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Problèmes des adoléscents

L'adoléscence est une étape difficile. Plusieurs élèves vivent des troubles divers qui ont des conséquences facheuses sur leur scolarité

Dix étapes pour délivrer l'enfant de sa nervosité

Content gars

Certaines mères se plaignent de la nervosité de leurs enfants mais aussi de leurs pleurs incessants et irritants. Elles supportent mal certains de leurs actes tels le rongement des ongles, le tirage des cheveux, la brutalité avec les autres enfants, la succion des doigts, etc. Aussi, se sentent-elles mal à l’aise quand elles les voient faire du tapage, mordre tout ce qui leur tombe sous la main comme un stylo, une gomme ou autre, faire des mouvements continuels avec leurs jambes, se mordre les lèvres, etc.

Pour pouvoir traiter convenablement ces cas, on doit en connaître les causes qui peuvent être psychologiques, médicales ou éducatives.

Les causes psychologiques :
Elles sont nombreuses selon les psychologues, parmi elles :
o Le manque affectif
o Le sentiment de l’enfant qu’il est rejeté (ni accepté ni aimé dans son milieu)
o La persécution de l’enfant par d'autres enfants

Les causes éducatives :
Ce sont elles qui influent le plus sur le comportement et le tempérament de l’enfant, parmi elles :
o L’autoritarisme des parents qui se manifeste à travers la séparation des frères ou l’imposition de leur volonté à leur enfant pour qu’il soit tel qu’ils le veulent sans jamais le laisser choisir certaines choses simples comme un jeu ou la couleur de son cartable ou autres
o La nervosité de l'un ou des deux parents, la nervosité étant acquise et non innée
o Le sentiment entretenu par l'enfant qu’il est une source de préoccupation pour sa famille ou en classe
o L'excès de gâterie rend l'enfant agressif, égoïste et désireux de tout posséder et, en entrant dans le domaine de la vie active, l’enfant gâté se sentira persécuté
o Les conflits parentaux devant les enfants constituent l'une des plus importantes causes
o Le refoulement des sentiments de l'enfant par les parents comme, par exemple, le fait de le contraindre au silence lorsqu’il veut pleurer.

Les problèmes médicaux :
Parmi eux :
o Le manque de vitamine D pendant les premiers mois
o L’augmentation de l'activité de la glande thyroïde, accompagnée par une augmentation de la transpiration et par des troubles du sommeil
o La carence en fer (anémie)
o L’épilepsie
o La constipation chronique
o L’inflammation de l’appareil urinaire
o L’autisme alors que la nervosité de l'enfant augmente avec l'âge
o L’inflammation des sinus et des amygdales
o La difficulté de la prononciation énerve certains enfants s’ils font face à la moquerie ou s’ils sont incapables de communiquer l'information correctement
o Les infections parasitaires

Les causes peuvent aussi être attribuées au niveau de l'intelligence de l'enfant, car l’enfant intelligent souffre d'instabilité parce qu’il comprend tout ce qui se passe autour de lui et se sent seul ou devient présomptueux, ce qui lui fait détester le milieu qui l’entoure et donc exprimer de façon nerveuse son rejet, ses besoins et sa colère face au refus que manifeste ses parents lorsqu'il leur pose des questions. Tu dois donc développer son intelligence en répondant à ses questions avec précision et de façon appropriée pour son âge ; lui acheter un ordinateur afin d'augmenter ses compétences tout en lui fournissant des livres appropriés.
D'autre part, la nervosité et l’anxiété de celui qui souffre d’un niveau mental réduit s’accroissent chaque fois que la pression exercée par la famille, l'école et les amis contre lui augmente et qu’en plus on le compare aux autres, ce qui accentue son exacerbation.

Le traitement :
o Si les causes sont médicales, il y a lieu de présenter l’enfant à un spécialiste
o Si elles sont d’ordre éducatif, elles peuvent être traitées de plusieurs façons dont, notamment :
· Le fait de faire sentir à l’enfant qu’il est accepté et aimé tout en évitant de le réprimander ou de le gronder, il faut pour cela s'armer d'une grande patience
· Il faut essayer d'intégrer ton enfant au sein d’un groupe de son âge
· Quand tu le vois crispé, essais de le faire bouger afin de dégager de manière positive son énergie
· Quand il est à l'école, encourage-le à intégrer différentes activités : la radio de l'école ou toute autre animation
· Laisse-le jouer sans lui montrer que tu le surveillesen faisant tiens ce qu’a dit le poète :
"Le stupide ne saurait être le leader des siens, mais plutôt celui qui fait semblant d'être stupide".
· Prends soin des jeux qui développent l'esprit (puzzles, cubes…), car ils aident à développer l'intelligence et à libérer les énergies de façon positive
· Laisse-le exprimer ses sentiments et ses émotions
· Laisse-le dormir et manger suffisamment, car leur carence l’affecte négativement et exacerbe ses angoisses
· L’enfermement pendant une courte période ne dépassant pas dix minutes pour qu’il se rende compte de la faute qu'il a commise, s’il est âgé de moins de quatre ans, il est préférable de rester avec lui dans la même pièce
· En le punissant, il faut lui expliquer la raison et ne parle pas avec lui tant qu’il est en train de crier ou qu’il est contrarié. Répète-lui : « Tant que tu cries, je ne te parlerai pas ni ne t’écouterai ». En fait, si tu réagis positivement à sa nervosité, celle-ci deviendra pour lui un moyen de pression pour obtenir ce qu'il veut. Et comme il ne peut pas encore faire de distinction, elle se transformera, avec le temps, en une habitude pour avoir ce qu'il veut
· Sois un modèle pour lui, car il apprend beaucoup de toi et tu ne peux donner que ce que tu possèdes.

http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=articles&id=174953&fromPart=51

Internet: votre ado est-il protégé?

Selon un sondage réalisé en juin 2007 pour le compte de Symantec, une entreprise spécialisée dans les logiciels d'infrastructures, 62 % des parents des 12 à 17 ans affirment avoir surveillé le contenu des sites fréquentés par ceux-ci en utilisant, pour la plupart, la fonction «historique» de leur navigateur Internet. Cependant, seulement un tiers des parents utilisent des logiciels de filtrage afin d'assurer la sécurité de leurs enfants en ligne, et près de 40 % d'entre eux ne surveillent pas les activités de leurs enfants sur Internet. 

Les parents en territoire inconnu

Malgré le fait qu'ils tiennent une vigie régulière des sites visités par leurs enfants, un quart (26 %) des répondants ont affirmé qu'ils ne connaissaient pas YouTube, le très fréquenté site d'échange de fichiers vidéo. De plus, les parents ont affirmé ne pas connaître les sites interactifs de réseautage personnel, tels que Facebook et MySpace, malgré leur présence accrue dans les médias et leur popularité grandissante. À cet effet, le sondage a révélé que 41 % des parents ne connaissent pas le site Facebook et 32 % ne connaissent pas le site MySpace. La communication entre parents et adolescents au sujet d'Internet souffre donc d'importante lacune.

«Au moment où Internet devient omniprésent, les risques potentiels auxquels sont exposés les enfants qui y naviguent vont sans nul doute s'accroître», a déclaré Signy Arnason, directrice de Cyberaide.ca, service officiel pancanadien de signalement d'enfants exploités sexuellement sur Internet et important centre d'information publique et de prévention, par l'intermédiaire de ses stratégies de sécurité en ligne et ses campagnes nationales de sensibilisation.

« Les parents n'ont d'autre choix que de s'intéresser aux activités de leurs enfants sur Internet, notamment aux sites qu'ils fréquentent ainsi qu'aux personnes avec lesquelles ils communiquent. Qu'il s'agisse de cyberintimidation, de contenus violents ou haineux, de pourriels ou de prédateurs sexuels, les parents et les enfants devraient savoir où trouver de l'aide et comment signaler des situations dangereuses sur Internet », a ajouté Mme Arnason.

En photo ou en vidéo, les ados se montrent beaucoup sur le Web… et pas toujours sous leurs meilleurs jours ! Pour les protéger, mieux vaut très vite leur apprendre qu’ils s’exposent à certains risques et que le “droit à l’oubli” n’existe pas avec Internet. Nos conseils.

 

Fiction “trash” ou réalité ?

C'est une horreur : un psychopathe pénètre sur votre compte Facebook, consulte vos photos de famille, trouve votre adresse et se prépare à débarquer chez vous

Ce cauchemar très réaliste, à vivre sur la page Facebook de Take this Lollipop, pourrait nous inciter à interdire à nos adolescents toute publication de photo, vidéo ou information personnelle. Heureusement, les cas dramatiques de détournement d'images postées sur le Web par des ados restent rares !

Une éducation des adolescents à la diffusion de leurs images sur le Web, indispensable, doit donc cibler avant tout les risques les plus fréquents que sont les moqueries entre adolescents et l'humiliation publique.

Pourquoi les ados publient-ils leurs photos et leurs vidéos sur le Web ?

Selon un sondage*, un adolescent sur quatre pense qu'il aura honte de ce qu'il publie aujourd'hui sur le Web. Alors pourquoi y publient-ils leurs photos et leurs vidéos ?
* Etude E-réputation : sondage de la communauté en ligne Habbo, avec l'éditeur Norton sur 61 000 adolescents de 13 à 18 ans.

La psychologue Beatrice Copper-Royer l'explique ainsi : “Les adolescents, très enclins au narcissisme, prennent plaisir à être regardés. Beaucoup mettent en scène leur image sur Internet pour se donner l'impression qu'ils sont à l'aise.

Ce besoin d'être regardé peut devenir exhibition sans que les adolescents s'en rendent compte. Or, l'exhibition de soi n'est pas anodine : c'est une mise à disposition de l'autre qui dégrade l'image de soi.”

Pour le psychiatre Serge Tisseron, “Internet permet aux adolescents de tester plusieurs identités, ce qui est un processus de maturation normal et formateur.”

Il rappelle aux adolescents ces règles de prudence : “Leur image leur appartient. Personne n'a le droit de l'utiliser sans leur autorisation. Tout ce qu'ils publient sur le Web peut tomber dans le domaine public et y rester éternellement.”

Comment aider vos ados à gérer leur “image numérique” ?

Le “droit à l'oubli numérique” n'existe pas : montrez-leur comme il est facile de récupérer la photo de quelqu'un sur Facebook et de la diffuser. Consultez aussi la page, claire et accessible, “Créez un environnement sécurisé pour vos ados” sur Facebook.
Une rubrique est spécialement réservée aux adolescents !

• Posez-leur cette question : “La photo que tu mets sur le Web, tu la montrerais à tout le monde dans la rue ou dans le bus ?” Et faites-leur remarquer que la poster sur le Web, ça revient au même !
• S'ils ont un compte Facebook, montrez-leur comment protéger leur vie privée.
• Jouez ensemble au jeu Fred & le chat démoniaque et apprenez-leur à contrôler leurs images numériques.
• Téléchargez le guide netcode d'Action innocence.

  http://www.servicevie.com/relations-familiales/internet-votre-ado-est-il-protege/a/468

http://www.vosquestionsdeparents.fr/dossier/1065/apprenez-aux-ados-a-proteger-leur-image-sur-le-web

Le 15 octobre : Journée nationale des toxicomanies



Les toxicomanies constituent l’un des plus grands maux qui ronge les sociétés modernes et particulièrement celles qui traversent des crises économiques, sociales, politiques ou... d'identité !

Évoquer la toxicomanie, c'est souvent faire référence à des drogues telles que le haschisch, l'héroïne ou la cocaïne, ce qui constitue malgré tout une vision assez restrictive du phénomène général de toxicomanie tel que le définit l’Organisation Mondiale de la Santé.

La frange de la population la plus exposée à ce fléau est constituée par les adolescents en manque de repères. A cet age de la vie, l’expérience de la drogue peut répondre à un besoin de risque, de provocation ou de transgression pour des sujet évoluant dans des terrains propices tels que les familles déséquilibrées ou les sociétés en crise.

De nombreux pays célèbrent cette journée et notre attention a été attirée par les efforts louables du gouvernement algérien pour éradiquer ce fléau. L’Algérie a pris conscience de ce mal qui ronge une partie de sa jeunesse et des efforts considérables sont déployés par les pouvoirs publics pour endiguer, sinon éradiquer le développement de ce mal dévastateur.

A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la lutte contre les drogues et les toxicomanies, le Ministère de la jeunesse et des sports a ainsi organisé en partenariat avec l’office national de lutte contre les drogues et toxicomanies un concours régional de dessin sur le thème "les jeunes contre la drogue".

Ce concours a concerné les enfants et les jeunes âgés de 12 à 20 ans qui sont les plus susceptibles d’être attirés par la consommation des drogues pour les sensibiliser aux dangers induits.

Un jury local présidé par le directeur du Centre d’information et d’animation de jeunes, composé d’un psychologue, d’un éducateur spécialisé et d’un professionnel en arts plastiques a été mis en place dans chaque wilaya et 10 œuvres ont été sélectionnées.

Un jury national composé d’un représentant du Ministère de la jeunesse et des sports, d’un représentant de l’Office national de lutte contre les drogues et la toxicomanie, des directeurs des Centres d’information et d’animation de jeunes des six wilayas concernées et un professeur d’arts plastiques a été mis en place et 5 lauréats par wilaya ont été primés...

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