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Quand ça ne marche pas à l'école

"Quand j’étais petit, je croyais naïvement que pour réussir sa vie, il fallait bien travailler à l’école.
Après tout, la réussite scolaire mène aux meilleurs diplômes. Les meilleurs diplômes mènent aux meilleurs emplois. Les meilleurs emplois mènent aux meilleurs salaires. Et l’argent fait le bonheur :D
Puis j’ai cessé de croire au Père Noël, le choc !"

A quoi ressemblera l'homme en 3012?

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A quoi ressemblera l'homme dans 1000 ans?

Depuis que l'homme est homme, son corps et son visage n'ont cessé d'évoluer. Et ce n'est pas fini! Des experts spécialisés en anatomie humaine ont tenté de déterminer à quoi les générations futures ressembleront dans 1000 ans.  

Le tabloïd britanniqueThe Sun s'est alors amusé à réunir leurs prédictions, pour finalement dévoiler une estimation de l'Homme d'après demain. Résultat: finis les Brad Pitt, Johnny Depp et autres George Clooney. Envolées Monica Bellucci, et Shakira. Nos descendants seront bien loin des canons de la beauté actuels.  

Dans le détail, selon le journal, les humains seront de plus en plus grands au fil du temps grâce aux progrès de la médecine et à une meilleure alimentation. "Aujourd'hui, l'Américain moyen mesure déjà 2,5 centimètres de plus qu'en 1960", constate l'ostéopathe Garry Trainer. En 3012, nous atteindrons jusqu'à 2,10 m. Dans 1000 ans, Michael Jordan et Teddy Rinner seront donc des petits joueurs. 

Plus grands, et moins gros: certains de nos organes liés à la digestion, en particulier les intestins, seront plus courts afin d'échapper naturellement à l'obésité.  

Un plus petit cerveau

L'utilisation toujours plus intensive de technologies telles que les iPhones ou les claviers, engendrera une transformation de nos mains, qui seront plus sensibles grâce à un afflux de terminaisons nerveuses, ainsi que de nos bras, qui seront plus longs pour nous permettre de moins bouger. Fainéants de surcroît! 

A cause de l'influence de ces gadgets électroniques, l'homme sera beaucoup plus ridé qu'aujourd'hui. Ridé mais moins velu. En effet, la climatisation et le chauffage central réduiront notre pilosité. Une sorte de cadeau de consolation.  

Côté cerveau, pourquoi s'encombrer? Une partie du travail de pensée et de mémorisation pourra être déléguée à nos ordinateurs, ce qui justifiera une réduction de la taille du cerveau. 

Les édentés

A force de manger des nourritures plus molles, l'humain aura moins de dents et une plus petite bouche. "On peut penser que notre alimentation se présentera sous forme de liquides ou de pilules, ce qui aboutira à l'avenir à une mâchoire moins importante" affirme le dentiste Philip Stemmer. Il est même prévu que l'homme de l'an 3000 arbore des quadruples mentons à cause de la sédentarité. Charmant.  

En revanche, ses yeux seront plus grands. Pour y voir la nuit, tel un hibou? Que nenni, "La communication sera davantage basée sur les expressions faciales et le contact visuel", explique Cary Cooper, de l'université de Lancaster en Grande-Bretagne.

 

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/a-quoi-ressemblera-l-homme-en-3012_1173258.html

 


Le visage humain dans 100 000 ans : Regardez ce à quoi nous pourrions ressembler par Gentside

Comment convaincre les enfants de manger de la nourriture saine

Coronavirus: détails sur les cours à distance

Coronavirus: détails sur les cours à distance

Comme prévu, le dispositif de cours à distance a été lancé lundi 16 mars à 10h. Il vise à "assurer la continuité de l'enseignement" pendant la période d'arrêt des cours pour éviter la propagation du coronavirus.

Coronavirus : Détails sur les cours à distance

 

Afin d'éviter la propagation de l'épidémie, crèches, écoles et universités marocaines sont fermées jusqu’à nouvel ordre. Un dispositif de cours à distance a été mis en place par le ministère de l'Education nationale.

Le dispositif est destiné à tous les élèves, de la première année du primaire au baccalauréat. Il compte deux composantes: le portail électronique TelmidTice et la chaîne TV Athaqafia.

Le portail TelmidTice comporte des capsules classées par niveaux (primaire, collégial et secondaire) et par matières (mathématiques, arabe...).

Concrètement, les écoliers, collégiens et lycéens choisissent, selon leur niveau d'études, un cours dans différentes matières, selon le programme scolaire actuellement interrompu.

Alimenté dans un premier temps de cours numériques actuellement disponibles, le portail sera régulièrement actualisé selon une programmation horaire prenant en compte la progression pédagogique adoptée dans les cours au sein des établissements scolaires, avait expliqué le ministère de tutelle.

La continuité pédagogique devra, également, être assurée pour les familles ne disposant pas d'ordinateur et n'ayant pas accès à internet, à travers la chaîne TV Arrabia (Athaqafia).

Sur la chaîne, accessible sur la TNT, le satellite Nilesat ou à travers l’application SNRT Live, les séances ont démarré avec un cours d'éducation islamique destiné aux élèves de troisième année du collège. Un verset du coran a été suivi d'explications dispensées par deux professeurs. L'après-midi, un cour de physique a été destiné aux élèves du baccalauréat.

La priorité a été attribuée aux élèves des niveaux de première et de 2e année baccalauréat, de 3e année collège et de 3e année primaire. La programmation sur la chaîne TV se fait comme suit:

Quelle efficience?

La suspension des cours à partir du lundi 16 mars ne signifie pas l’instauration de vacances scolaires exceptionnelles mais juste l’arrêt des cours présentiels et leur remplacement par des cours à distance, avait insisté le ministère de l'Education nationale.

Les élèves, les étudiants et les stagiaires sont ainsi appelés à rester chez eux, à ne pas voyager et à ne pas pratiquer d’activités ludiques, sportives ou toutes autres activités et à suivre les cours à distance.

Lancé pour assurer la continuité des enseignements, le dispositif de cours à distance laisse, toutefois, perplexe. Les usagers en pointent déjà les failles.

En effet, l'accès au portail en ligne nécessite une connexion internet. Pour suivre assidûment, l'enfant devra être accompagné par un parent. Les enseignants n’ayant pas les moyens d’obliger leurs élèves à faire les exercices ni à assister aux cours virtuels, notamment en l'absence d'échange.

A partir du lundi 16 mars à 14h, le ministère a annoncé la mise en place d'un "service d'écoute électronique" via le numéro vert 0800001122 et une adresse électronique, destinés à recevoir toutes les interrogations et suggestions relatives à l'avancement du processus d'enseignement à distance. Le service devra être disponible tous les jours de 8h30 à 18h30.

Interrogée sur le déroulement des contrôles déjà entamés avant la suspension des cours, une source autorisée du ministère affirme que les épreuves seront reprogrammées après la reprise. Des cours de soutien seront également fournis aux élèves.

"Tout le monde n'est pas connecté, mais tout le monde a accès à la télé" 

Les cours sont tournés et élaborés au Centre des technologies éducatives, à Rabat. Nous y avons rencontré Ilham Laaziz, directrice du programme Genie (Généralisation des technologies d’information et de communication dans L’enseignement au Maroc), qui pilote la partie relative à la plateforme TelmideTice. Dans cet entretien à bâtons rompus, Mme Laaziz a répondu à nos questions:

- Médias24: Quel est le contenu de la plateforme? Les cours dispensés couvrent-ils toute l'année scolaire ou seront-ils alimentés au fur et à mesure?

- Ilham Laaziz:  La plateforme Telmidetice offre des cours aux élèves des trois cycles et tous les niveaux. Toutes les matières actuelles ne sont pas couvertes mais sont en voie de l’être. Nous avons par exemple enregistré une quinzaine de cours pour le 16 mars. Il y a une trentaine de personnes qui sont mobilisées dans cette production à la fois pour Telmidetice et la télévision scolaire qui passe à Athaqafia TV.

- Les élèves et étudiants ont l'habitude de poser des questions et de demander des explications. Comment pourront-ils faire à distance?

- Il est vrai que l’interactivité avec l’enseignant est la meilleure façon de s’approprier un apprentissage. Mais nous sommes dans une situation exceptionnelle. A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles.

Nous avons des enseignants qui ont l’habitude des classes virtuelles, d’être en contact avec leurs élèves à travers les réseaux sociaux. Ceux là ont déjà initié cette approche. Mais nous sommes en train de travailler sur cette troisième possibilité qui consistera à mettre en contact les élèves avec les enseignants. Cela demande plus d’appropriation des technologies de la part des enseignants mais aussi une offre technologique différente.

- Il y a la partie cours, mais aussi celle des contrôles et examens...

- Aujourd’hui, ce qui nous importe, c’est de donner du contenu aux élèves. Je ne suis pas habilitée à vous dire ce qu’on va faire en matière d’examens et de contrôles. Nous avons une direction des examens et vu la situation actuelle, je n’ai pas de réponses à vous donner.

Notre souci, notre priorité c’est que nos enfants ne soient pas confinés chez eux à ne rien faire. Ce ne sont pas des vacances, ce sont des mesures de distanciation qui ont été mises en place par le Royaume du Maroc pour accompagner les mesures sanitaires.

Dans une étape future, il y aura surement les réponses nécessaires pour les évaluations et les examens.

- Tous les élèves n'ont pas forcément accès à internet ou à la télé, notamment dans le milieu rural. Seront-ils pénalisés?

- La plupart des enfants ont accès à la télévision. Je ne pense pas qu’on ait des foyers qui ne disposent pas d’une télévision. Le contraire reste exceptionnel. Vous me direz que tout le monde n'a pas accès à un ordinateur, c'est vrai. Tout le monde n'a pas accès à un ordinateur ou internet, c'est vrai. Même si les chiffres de l'ANRT montrent que les connectivités sont de plus en plus importantes.

Interview live avec Ilham Laaziz, Directrice du Programme GENIE

https://www.medias24.com/coronavirus-details-sur-les-cours-a-distance-8399.html

École buissonnière ou phobie scolaire ?

Il y a plus d’une bonne ou mauvaise raison de ne pas aller à l’école, mais depuis le milieu des années 2000, il en est une qui se développe: la « phobie scolaire ».

Au plus simple, c’est un comportement de refus angoissé de l’école chez l’adolescent. Selon une étude ancienne, les deux tiers des cas reconnus seraient précurseurs de troubles névrotiques, voire psychotiques chez l’adulte. Oui, mais voilà : psychiatres, médecins et pédagogues s’interrogent sur l’utilité d’une telle catégorie pathologique, car on ne sait pas trop à quelle cause l’attribuer.

Plusieurs thèses se partagent l’explication du phénomène. Une phobie suppose une causalité endogène. Dans le cas présent, ce serait une angoisse spécifique d’avoir à apprendre, ou d’être incapable de le faire. Selon d’autres psychiatres, ce serait la crainte d’être confronté à autrui, voire la conséquence d’un harcèlement. Les auteurs anglo-saxons parlent de « refus scolaire », qui a peu à voir avec l’école, mais serait une forme tardive de l’angoisse d’être séparé de ses proches. À l’opposé, la cause peut être cherchée dans l’inadaptation du système scolaire, soit qu’on le juge anxiogène par nature, soit qu’on incrimine un moment de crise dans la transmission de la culture. Dans ce cas, on parle de « décrochage scolaire » et non de phobie.

Comme le souligne Philippe Mazereau, chercheur à l’université de Caen, le choix des mots est donc un problème. Celui des remèdes en est un autre. Or, son enquête montre deux choses. D’abord, il existe une demande croissante de diagnostic « phobique » de la part des parents, plus que des médecins. Ensuite, s’il n’existe pas de description consensuelle de la phobie scolaire, le diagnostic est déductible du traitement que l’on applique : s’il y a prise en charge psychologique et scolarisation à la maison, alors c’est bien une phobie scolaire, et non un autre trouble, qu’il soit de séparation ou lié à la « crise adolescente ».

 


Philippe Mazereau et al. (coord.), 
« Phobie scolaire ou peur d’apprendre ? », 
La Nouvelle Revue de l’adaptation 
et de la scolarisation, n° 62, juillet 2013.

6 conseils pour participer en classe

Enseignement

 

Participer en classe représente une véritable épreuve et crée pour un grand nombre d’élèves un sentiment de mal-être. Cela peut dans la majorité des cas nuire à leur apprentissage. En effet, beaucoup d’élèves aux collèges et lycées n’arrivent pas à participer en classe pour plusieurs raisons : peur de la réaction des camarades, timidité, manque de confiance en soi…

 

Tu as souvent peur de la réaction des autres lorsque tu lèves la main? Tu as du mal à prendre la parole en classe même si tu comprends bien la leçon? Tu n’as pas compris la leçon et as peur de poser la question?

Suis donc ces 6 simples conseils qui t’aideront à participer plus en classe !

Pose des questions:

Une bonne façon de participer en classe est de poser des questions. Pour participer en classe, il ne s’agit pas seulement de répondre aux questions du professeur, tu peux donner ton opinion par exemple ou tout simplement poser des questions.

Lorsque tu as une question à propos de quelque chose que tu n’as pas compris ou que tu as envie de savoir plus sur un sujet, lève la main et pose ta question.

Sache qu’un élève qui ne pose pas de question quand il comprend pas a forcément tendance à régresser.

Entraîne toi à la maison:

L’une des meilleures façons qui t’aideront à oser participer en classe est le fait de s’entraîner chez soi. Tu vas faire peut être beaucoup d’erreurs mais l’avantage c’est que tu es seul dans cette étape. Profites de cet exercice pour te corriger et apprend de tes erreurs pour ne pas les commettre en classe.  

Apprends à communiquer:

Si tu n’as pas l’habitude de participer en classe, il faut apprendre petit à petit. Commence à communiquer plus avec tes amis et ta famille. Tu peux par exemple leur raconter ce que tu as fait pendant la journée ou ce que tu as appris en classe. Tu peux aussi donner ton avis sur un film, une chanson, un livre ou tout simplement raconter tes sorties ou tes vacances… Tu verras, cette technique t’apprendra à mieux communiquer avec ton entourage et t’encouragera à participer en classe.

Révise tes cours la veille:

Souvent, beaucoup d’élèves ne participent pas parce qu’ils n’ont tout simplement pas révisé leurs cours avant de venir en classe. Pour avoir le courage de participer en classe, il est préférable de réviser le cours précédent au moins une fois avant de venir en cours. Les révisions t’apporteront beaucoup par la suite et t’encourageront à devenir plus dynamique et motivé en classe.

Participe à des activités parascolaires:

Il existe beaucoup d’activités parascolaires efficaces pour développer l’aisance à l’oral, d’avoir plus confiance en soi. Il est donc très conseillé de te lancer dans une activité de loisirs en dehors du collège ou lycée comme par exemple :  cours de musique, cours de théâtre, cours de dessin, cours de danse ou encore la participation aux sports collectifs.

Il s’agit en effet  d’excellents moyens de devenir une personne confiante car ce sont des activités qui permettent de s’exprimer d’une manière différente.

Tu verras, qu’avec le temps, tu participeras plus en classe, quel que soit le regard ou les remarques de tes camarades sur toi.

Parles-en avec ton professeur:

Si tu es en classe c’est pour apprendre! Ne te fais pas alors de soucis lorsque tu commets une erreur. Si tu n’arrives toujours pas à participer en classe pour une raison ou pour une autre, tu peux le dire à ton professeur. Il est le mieux placé pour t’aider à surmonter cette difficulté. En lui parlant, il saura que tu es motivé et t’encouragera progressivement à prendre la parole en classe.

 

http://www.9rayti.com/conseil/conseils-participation-classe

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