"Quand j’étais petit, je croyais naïvement que pour réussir sa vie, il fallait bien travailler à l’école.
Après tout, la réussite scolaire mène aux meilleurs diplômes. Les meilleurs diplômes mènent aux meilleurs emplois. Les meilleurs emplois mènent aux meilleurs salaires. Et l’argent fait le bonheur
Puis j’ai cessé de croire au Père Noël, le choc !"
Dans la grande majorité des cas, c’est la mère qui est chargée de prendre soin de la santé de ses enfants, de préparer les repas et de les leur servir. Elle fait de son mieux pour leur assurer une nourriture qui remplisse les conditions d’une alimentation saine. Mais les enfants obtempéreront-ils ?
Souvent, l’enfant répond favorablement à tout ce qui assouvit ses ambitions et ses désirs. Cependant, le convaincre de consommer des aliments sains et équilibrés n’est pas une chose facile !
En fait, les enfants adorent les friandises, le chocolat et les glaces, ainsi que les aliments emballés de manière attirante et qui font habituellement l’objet d’une publicité adressée en particulier aux enfants.
Mais la mère intelligente, soucieuse de présenter à ses enfants des aliments utiles, est capable d’inventer des ruses et des méthodes subtiles en vue d’en convaincre ses enfants.
Elle doit demander l’aide d’Allah, exalté soit-Il, et garder sa patience et sa flexibilité, car elle se comporte avec de petits enfants incapables de saisir la dimension utilitaire et nutritive du processus de consommation de la nourriture.
Voici, chère mère, quelques procédés à effets positifs qui pourraient vous aider à mener à bien votre tâche :
1- Laissez-les prendre part au choix des aliments :
La meilleure méthode capable de susciter l’intérêt de vos enfants et de les pousser à consommer les aliments sains consiste à leur permettre de prendre part à la décision du choix des aliments présentés à la famille. Ils peuvent vous accompagner, vous et leur père, lorsque vous faites les courses, et choisir eux-mêmes les aliments, ensuite, ils peuvent vous aider à ranger les légumes, les fruits et les autres denrées, chacun à sa place. En le faisant, vous pouvez leur indiquer la valeur nutritive de chaque article d’une manière à la fois gaie et enthousiaste.
2- L’enfant est un parfait imitateur :
Il s’agit là d’une réalité pédagogique qu’assimilent tous ceux qui ont été chargés d’éduquer les enfants. Laissez vos enfants vous imiter dans votre comportement nutritif sain. Permettez-leur de vous voir fréquemment manger et déguster des fruits frais, préparer et consommer la salade pendant chaque déjeuner. Le plaisir que vous manifestez en les consommant les attire puissamment et les amène à vous imiter dans la consommation de ces fruits, pour en tirer le même plaisir.
3- Réduisez la quantité de friandises qu’ils consomment :
A chaque fois que vous apportez à votre enfant un sachet de friandises, videz-le à moitié, en vue de réduire le préjudice que ces aliments peuvent comporter pour sa santé et de l’habituer à ne pas faire grand cas de ces friandises.
4- Exprimez votre mécontentement :
A chaque fois que vous donnez à votre enfant les friandises ou les aliments synthétiques qu’il demande, exprimez votre mécontentement, en vue d’ancrer dans son esprit le fait que ces aliments sont mauvais et inutiles.
5- Saisissez l’occasion de leur faim :
Le meilleur moment pour leur présenter des aliments sains est celui de leur retour de l’école. Là, ils seront tout à fait prêts à manger ce que vous leur servirez. Ce serait parfait si vous arriviez à leur servir un plateau de légumes ou de fruits coupés en morceaux jusqu’à ce que vous ayez fini de préparer le déjeuner.
6- Servez les aliments sains d’une manière gaie :
Essayez de faire de la consommation de la nourriture saine un processus intéressant et gai : vous pouvez découper les fruits et les ranger d’une manière attirante sur un plateau, et il serait souhaitable que ce plateau porte des images de fruits. Vous pouvez faire parler ces fruits, qui les appelleront à les manger rapidement, ou faire un concours et donner une récompense à celui qui termine le premier son plat, etc.
7- Pas de desserts juste après le repas !
Ne servez jamais le dessert juste après le repas, pour que vos enfants ne prennent pas cette habitude malsaine.
8- Soyez ferme !
Si vos enfants refusent une nourriture naturelle, n’y substituez pas des aliments synthétiques comme les friandises ou la glace. Et ne vous inquiétez pas, quand ils mourront de faim, ils mangeront ce qu’ils trouveront devant eux.
9- Les aliments tendres et les gâteaux aux fruits :
Les aliments tendres et les purées représentent un moyen facile pour introduire les fruits dans la nourriture des enfants. Vous pouvez les préparer vous-même et les leur servir. Vous pouvez également mélanger les fraises et les bananes avec du lait et du yaourt froid pour les rendre riches en calcium et pour leur donner la consistance crémeuse que les enfants préfèrent.
10- Certains aliments sont plus nutritifs que vous ne l’imaginez :
Rappelez-vous que la nourriture saine ne se limite pas seulement aux légumes et aux fruits. Par exemple, un sandwich au beurre d’arachide avec un verre de lait équivaut à la moitié du besoin quotidien de l’enfant en céréales, en protéines et en produits laitiers.
11- Soyez un modèle à suivre :
Comme vous êtes soucieuse d’amener vos enfants à manger des aliments équilibrés, mettez-vous dans la tête que vous devez être pour eux un modèle à suivre et un bon exemple concernant la consommation d’une nourriture saine. Si vous consommez beaucoup d’aliments malsains ou que vous adoptez de mauvaises habitudes nutritives, ne reprochez pas à vos enfants de vous imiter en cela. Cependant, si vous êtes soucieuse de prendre l’initiative de consommer des aliments sains et utiles, ils s’en apercevront, suivront votre comportement de plein gré et vous imiteront non seulement dans la consommation de ces aliments, mais aussi dans toutes les bonnes habitudes que vous désirez leur inculquer.
http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=articles&id=189652&fromPart=51
Comme prévu, le dispositif de cours à distance a été lancé lundi 16 mars à 10h. Il vise à "assurer la continuité de l'enseignement" pendant la période d'arrêt des cours pour éviter la propagation du coronavirus.
Afin d'éviter la propagation de l'épidémie, crèches, écoles et universités marocaines sont fermées jusqu’à nouvel ordre. Un dispositif de cours à distance a été mis en place par le ministère de l'Education nationale.
Le dispositif est destiné à tous les élèves, de la première année du primaire au baccalauréat. Il compte deux composantes: le portail électronique TelmidTice et la chaîne TV Athaqafia.
Le portail TelmidTice comporte des capsules classées par niveaux (primaire, collégial et secondaire) et par matières (mathématiques, arabe...).
Concrètement, les écoliers, collégiens et lycéens choisissent, selon leur niveau d'études, un cours dans différentes matières, selon le programme scolaire actuellement interrompu.
Alimenté dans un premier temps de cours numériques actuellement disponibles, le portail sera régulièrement actualisé selon une programmation horaire prenant en compte la progression pédagogique adoptée dans les cours au sein des établissements scolaires, avait expliqué le ministère de tutelle.
La continuité pédagogique devra, également, être assurée pour les familles ne disposant pas d'ordinateur et n'ayant pas accès à internet, à travers la chaîne TV Arrabia (Athaqafia).
Sur la chaîne, accessible sur la TNT, le satellite Nilesat ou à travers l’application SNRT Live, les séances ont démarré avec un cours d'éducation islamique destiné aux élèves de troisième année du collège. Un verset du coran a été suivi d'explications dispensées par deux professeurs. L'après-midi, un cour de physique a été destiné aux élèves du baccalauréat.
La priorité a été attribuée aux élèves des niveaux de première et de 2e année baccalauréat, de 3e année collège et de 3e année primaire. La programmation sur la chaîne TV se fait comme suit:
La suspension des cours à partir du lundi 16 mars ne signifie pas l’instauration de vacances scolaires exceptionnelles mais juste l’arrêt des cours présentiels et leur remplacement par des cours à distance, avait insisté le ministère de l'Education nationale.
Les élèves, les étudiants et les stagiaires sont ainsi appelés à rester chez eux, à ne pas voyager et à ne pas pratiquer d’activités ludiques, sportives ou toutes autres activités et à suivre les cours à distance.
Lancé pour assurer la continuité des enseignements, le dispositif de cours à distance laisse, toutefois, perplexe. Les usagers en pointent déjà les failles.
En effet, l'accès au portail en ligne nécessite une connexion internet. Pour suivre assidûment, l'enfant devra être accompagné par un parent. Les enseignants n’ayant pas les moyens d’obliger leurs élèves à faire les exercices ni à assister aux cours virtuels, notamment en l'absence d'échange.
A partir du lundi 16 mars à 14h, le ministère a annoncé la mise en place d'un "service d'écoute électronique" via le numéro vert 0800001122 et une adresse électronique, destinés à recevoir toutes les interrogations et suggestions relatives à l'avancement du processus d'enseignement à distance. Le service devra être disponible tous les jours de 8h30 à 18h30.
Interrogée sur le déroulement des contrôles déjà entamés avant la suspension des cours, une source autorisée du ministère affirme que les épreuves seront reprogrammées après la reprise. Des cours de soutien seront également fournis aux élèves.
"Tout le monde n'est pas connecté, mais tout le monde a accès à la télé"
Les cours sont tournés et élaborés au Centre des technologies éducatives, à Rabat. Nous y avons rencontré Ilham Laaziz, directrice du programme Genie (Généralisation des technologies d’information et de communication dans L’enseignement au Maroc), qui pilote la partie relative à la plateforme TelmideTice. Dans cet entretien à bâtons rompus, Mme Laaziz a répondu à nos questions:
- Médias24: Quel est le contenu de la plateforme? Les cours dispensés couvrent-ils toute l'année scolaire ou seront-ils alimentés au fur et à mesure?
- Ilham Laaziz: La plateforme Telmidetice offre des cours aux élèves des trois cycles et tous les niveaux. Toutes les matières actuelles ne sont pas couvertes mais sont en voie de l’être. Nous avons par exemple enregistré une quinzaine de cours pour le 16 mars. Il y a une trentaine de personnes qui sont mobilisées dans cette production à la fois pour Telmidetice et la télévision scolaire qui passe à Athaqafia TV.
- Les élèves et étudiants ont l'habitude de poser des questions et de demander des explications. Comment pourront-ils faire à distance?
- Il est vrai que l’interactivité avec l’enseignant est la meilleure façon de s’approprier un apprentissage. Mais nous sommes dans une situation exceptionnelle. A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles.
Nous avons des enseignants qui ont l’habitude des classes virtuelles, d’être en contact avec leurs élèves à travers les réseaux sociaux. Ceux là ont déjà initié cette approche. Mais nous sommes en train de travailler sur cette troisième possibilité qui consistera à mettre en contact les élèves avec les enseignants. Cela demande plus d’appropriation des technologies de la part des enseignants mais aussi une offre technologique différente.
- Il y a la partie cours, mais aussi celle des contrôles et examens...
- Aujourd’hui, ce qui nous importe, c’est de donner du contenu aux élèves. Je ne suis pas habilitée à vous dire ce qu’on va faire en matière d’examens et de contrôles. Nous avons une direction des examens et vu la situation actuelle, je n’ai pas de réponses à vous donner.
Notre souci, notre priorité c’est que nos enfants ne soient pas confinés chez eux à ne rien faire. Ce ne sont pas des vacances, ce sont des mesures de distanciation qui ont été mises en place par le Royaume du Maroc pour accompagner les mesures sanitaires.
Dans une étape future, il y aura surement les réponses nécessaires pour les évaluations et les examens.
- Tous les élèves n'ont pas forcément accès à internet ou à la télé, notamment dans le milieu rural. Seront-ils pénalisés?
- La plupart des enfants ont accès à la télévision. Je ne pense pas qu’on ait des foyers qui ne disposent pas d’une télévision. Le contraire reste exceptionnel. Vous me direz que tout le monde n'a pas accès à un ordinateur, c'est vrai. Tout le monde n'a pas accès à un ordinateur ou internet, c'est vrai. Même si les chiffres de l'ANRT montrent que les connectivités sont de plus en plus importantes.
Interview live avec Ilham Laaziz, Directrice du Programme GENIE
https://www.medias24.com/coronavirus-details-sur-les-cours-a-distance-8399.html
Il y a plus d’une bonne ou mauvaise raison de ne pas aller à l’école, mais depuis le milieu des années 2000, il en est une qui se développe: la « phobie scolaire ».
Au plus simple, c’est un comportement de refus angoissé de l’école chez l’adolescent. Selon une étude ancienne, les deux tiers des cas reconnus seraient précurseurs de troubles névrotiques, voire psychotiques chez l’adulte. Oui, mais voilà : psychiatres, médecins et pédagogues s’interrogent sur l’utilité d’une telle catégorie pathologique, car on ne sait pas trop à quelle cause l’attribuer.
Plusieurs thèses se partagent l’explication du phénomène. Une phobie suppose une causalité endogène. Dans le cas présent, ce serait une angoisse spécifique d’avoir à apprendre, ou d’être incapable de le faire. Selon d’autres psychiatres, ce serait la crainte d’être confronté à autrui, voire la conséquence d’un harcèlement. Les auteurs anglo-saxons parlent de « refus scolaire », qui a peu à voir avec l’école, mais serait une forme tardive de l’angoisse d’être séparé de ses proches. À l’opposé, la cause peut être cherchée dans l’inadaptation du système scolaire, soit qu’on le juge anxiogène par nature, soit qu’on incrimine un moment de crise dans la transmission de la culture. Dans ce cas, on parle de « décrochage scolaire » et non de phobie.
Comme le souligne Philippe Mazereau, chercheur à l’université de Caen, le choix des mots est donc un problème. Celui des remèdes en est un autre. Or, son enquête montre deux choses. D’abord, il existe une demande croissante de diagnostic « phobique » de la part des parents, plus que des médecins. Ensuite, s’il n’existe pas de description consensuelle de la phobie scolaire, le diagnostic est déductible du traitement que l’on applique : s’il y a prise en charge psychologique et scolarisation à la maison, alors c’est bien une phobie scolaire, et non un autre trouble, qu’il soit de séparation ou lié à la « crise adolescente ».
Philippe Mazereau et al. (coord.),
« Phobie scolaire ou peur d’apprendre ? »,
La Nouvelle Revue de l’adaptation
et de la scolarisation, n° 62, juillet 2013.
Participer en classe représente une véritable épreuve et crée pour un grand nombre d’élèves un sentiment de mal-être. Cela peut dans la majorité des cas nuire à leur apprentissage. En effet, beaucoup d’élèves aux collèges et lycées n’arrivent pas à participer en classe pour plusieurs raisons : peur de la réaction des camarades, timidité, manque de confiance en soi…
Tu as souvent peur de la réaction des autres lorsque tu lèves la main? Tu as du mal à prendre la parole en classe même si tu comprends bien la leçon? Tu n’as pas compris la leçon et as peur de poser la question?
Suis donc ces 6 simples conseils qui t’aideront à participer plus en classe !
Une bonne façon de participer en classe est de poser des questions. Pour participer en classe, il ne s’agit pas seulement de répondre aux questions du professeur, tu peux donner ton opinion par exemple ou tout simplement poser des questions.
Lorsque tu as une question à propos de quelque chose que tu n’as pas compris ou que tu as envie de savoir plus sur un sujet, lève la main et pose ta question.
Sache qu’un élève qui ne pose pas de question quand il comprend pas a forcément tendance à régresser.
L’une des meilleures façons qui t’aideront à oser participer en classe est le fait de s’entraîner chez soi. Tu vas faire peut être beaucoup d’erreurs mais l’avantage c’est que tu es seul dans cette étape. Profites de cet exercice pour te corriger et apprend de tes erreurs pour ne pas les commettre en classe.
Si tu n’as pas l’habitude de participer en classe, il faut apprendre petit à petit. Commence à communiquer plus avec tes amis et ta famille. Tu peux par exemple leur raconter ce que tu as fait pendant la journée ou ce que tu as appris en classe. Tu peux aussi donner ton avis sur un film, une chanson, un livre ou tout simplement raconter tes sorties ou tes vacances… Tu verras, cette technique t’apprendra à mieux communiquer avec ton entourage et t’encouragera à participer en classe.
Souvent, beaucoup d’élèves ne participent pas parce qu’ils n’ont tout simplement pas révisé leurs cours avant de venir en classe. Pour avoir le courage de participer en classe, il est préférable de réviser le cours précédent au moins une fois avant de venir en cours. Les révisions t’apporteront beaucoup par la suite et t’encourageront à devenir plus dynamique et motivé en classe.
Il existe beaucoup d’activités parascolaires efficaces pour développer l’aisance à l’oral, d’avoir plus confiance en soi. Il est donc très conseillé de te lancer dans une activité de loisirs en dehors du collège ou lycée comme par exemple : cours de musique, cours de théâtre, cours de dessin, cours de danse ou encore la participation aux sports collectifs.
Il s’agit en effet d’excellents moyens de devenir une personne confiante car ce sont des activités qui permettent de s’exprimer d’une manière différente.
Tu verras, qu’avec le temps, tu participeras plus en classe, quel que soit le regard ou les remarques de tes camarades sur toi.
Si tu es en classe c’est pour apprendre! Ne te fais pas alors de soucis lorsque tu commets une erreur. Si tu n’arrives toujours pas à participer en classe pour une raison ou pour une autre, tu peux le dire à ton professeur. Il est le mieux placé pour t’aider à surmonter cette difficulté. En lui parlant, il saura que tu es motivé et t’encouragera progressivement à prendre la parole en classe.
http://www.9rayti.com/conseil/conseils-participation-classe
Vos études sont trop difficiles? Vous en avez marre de vos échecs? Faites comme Thomas Edison !
Cris, pleurs, découragement, questionnement sur sa motivation de continuer, envie d’abandonner, ras-le-bol, dégoût…voilà le petit lot quotidien de nombreux étudiants, en cette période de résultats de fin d’année. Eh oui, ça doit avoir été énorme par exemple à l’annonce des résultats du BAC.
Découragement
À tous ces étudiants au bord de l’abandon, tous ces parents, ces étudiants pour qui l’été a été « pourri » dès l’annonce des résultats de fin d’année, nous avons un message, un conseil pour vous. Nous adressons plus spécialement à ceux qui n’échouent pas pour la première fois, et qui en ont presque marre déjà, marre d’échouer et marre d’essayer. Alors, vous vous sentez fatigué, vous vous dites dépassé, découragé, lassé d’essayer? Vous avez échoué une fois, deux fois, trois fois,…et vous en avez vraiment marre? Vous en avez marre de toujours avoir cette mauvaise note en maths, en physique, en littérature? On a rendu les résultats de fin d’année et voilà, vous es encore à côté de la plaque? Vous pensez avoir déjà tout tenté, tout fait, et vous êtes sur le point d’abandonner?
Thomas Edison
Ok. Alors, pensez-vous avoir tout donné ? Combien de fois pensez-vous l’avoir déjà fait? Combien de fois à peu près avez-vous essayé? Maintenant, comparez ce chiffre au nombre de fois où le très connu Thomas Edison a dû répéter ses expériences toutes ratées, pour pouvoir aboutir à sa grande invention: la première ampoule électrique.
Savez-vous combien de fois il l’a fait? C’était dix mille fois. DIX MILLE. 10 000 expériences réalisées nuits comme jours, 10 000 tentatives toutes vouées à l’échec, et sans jamais se décourager, pourtant rien n’aboutissait. Dix mille essais, dix mille recommencements, dix mille répétitions, 10 000 fois l’échec. Réalisez-vous combien de fois valent DIX MILLE? Dix mille c’est 1000 fois, 10 fois ! Dix milles c’est cent fois, cent fois ! C’est énorme non ?! Et pourtant IL A CONTINUÉ, IL A ESSAYÉ, RESSAYÉ, encore, encore et encore, sans se décourager, sans JAMAIS ABANDONNER.
Résultat: malgré la souffrance, l’épuisement, l’impatience, l’envie de tout laisser tomber, et tout ce qu’il a enduré, il a fini par inventer l’ampoule électrique qui se retrouve aujourd’hui dans l’éclairage de tous les grands stades et grandes métropoles du monde, tous les hôtels, palais, immeubles et gratte-ciels, toutes les rues, toutes les avenues, et se retrouve jusque dans l’éclairage votre maison, votre lieu de travail, votre laboratoire, même ce lieu duquel vous êtes en ce moment en train de lire cet article, tous vos lieux d’étude, tous vos lieux de travail…disons, partout. Thomas Edison est à jamais rentré dans l’histoire de la science, il a marqué son temps, il a marqué l’histoire, et il est inoubliable !
Rien n’est joué
Vous aussi, même si vous vous dites que vous n’êtes pas un futur Thomas Edison, même si vous vous croyez tout petit et même « incapable », même si vos échecs dans vos études vous font vous sentir « nul », rien n’est encore joué, rien n’est fini. Même si vos mauvaises notes vous découragent et vous donnent l’envie d’abandonner, n’abandonnez pas, recommencez. Sachez que vous aussi vous avez un bel avenir qui vous attend, même si vous n’y croyez pas, pourvu que vous fassiez ce qu’il faut pour y arriver. Vous avez le pouvoir de faire que cet avenir soit le plus beau de tous, rien qu’en continuant de travailler.
« Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi. ». Olivier Lockert
Le sentiment de découragement est normal
Beaucoup d’étudiants rencontrent de grosses difficultés dans leur parcours, et il est tout à fait normal que vous vous sentiez découragé du fait que vous n’obtenez pas les notes que vous désirez. Cela veut simplement dire que vous avez encore des choses à améliorer dans votre manière de travailler, et puis si vous parvenez à améliorer ces choses, vous verrez le grand changement positif dans vos résultats. Peu importe ce que vous faites comme études, peu importe leur importance et leur portée, peu importe ce que vous attendez, peu importe les difficultés que vous rencontrez, peu importe les mauvaises notes que vous obtenez, peu importe les moqueries des autres personnes, peu importe la fatigue que vous ressentez en ce moment, peu importe le découragement qui essaye de vous envahir, peu importe, peu importe…, faites comme Thomas Edison…n’abandonnez pas.
Faites comme Thomas Edison !
On ne sait jamais à quelle étape se trouve notre succès, et on ne sait jamais à quel tournant il nous attend. Peut-être qu’il nous attend dans deux jours, peut-être ce soir même, peut-être dans une semaine, peut-être dans un mois, dans un an,…personne ne sait. Alors, si vous abandonnez aujourd’hui alors que votre succès vous attendait demain matin, voyez-vous combien vous aurez perdu? Vous aurez passé tout ce temps à le chercher, à le chercher, à le fouiller, à vous battre, pour ensuite abandonner, si proche du but. Personne ne sait quand arrivera le succès, et, comme l’a dit Olivier Lockert « Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi ». Faites comme Thomas Edison. Essayez, réessayez, réessayez encore, encore et encore, faites-le dix fois, cent fois, mille fois, dix mille fois, faites-le, encore, encore et encore, comme Thomas Edison. Il n’y a qu’une seule possibilité et un seul résultat pour vous à la fin: LE SUCCÈS. Il y a rien à faire: tôt ou tard, vous réussirez. Souvenez-vous que seuls les faibles abandonnent, et vous n’êtes pas faible ! Vous, vous n’es pas un faible, même si vous le croyez, ou même si on vous le fait croire. Alors, NEVER GIVE UP !
Pour finir: Relisez ce texte autant de fois que nécessaire. Relisez-le jusqu’à ce que ses lignes s’impriment dans votre cerveau, et rappelez-vous de lui dans toutes vos difficultés et toutes vos épreuves. Vos résultats de fin d’année ne sont pas bons, mais cela ne veut en rien dire que tout est fini pour vous. Au contraire, c’est l’occasion de vous asseoir, faire le bilan, vous réarmer d’énergie et d’envie, et avancer encore…vers le sommet où votre succès vous attend ! Ne vous préoccupez pas des autres, ne regardez pas ce qu’ils font ou ce qu’ils ont, mais focalisez-vous sur vos forces, vos points faibles (à améliorer), vos points forts (à utiliser), et foncez tout droit vers votre succès…qui vous attend !
http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/face-aux-difficultes-des-etudes-comment-reagir/
1. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
2. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
3. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
4. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
8. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...