http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-pleure-t-on-lorsque-l-on-est-tres-heureux
Les relations sont souvent conflictuelles au moment de l’adolescence. Rares sont les familles qui échappent à ce constat. Parfois le climat s’est tellement dégradé qu’on assiste à un réel blocage. Chacun restant sur ses positions. La communication devient de plus en plus difficile. L’incompréhension est presque totale.
Il reste toutefois une piste intéressante à explorer : la rédaction d’un contrat entre parents et enfants. Le contrat est un outil puissant qui présente bien des avantages s’il est suffisamment réfléchi et discuté avant sa rédaction par les deux parties. ;;;;• La concertation et la négociation Avant de se lancer dans la rédaction d’un contrat, il faut s’entendre sur les points qui seront mentionnés et les engagements que chacun est prêt réellement à consentir. En rétablissant la confiance, chacun pourra s’engager un peu plus. Petit à petit, on observera de réels progrès. ;;;;;• La rédaction du contrat Quelques règles s’imposent en matière de rédaction de contrat dès lors qu’il s’agit de définir les engagements des uns et des autres : 1. La description du point abordé doit être précise et concrète Ainsi on retiendra que pour être efficace un contrat devra être concret, limité dans le temps, positif, réaliste et court. ;;;;;• Le processus Bien souvent la situation de départ entre parents et enfants est confuse, tendue et conflictuelle.
· Passer de l’incompréhension totale à un début de compréhension ;;;;;• L’heure du bilan Etablir un contrat c’est impérativement en définir clairement la durée d’application et savoir très précisément quand aura lieu l’heure du bilan. Attention également à garder en mémoire ce principe : Plus la durée est raisonnablement courte, plus son efficacité sera grande. Ne pas oublier que les enfants ont tendance à se décourager rapidement
Dossier : Béatrice VICHERAT http://apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/article.php?cat_num_sel=&numtxt=673
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C’est l’un des génies les plus connus de notre histoire. Ses enseignements et ses découvertes sont prodigués encore aujourd’hui.
Voici 25 leçons de vie que nous a laissé Albert Einstein :
1. L’évolution intellectuelle devrait commencer à la naissance et s’arrêter seulement à la mort.
2. Chaque personne devrait être respectée en tant qu’individu mais personne ne doit être idolâtré.
3. Ne faites jamais quelque chose qui est à l’encontre de votre conscience, même si l’état le demande.
4. Si les personnes sont bonnes uniquement par peur du châtiment et s’attendent à une récompense, alors on est désolants.
5. Des moyens parfaits et des buts confus semblent être notre plus grand problème.
6. L’amour est un meilleur professeur que le devoir.
7. Si vous ne pouvez pas l’expliquer simplement c’est que vous ne le comprenez pas assez bien.
8. Aucun problème ne peut être résolu avec le même niveau de conscience qui l’a créé.
9. La folie c’est de faire constamment la même chose tout en s’attendant à des résultats différents.
10. Apprenez d’hier, vivez pour aujourd’hui et espérez pour demain.
11. Il est devenu outrageusement évident que la technologie a dépassé notre humanité.
12. Tout ce qui peut être compté ne compte pas nécessairement; tout ce qui compte ne peut pas être nécessairement compté.
13. La force attire toujours les hommes sans morale.
14. Toute chose doit être aussi simple qu’elle l’est, mais pas plus simple.
15. Un homme doit chercher ce qui existe et ce qui devrait exister.
16. Chaque homme qui lit trop et qui utilise trop peu son cerveau est un homme qui prend la mauvaise habitude de trop penser.
17. Une personne qui n’a jamais fait d’erreurs est une personne qui n’a jamais essayé quelque chose de nouveau.
18. C’est l’art suprême du professeur de réveiller la joie dans le savoir et l’expression créative.
19. Toute personne qui ne prend pas au sérieux la vérité dans les petites choses, ne peut pas être digne de confiance pour les grandes choses.
20. Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition violente de la part des esprits médiocres.
21. L’éducation est ce qui reste après qu’on ait oublié ce qu’on a appris à l’école.
22. La logique vous mènera du point A au point B. l’imagination vous mènera partout.
23. La colère n’habite que les imbéciles.
24. L’information c’est le savoir.
25. Ne perdez jamais votre curiosité.
http://potentiel-magazine.com/25-lecons-de-vie-dalbert-einstein/
Pourrait-on vous amener à divulguer votre code bancaire simplement en vous faisant penser à lui ? L'activité électrique de votre cerveau peut-elle trahir vos secrets ? C'est la démonstration qu'ont accomplie des chercheurs lors de la récente conférence sur la sécurité informatique Usenix. Pour cela, ils ont utilisé un simple casque EEG (type Emotiv, disponible dans le commerce pour 500 $), qui mesure l'activité électrique du cerveau, une technologie qui n'avait jamais été étudiée sous l'angle de ses implications en matière de sécurité, rapportent Extreme Tech et Cnet.
L'étude (.pdf) des chercheurs (présentation en vidéo) menés par Ivan Martinovic du département des sciences informatiques de l'université d'Oxford, a consisté à créer un programme personnalisé conçu dans le but de vous faire penser à des données sensibles telles que l'emplacement de votre maison, le code secret de votre carte de crédit ou votre mois de naissance. Les chercheurs ont testé leur programme sur 28 participants coopératifs (même s'ils ne connaissaient pas le but de l'expérience) et les résultats ont montré que la fuite d'information provenant de l'utilisateur (la mesure de "l'entropie de l'information") apportait une réponse supérieure de 15 % à 40 % à une méthode aléatoire.
Les chercheurs se sont appuyés sur les ondes P300, un tracé d'ondes très spécifique qui se produit lorsque vous reconnaissez quelque chose qui a un sens (visage d'une personne connue) ou quelque chose qui convient à ce que vous êtes en train de faire (voir un marteau quand vous bricolez) et qui commence à être pris en compte dans les détecteurs de mensonges. L'exercice pour les cobayes consistait à observer des séries de photos défilant rapidement sur un ordinateur (des visages, des cartes géographiques, des photos de cartes bancaires, la liste des mois de l'année...) tout en leur posant des questions spécifiques et pour les chercheurs à observer celles qui déclenchaient une réponse du capteur.
Pour les chercheurs, des développeurs malveillants pourraient utiliser cette technologie, utilisée dans de plus en plus de jeux, pour créer un "logiciel espion de cerveau", une application incitant les joueurs à réfléchir à des informations sensibles qu'ils pourraient donc voler. Bien sûr, les résultats obtenus sont encore trop bruyants. "Les dispositifs utilisés ne sont pas faits pour détecter ce type de modèles", a souligné Martinovic. Cependant, l'expérience a montré que les résultats étaient meilleurs qu'une supposition purement aléatoire. En améliorant le camouflage de l'interrogatoire pour rendre l'utilisateur plus coopératif et la qualité des appareils de mesure, le taux de réussite pourrait certainement être amélioré.
Les chercheurs ont noté dans leurs conclusions qu'il était possible de diminuer le taux de réponse que votre cerveau donne malgré vous en se concentrant sur autre chose, par exemple en comptant les visages qui ne vous sont pas familiers... A l'inverse, ces techniques permettraient aussi de développer de nouvelles méthodes de sécurité, vous permettant par exemple d'accéder à vos données simplement en présentant sous vos yeux l'image d'un de vos amis.
Hubert Guillaud
http://internetactu.blog.lemonde.fr/2012/10/31/peut-on-extraire-des-donnees-de-votre-cerveau/
Dans une récente étude parue dans la revue Nature Physics et présentée sur le site de Harvard, les secrets de la formation des plis et replis du cerveau - ou circonvolutions cérébrales - nous sont révélés. Les chercheurs se sont penchés sur la manière dont notre cerveau prend cette forme si particulière. Comment se créent les multiples plis du cerveau humain ? Explication génétique ou mécanique ?
Les creux et les crêtes spécifiques du cerveau humain ne sont présents que chez une poignée d’espèces animales, comme les primates, les dauphins, les éléphants et les porcs. Le volume de notre crâne varie en moyenne de 1100 à 1700 cm3. Or si on défroissait notre cerveau, il s’étendrait sur une surface de 1 à 2 m2. La gyrification (le degré de plissement) est une caractéristique cérébrale importante, puisqu’elle permet ainsi de faire tenir un grand cortex dans un espace réduit.
Plusieurs hypothèses ont été émises jusqu’à présent pour expliquer l’apparition des plis et replis sur le cerveau. Les chercheurs de la John A. Paulson Ecole Harvard de génie et sciences appliquées, avec la collaboration de scientifiques finlandais et français, ont réussi à montrer que le pliage du cerveau résultait d’une compression mécanique de l’organe dans le crâne. Une compression utile dans la mesure où les plis permettent un rapprochement des neurones, favorisant des connexions plus courtes et plus rapides.
Pour valider leur hypothèse, l’équipe de recherche a collaboré avec des neuroanatomistes et des radiologues en France pour construire un modèle en 3D d’un cerveau de fœtus humain, à partir d’images IRM. Les observations ont montré que le cerveau du fœtus humain est lisse pendant les vingt premières semaines ; c’est à partir de la vingtième semaine de gestation du fœtus que le pliage commence. Elle se poursuit jusqu’à ce que l’enfant soit âgé d’environ 18 mois. Les scientifiques ont alors cherché à reproduire la croissance corticale pour comprendre ce phénomène. Ils ont appliqué sur la surface de leur modèle 3D une couche de gel en élastomère, puis ils l’ont immergé dans un solvant. En quelques minutes, les chercheurs observent que la couche de gel gonfle, ce qui crée des forces de compression mécaniques et provoque la formation de plis similaires en taille et en forme à ceux de vrais cerveaux.
Les auteurs de l’étude ont également construit des simulations numériques du cerveau modélisé comme un tissu doux et ont montré, à travers un parcours de développement réaliste, que là encore les circonvolutions apparaissaient. La géométrie du cerveau sert donc à orienter les plis dans certaines directions.
Cette découverte peut permettre de mieux comprendre la formation de certaines pathologies et avoir des répercussions sur les diagnostics et les traitements d’un certain nombre de troubles neurologiques. En effet, selon J.Y. Chung, co-auteur de l’étude : « Le cerveau n’est pas exactement le même d’un humain à l’autre, mais nous devrions tous avoir les mêmes grands plis afin d’être en bonne santé. Notre recherche montre que si une partie du cerveau ne se développe pas correctement, ou si la géométrie globale est perturbée, nous n’avons peut-être pas les grands plis au bon endroit, ce qui peut provoquer un dysfonctionnement dans le cerveau. »
Source : Tuomas Tallinen, Jun Young Chung, François Rousseau, Nadine Girard, Julien Lefèvre et Lakshminarayanan Mahadevan. On the growth and form of cortical convolutions. Nature physics, février 2016.
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-notre-cerveau-ressemble-t-il-a-une-grosse-noix
1. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
2. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
3. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
4. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
7. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...
8. Par daya le 2022-09-22
j'apprécie votre site