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Comment apaiser les tensions entre parents et enfants


Les relations sont souvent conflictuelles au moment de l’adolescence. Rares sont les familles qui échappent à ce constat. Parfois le climat s’est tellement dégradé qu’on assiste à un réel blocage. Chacun restant sur ses positions. La communication devient de plus en plus difficile. L’incompréhension est presque totale.

Il reste toutefois une piste intéressante à explorer : la rédaction d’un contrat entre parents et enfants.

Le contrat est un outil puissant qui présente bien des avantages s’il est suffisamment réfléchi et discuté avant sa rédaction par les deux parties.
Rappelons qu’un contrat est « Une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à faire ou ne pas faire quelque chose » (1)
Les différentes étapes dans la création d’un contrat :

;;;; La concertation et la négociation

Avant de se lancer dans la rédaction d’un contrat, il faut s’entendre sur les points qui seront mentionnés et les engagements que chacun est prêt réellement à consentir.
C’est une démarche infiniment respectueuse de l’individu.
Chacun va exprimer ses besoins mais aussi ses limites. Il faut savoir les entendre si l’on veut que le contrat s’avère riche et constructif.
« J’entends ce que tu es prêt à faire mais aussi ce que tu n’es pas prêt à faire … du moins pour le moment ».

En rétablissant la confiance, chacun pourra s’engager un peu plus. Petit à petit, on observera de réels progrès.
Mais ne pas perdre de vue que la phase de concertation est essentielle.

;;;;; La rédaction du contrat

Quelques règles s’imposent en matière de rédaction de contrat dès lors qu’il s’agit de définir les engagements des uns et des autres :

1. La description du point abordé doit être précise et concrète
2. Savoir se limiter à un seul problème à la fois
3. Le contrat doit être formulé positivement
4. Le contrat doit être réaliste ainsi que les moyens à mettre en œuvre
5. Le délai doit être court – Quelques semaines tout à plus dans la réalisation des objectifs
6. Les moyens à mettre en œuvre doivent être clairement définis

Ainsi on retiendra que pour être efficace un contrat devra être concret, limité dans le temps, positif, réaliste et court.
Il faut savoir réduire ses demandes pour avoir une chance de les voir se réaliser.

;;;;; Le processus

Bien souvent la situation de départ entre parents et enfants est confuse, tendue et conflictuelle.
Un premier pas sera franchi quand chacun aura le sentiment d’avoir été entendu dans ses besoins et ses demandes.
Peu importe le nombre de points contenus dans le contrat, dès lors que le processus de restauration de la confiance et de la réussite sera enclenché, on pourra aller plus loin.


L’important étant d’inverser la tendance :

· Passer de l’incompréhension totale à un début de compréhension
· Passer du sentiment d’échec à celui de la réussite même partielle
· Passer de la perte de confiance totale à son rétablissement progressif

;;;;; L’heure du bilan

Etablir un contrat c’est impérativement en définir clairement la durée d’application et savoir très précisément quand aura lieu l’heure du bilan.
Rien ne doit être laissé au hasard de ce point de vue là.
ð « Le contrat est signé pour une durée de 6 semaines. Un bilan sera fait le ……. »

Attention également à garder en mémoire ce principe : Plus la durée est raisonnablement courte, plus son efficacité sera grande.

Avec des enfants et même des adolescents, il ne faut jamais perdre de vue qu’il est quasiment impossible pour eux de se projeter au-delà de quelques semaines.
Exiger d’eux un effort soutenu sur toute une année scolaire ne servirait à rien.
Par contre, leur demander d’appliquer une méthode de travail spécifique dans une matière particulière en visant des résultats concrets dans les 5 ou 6 semaines sera réellement efficace.

Ne pas oublier que les enfants ont tendance à se décourager rapidement
Le point qui sera fait à l’issue de cette période permettra de constater et de fêter les progrès accomplis.


Signer un contrat parent-enfant, c’est aussi devenir partenaires dans la réussite.
C’est avancer main dans la main, conscient des embuches qui se présenteront inévitablement sur le chemin mais dans un même effort de compréhension, de confiance et avec un objectif commun.

 

Dossier : Béatrice VICHERAT

http://apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/article.php?cat_num_sel=&numtxt=673


Les 3 types de phrase qui nous éloignent (définitivement) de nos enfants

Parennts enfants

D'abord, je fais le souhait que l’éducation intelligente, bienveillante, en conscience ou quel que soit le nom qu’on veuille lui donner puisse empêcher la haine de grandir et de se développer.

Tu sais déjà qu’il peut être intéressant de ne pas toujours dire « non » (cf: la fin du terrible two) qu’il est recommandé aussi d’éviter le « mais » (cf: pourquoi il ne faut pas dire « mais » à ses enfants?) et aujourd’hui, tu vas pouvoir encore surveiller davantage ton langage quand tu parles à tes enfants (et pas seulement pour ne pas dire de gros mots).
Les Généralisations*

Est-ce qu’il t’ai déjà arrivé de faire des généralités? C’est à dire de donner un caractère définitif et permanent à un comportement, une action à partir seulement d’une ou plusieurs expériences semblables. C’est extrêmement courant, on passe notre temps à en dire (tiens, en voilà une, justement!).

Utiles pour l’apprentissage, pour synthétiser quelque chose, pour concevoir une idée, elles sont aussi venimeuses que de méchants champignons rouges et blancs dans la communication parent/enfant (et la communication tout court, aussi soit dit en passant.)
1. Quantifieur universel: tout, jamais, toujours

Dès que tu emploies une phrase avec « tout », « jamais », « toujours », « tout le temps », « à chaque fois »… c’est bon, tu es en plein dedans!

- Tu ne ranges jamais ta chambre!

- Tu n’écoutes jamais rien!

- Elle désobéit tout le temps!

- Il embête toujours ta sœur!

ranger sa chambreEt pourquoi ça fait du mal de dire ça? me diras-tu, ils ne rangent jamais leur chambre, ces petits morveux!
Et bien, tout simplement parce que c’est faux. Il embête toujours sa sœur?… Vraiment?… Tout le temps?… T’es sûr?…Il ne va pas à l’école de temps en temps?… Il ne dort jamais?… Il ne fait vraiment rien d’autre?… Peut-être que c’est trop souvent pour toi, mais dire « toujours », c’est faux, c’est un mensonge (et c’est pas bien de mentir, tu sais?). Et comme c’est faux, ça place l’enfant dans un sentiment d’inconfort terrible: mélange d’incompréhension et d’impuissance, le cocktail détonnant. Tu as d’ailleurs du remarqué que ce genre de phrase ne résout rien, ne change rien, ne modifie rien, sauf peut-être l’ambiance qui devient de plus en plus lourde…. Alors, pas de panique, il suffit seulement de faire n’importe quoi d’autre (cf: faites n’importe quoi d’autre).
2. Nominalisation: construire un nom à partir d’un verbe

Pratique très répandue, surtout quand il y a plusieurs enfants, notamment pour les différencier les uns des autres (Et si tu t’achetais plutôt des lunettes?…)

- Regardez-moi ce bon à rien!
Je ne vois pas… où ça exactement?…. L’adulte ou l’enfant?

- T’es vraiment qu’une pleurnicheuse!
Les chats ne font pas des chiens.

- Mon fils est coléreux, rêveur, maladroit…
Ah bon?… Je croyais qu’il s’appelait Antoine?

phrases à éviter enfantLes étiquettes sont des généralisations. J’en ai déjà parlé dans « Et si les caprices n’existaient pas?« , les étiquettes sont plus que délétères. Elles enferment l’enfant dans un comportement, le réduisent, le transforment en objet qu’on étiquette. Un enfant coléreux, ça n’existe pas, c’est seulement un enfant qui parfois, souvent peut-être (mais pas « TOUJOURS ») se met en colère. Est-ce qu’il se met en colère 24h/24h, 7j/7j?…. Non?… Alors, ce n’est pas « toujours ». C’est seulement un comportement, ça ne fait pas une identité.
3. Origine perdue: on dit que, il faut que…

La plupart de nos réponses, quand on ne sait pas quoi dire, ressemble à cela. On saute à pied joint sur des phrases type « origine perdue », super pratique puisque justement on ne peut vérifier d’où ça vient et donc c’est forcément vrai, n’est-ce pas? (Bon, de toute façon, c’est moi la mère et toi l’enfant, alors tu te tais maintenant, compris?)

Ce qui donne:

- « On ne jette pas la nourriture! »
cf: les 10 phrases qui poussent nos enfants vers l’obésité

- « Ça ne se fait pas! »
Qui a l’avantage ou l’inconvénient de s’appliquer à vraiment n’importe quoi?

- « C’est interdit! »
Ah bon?.. par qui?… Y’a vraiment des policiers qui vont venir me chercher si j’écris sur la table de la cuisine?

- « C’est comme ça! »
Celle-là, je l’utilise beaucoup, je dois avouer… Très pratique pour clore l’enchaînement sans fin des fameux pourquoi? pourquoi? pourquoi?… parce que c’est COMME CA! (Ce qui ne veut absolument rien dire quand on y réfléchit…)

Si tu t’es reconnu, rassure-toi, c’est normal!… Les généralisations sont extrêmement courantes et tout le monde les utilise (tiens, en voilà, une!…). On ne peut quasiment pas s’exprimer sans (et encore une autre).Tu vois, elles sont vraiment partout (et hop, une troisième!). Donc, pas de culpabilité s’il te plaît! (cf: ma vielle copine, la culpabilité).

Essaie seulement quand tu en repères une, de changer la construction de ta phrase, par exemple: « tu embêtes toujours ta sœur! » deviendrait « tu embêtes ta sœur », ce qui n’a, en fait, plus beaucoup de sens, ni d’impact, alors est-ce bien la peine de le dire?… ;-)

Et toi, quelle est la généralisation que tu emploies le plus souvent?

* »généralisation » n’est pas une faute de frappe, c’est une appellation qui vient de la PNL pour nommer ces sortes de généralités qui se repèrent par ces trois tournures de langage.

 

 

Une méthode pour faire obéir ses enfants sans crier

Education des adolescents

Même si tu n’aimais pas les maths à l’école, voici une équation qui te sera très utile dans la vie de tous les jours:

plus + moins = zéro

C’est à dire que le corps humain ne peut pas ressentir deux émotions contraires en même temps. On ne peut pas être très énervé et joyeux en même temps. Bien sûr, on peut avoir des sentiments partagés, mais on ne peut pas ressentir une émotion et son contraire en même temps. C’est physiologiquement impossible.

Ok, me diras-tu, mais comment passer d’un très grand énervement à une très grande joie?…

Et bien voila à la bonne nouvelle du jour, c’est beaucoup plus simple qu’on pourrait le croire.

Comment faire disparaître sa colère?

colère mamanAu moment où tu te sens particulièrement énervée par ton enfant, tu viens de lui répéter 153 fois la même phrase sans aucun espèce d’effet, ou en tout cas absolument pas l’effet escompté, ton (infinie) patience a atteint son point de non retour, tu es sur le point d’exploser (et de le regretter ensuite – cf: ma vieille copine, la culpabilité), mais aucune autre alternative ne s’offre à toi, tu ouvres la bouche pour crier, décharger ta colère parce que tu n’y tiens plus… STOP!….

C’est le bon moment pour employer la méthode magique!

Au lieu de crier, ouvre bien grand la bouche comme tu étais prête à le faire, mais…. au lieu de crier, chante!..
– Mais enfin, je n’ai pas du tout envie de chanter, moi! Je suis super méga-énervée!!!
– Je comprends bien!.. Et c’est justement là que ça devient intéressant, drôle (et mathématique) tu ne pourras pas chanter en étant énervée. Le simple fait te mettre à chanter, va faire complètement disparaître la colère, et dans le même temps (et c’est là que c’est magique) faire obéir ton enfant.

La méthode en action

19h. Fin de journée. Fatigue. Ma fille de 6 ans refuse de se mettre en pyjama. Je lui demande une fois, deux fois, trois fois… Elle continue à jouer comme si de rien n’était. Bref, pas la peine de te faire un dessin, tu vois le tableau…. La colère commence à monter. Pourquoi elle ne m’écoute pas?!… (cf: Connaissez-vous vos enfants?) Pourquoi elle ne fait pas ce que je lui demande?!… Je ne vais pas me laisser faire, j’ai le repas à préparer, et puis… etc….etc…
Stop!… Juste un petit effort pour se lancer et …

…sur l’air de Vive le vent d’hier:
« Met ton pyj,
Met ton le pyj,
met ton pyjamaaaa….
ma chérie,
habille-toi,
allez, habille-toi! »

Regard surpris de ma fille, qui se met à chanter aussi et à mettre son pyjama en rigolant.
 Quand je te disais que c’était magique!

Si tu préfères mettre de la musique et danser, ça marche aussi très bien. On ne peut pas danser et être en colère. Essaie, tu verras, c’est juste impossible.

J’aime bien le chant, parce que ça peut se faire partout et sans préparatif, ça met de la bonne humeur dans la maison et c’est gratuit!… A utiliser sans modération!

Et chez toi, comment tu la gères, la colère?

 

http://www.droledemaman.com/les-3-types-de-phrase-qui-nous-eloignent-definitivement-de-nos-enfants/

http://www.droledemaman.com/une-methode-simple-pour-arreter-de-crier-sur-ses-enfants/

Filles / Garçons : quels choix d’orientation ?

Le fait que les femmes et les hommes choisissent des domaines d’études différents peut s’expliquer par les perceptions traditionnelles des identités des deux sexes et des rôles qui leur sont dévolus, ainsi que par la valeur culturelle parfois associée à des domaines d’études particuliers. Certains domaines, comme ceux en rapport avec la science, l’ingénierie, la production et la construction, sont considérés comme plus « masculins » et sont privilégiés par les hommes, alors que d’autres, comme la santé et l’éducation, sont plus « féminins » et sont plus prisés par les femmes.

Parmi les diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire en filière professionnelle, plus d’un homme sur deux a suivi une formation en rapport avec l’ingénierie, la production ou la construction.


Dans la quasi-totalité des pays dont les données sont disponibles, les hommes sont plus nombreux que les femmes à avoir opté pour ces domaines d’études ; en Estonie et en Norvège, les hommes constituent trois quarts de l’effectif diplômé à l’issue d’une formation dans l’un de ces domaines.

Répartition des diplômés du deuxième cycle du secondaire (filière professionnelle) dans les pays de l’OCDE, selon le domaine d’études et le sexe (2010)

Le domaine d’études principal des femmes varie entre les pays. Les femmes tendent à opter pour une formation en rapport avec les sciences sociales, le commerce ou le droit en Allemagne, en Autriche, en Espagne, en France, en Indonésie, au Japon, en République slovaque, en République tchèque, en Slovénie et en Suisse.

Les formations les plus prisées par les femmes sont celles en rapport avec la santé et le secteur social en Australie, au Danemark, en Finlande, en Norvège, aux Pays-Bas et en Turquie, celles en rapport avec les services en Estonie, en Hongrie et en Pologne, et celles en rapport avec l’éducation, les arts et lettres et les sciences humaines en Corée, en Islande et en Suède. L’Argentine est le seul pays où les femmes optent plutôt pour une formation en rapport avec l’ingénierie, la production et la construction.

Diverses raisons expliquent pourquoi les hommes et les femmes choisissent des domaines d’études différents : leurs préférences personnelles, leur performance en compréhension de l’écrit, en mathématiques et en sciences, et leurs aspirations professionnelles.

Ces différences peuvent aussi être imputables à la politique de l’éducation si elle tend à orienter les élèves à un âge précoce en fonction de leur sexe. Abstraction faite des différences sociales, culturelles ou personnelles, hommes et femmes sont tout aussi capables de réussir dans tous les domaines. Les résultats du cycle PISA 2009 montrent qu’en compréhension de l’écrit, les filles l’emportent sur les garçons dans tous les pays de l’OCDE : l’écart de performance entre les sexes représente, en moyenne, l’équivalent d’une année d’études environ. Les garçons devancent les filles en mathématiques, mais font jeu égal avec elles en sciences (voir OCDE, 2010).

 

http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/filles-gar%C3%A7ons-quels-choix-d-orientation-1350-8-7.html

 

L'intelligence et le bien-être des enfants favorisés par la présence active du père

Parents

Un père qui participe activement à l'éducation de ses enfants peut aider à les rendre plus intelligents et mieux éduqués, selon une nouvelle recherche de l'Université Concordia.

Publiée dans le Canadian Journal of Behavioural Science, l'étude à long terme examinait comment les pères peuvent influer positivement sur le développement de leurs enfants grâce à un parentage responsable.

L'influence du père

" Qu'un père vive avec ses enfants ou non, c'est sa capacité à fixer les limites appropriées et à structurer le comportement de sa progéniture qui facilite la résolution des difficultés et atténue les problèmes émotionnels tels que la tristesse, le retrait social et l'anxiété ", poursuit Mme Pougnet.

Aux fins de l'étude, 138 enfants et leurs parents ont été observés au cours de trois séances distinctes. Les jeunes ont été évalués entre trois et cinq ans, puis entre neuf et treize ans. Ils ont passé des tests d'intelligence tandis que leur mère remplissait des questionnaires sur l'environnement familial et les conflits de couple. Tous les enfants ont été sélectionnés dans le cadre d'une vaste enquête longitudinale et intergénérationnelle sur les risques, lancée en 1976 (Concordia Longitudinal Risk Research Project).

Des instituteurs ont également été recrutés afin d'examiner le comportement des jeunes hors du foyer. " Ces enseignants représentaient en quelque sorte une source d'informations plus indépendante que la maman, le papa ou les enfants mêmes, explique Mme Pougnet, car l'absence du père peut entraîner des conflits à la maison ainsi qu'une détresse tant chez la mère que chez l'enfant. "

Un impact accru chez les filles

Selon l'étude, les petites filles sont les plus affectées par l'absence de leur père. Les chercheurs précisent toutefois que cette absence peut causer d'autres problèmes, comme un manque de soutien ou de discipline. " Les filles dont le père était absent durant le milieu de leur enfance présentent clairement davantage de difficultés émotionnelles à l'école que celles dont le père était présent ", souligne Mme Pougnet.

Les mamans et les gardiennes, tout aussi importantes

" Même si notre étude a examiné le rôle important des pères dans le développement de leurs enfants, ces derniers ne s'en sortent pas nécessairement mal sans père ", indique Lisa A. Serbin, coauteure de l'étude, professeure au Département de psychologie de l'Université Concordia et également membre du Centre de recherche en développement humain. " Les mères et autres gardiennes sont également importantes. Il ne fait aucun doute que le père joue un rôle majeur, mais il existe certainement de nombreuses autres manières d'élever un enfant en santé. Certains jeunes dont le père est absent ou distant s'en sortent bien intellectuellement et émotionnellement. "

Ces découvertes, cependant, devraient pousser les gouvernements à élaborer des politiques qui favorisent les contacts positifs entre l'enfant et le père. " Les initiatives pour les pères, telles que le congé parental et les cours sur le rôle parental, pourraient aider à maximiser le développement des jeunes, de la petite enfance à la préadolescence ", conclut Mme Serbin.

 

http://www.masantenaturelle.com/chroniques/nouvelle/nouvelle_intelligence-bien-etre_enfant_pere.php

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