez avoir déjà tout tenté, tout fait, et vous êtes sur le point d’abandonner?

Thomas Edison

Ok. Alors, pensez-vous avoir tout donné ? Combien de fois pensez-vous l’avoir déjà fait? Combien de fois à peu près avez-vous essayé? Maintenant, comparez ce chiffre au nombre de fois où le très connu Thomas Edison a dû répéter ses expériences toutes ratées, pour pouvoir aboutir à sa grande invention: la première ampoule électrique.

Savez-vous combien de fois il l’a fait? C’était dix mille fois. DIX MILLE. 10 000 expériences réalisées nuits comme jours, 10 000 tentatives toutes vouées à l’échec, et sans jamais se décourager, pourtant rien n’aboutissait. Dix mille essais, dix mille recommencements, dix mille répétitions, 10 000 fois l’échec. Réalisez-vous combien de fois valent DIX MILLE? Dix mille c’est 1000 fois, 10 fois ! Dix milles c’est cent fois, cent fois ! C’est énorme non ?! Et pourtant IL A CONTINUÉ, IL A ESSAYÉ, RESSAYÉ, encore, encore et encore, sans se décourager, sans JAMAIS ABANDONNER.

Résultat: malgré la souffrance, l’épuisement, l’impatience, l’envie de tout laisser tomber, et tout ce qu’il a enduré, il a fini par inventer l’ampoule électrique qui se retrouve aujourd’hui dans l’éclairage de tous les grands stades et grandes métropoles du monde, tous les hôtels, palais, immeubles et gratte-ciels, toutes les rues, toutes les avenues, et se retrouve jusque dans l’éclairage votre maison, votre lieu de travail, votre laboratoire, même ce lieu duquel vous êtes en ce moment en train de lire cet article, tous vos lieux d’étude, tous vos lieux de travail…disons, partout. Thomas Edison est à jamais rentré dans l’histoire de la science, il a marqué son temps, il a marqué l’histoire, et il est inoubliable !

Rien n’est joué

Vous aussi, même si vous vous dites que vous n’êtes pas un futur Thomas Edison, même si vous vous croyez tout petit et même « incapable », même si vos échecs dans vos études vous font vous sentir « nul », rien n’est encore joué, rien n’est fini. Même si vos mauvaises notes vous découragent et vous donnent l’envie d’abandonner, n’abandonnez pas, recommencez. Sachez que vous aussi vous avez un bel avenir qui vous attend, même si vous n’y croyez pas, pourvu que vous fassiez ce qu’il faut pour y arriver. Vous avez le pouvoir de faire que cet avenir soit le plus beau de tous, rien qu’en continuant de travailler.

« Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi. ». Olivier Lockert

 Le sentiment de découragement est normal

Beaucoup d’étudiants rencontrent de grosses difficultés dans leur parcours, et il est tout à fait normal que vous vous sentiez découragé du fait que vous n’obtenez pas les notes que vous désirez. Cela veut simplement dire que vous avez encore des choses à améliorer dans votre manière de travailler, et puis si vous parvenez à améliorer ces choses, vous verrez le grand changement positif dans vos résultats. Peu importe ce que vous faites comme études, peu importe leur importance et leur portée, peu importe ce que vous attendez, peu importe les difficultés que vous rencontrez, peu importe les mauvaises notes que vous obtenez, peu importe les moqueries des autres personnes, peu importe la fatigue que vous ressentez en ce moment, peu importe le découragement qui essaye de vous envahir, peu importe, peu importe…, faites comme Thomas Edison…n’abandonnez pas.

 Faites comme Thomas Edison !

On ne sait jamais à quelle étape se trouve notre succès, et on ne sait jamais à quel tournant il nous attend. Peut-être qu’il nous attend dans deux jours, peut-être ce soir même, peut-être dans une semaine, peut-être dans un mois, dans un an,…personne ne sait. Alors, si vous abandonnez aujourd’hui alors que votre succès vous attendait demain matin, voyez-vous combien vous aurez perdu? Vous aurez passé tout ce temps à le chercher, à le chercher, à le fouiller, à vous battre, pour ensuite abandonner, si proche du but. Personne ne sait quand arrivera le succès, et, comme l’a dit Olivier Lockert « Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi ». Faites comme Thomas Edison. Essayez, réessayez, réessayez encore, encore et encore, faites-le dix fois, cent fois, mille fois, dix mille fois, faites-le, encore, encore et encore, comme Thomas Edison. Il n’y a qu’une seule possibilité et un seul résultat pour vous à la fin: LE SUCCÈS. Il y a rien à faire: tôt ou tard, vous réussirez. Souvenez-vous que seuls les faibles abandonnent, et vous n’êtes pas faible ! Vous, vous n’es pas un faible, même si vous le croyez, ou même si on vous le fait croire. Alors, NEVER GIVE UP !

Pour finir: Relisez ce texte autant de fois que nécessaire. Relisez-le jusqu’à ce que ses lignes s’impriment dans votre cerveau, et rappelez-vous de lui dans toutes vos difficultés et toutes vos épreuves. Vos résultats de fin d’année ne sont pas bons, mais cela ne veut en rien dire que tout est fini pour vous. Au contraire, c’est l’occasion de vous asseoir, faire le bilan, vous réarmer d’énergie et d’envie, et avancer encore…vers le sommet où votre succès vous attend ! Ne vous préoccupez pas des autres, ne regardez pas ce qu’ils font ou ce qu’ils ont, mais focalisez-vous sur vos forces, vos points faibles (à améliorer), vos points forts (à utiliser), et foncez tout droit vers votre succès…qui vous attend !

 

http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/face-aux-difficultes-des-etudes-comment-reagir/

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