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Sciences et téchnologies

Anxiété :comment se faire une détox du cerveau

chec examen

On parle beaucoup de détox en minceur pour purifier son organisme et chasser les toxines. Mais le cerveau aussi a parfois besoin de nettoyer le négatif pour se remplir d'énergie positive. En ce début d'année, une "diète" émotionnelle s'impose. Mode d'emploi.

On limite les informations anxiogènes

A moins de vivre retirée en ermite dans une forêt des Landes (et encore), il est bien difficile (surtout en ce moment) d'être sourd à l'actualité dramatique des derniers jours. Mais à force, le suivi de ce flux d'informations sur les réseaux sociaux et les chaînes en continu peut faire tomber notre moral au niveau des nappes phréatiques. Si vous sentez que ces sources d'information "pompent" trop votre énergie, il est peut-être temps de réduire votre temps d'exposition. Cette mini-diète médiatique doit vous permettre de vous ressourcer en bonnes ondes, pour repartir éventuellement vers une consommation médiatique plus raisonnée.

On s'éloigne des relations toxiques

Ce nettoyage émotionnel passe aussi par une mise à distance des relations toxiques. Vous avez peut-être des personnes de votre entourage qui vous sapent l'ambiance à chaque fois que vous les voyez. Cela peut-être une collègue qui joue les Cassandre dès que vous la croisez, ou ce voisin qui passe son temps à geindre, ou cette connaissance qui raconte ses malheurs dès que vous la voyez. Fuyez-les !

On diminue les activités chronophages et improductives

On a toutes des habitudes que l'on répète inlassablement sans s'en rendre compte et qui ne nous apportent au final aucun réconfort ou aucun intérêt, en dehors celui de nous gaspiller du temps et de l'énergie. La liste d'exemples est infinie : consulter sa boite mail toutes les deux minutes, regarder son portable pour voir si on a un message 50 fois par jour, jouer à Candy crush ou autres jeux en ligne aussi addictifs que le sucre...

Une fois que vous avez fait le point sur ces fâcheuses manies, ne reste plus qu'à tenter de vous en défaire en les remplaçant pas d'autres, beaucoup plus épanouissantes.

On se nourrit en bonnes ondes

Après avoir fait le tri entre ce qui nous fait du bien et ce qui nous coûte beaucoup, on dresse une liste des petites choses du quotidien qu'on aime faire ou qu'on aimerait faire : lire une bande-dessinée, regarder une comédie, faire un soin en institut, écouter de la musique entraînante, faire du coloriage, boire un thé avec ses copines... On se ménage du temps pour profiter de ces plaisirs et on cultive ainsi dans son cerveau un jardin d'inspirations et de pensées positives.

 

http://www.topsante.com/forme-et-bien-etre/detente/antistress/anxiete-on-se-fait-une-detox-du-cerveau-75325

 

Pourquoi pleure-t-on lorsque l'on est très heureux ?

Lorsqu'arrive un événement très heureux dans notre vie, beaucoup d'entre nous ne peuvent s'empêcher de verser quelques larmes. Et les situations sont très diverses, des parents qui voient leur enfant recevoir leur diplôme, un couple d'amoureux qui se retrouve après une absence prolongée ou encore des sportifs qui gagnent une rencontre. Mais pourquoi pleurons-nous là où nous devrions sourire ou rire ? Les larmes de joie auraient une explication scientifique.

Selon Oriana Aragon, pleurer après une émotion positive très forte permet de restaurer l'équilibre émotionnel. La scientifique et son équipe, issus de l'université de Yale, ont réalisé une expérience dont les résultats seront très prochainement publiés dans la revue Psychological Science.

Afin de vérifier cette hypothèse, l'équipe scientifique a demandé aux participants à l'étude de visionner une série de photos de bébés dont certains avaient des traits plus infantiles que d'autres (un visage plus rond et des yeux plus grands notamment). Leurs réactions ont ensuite été mesurées et mises en parallèle avec le degré d'infantilité des nourrissons.

Alors que les enfants qui paraissaient les plus infantiles ont suscité des réactions d'attention plus importantes, ils ont également provoqué des réactions « d'agression » plus grandes. Les participants ont en effet manifesté un besoin de les protéger et de s'en occuper, et dans le même temps de leur pincer les joues et de les « manger tout cru ».

Pour les chercheurs, ces situations de « dimorphisme d'expression », dans lesquelles un événement positif est accompagné d'une réaction émotionnelle négative permettrait de réguler les émotions positives très fortes et donc de retrouver un équilibre émotionnel plus rapidement. Et en effet, ils ont constaté que les personnes qui présentaient ce type d'expression montraient une diminution plus importante des émotions positives cinq minutes après avoir visionné les images.

A l'inverse, ce type de comportement pourrait également expliquer les situations où l'on « rit jaune », dans lesquelles un rire ou un sourire fait suite à une émotion négative.
Source : Aragón, O. R., Clark, M. S., Dyer, R. L., & Bargh, J. A. (in press) Dimorphous expressions of emotion: Evidence of concept in aggressive displays toward cute stimuli, Psychological Science.

 

http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-pleure-t-on-lorsque-l-on-est-tres-heureux

 

Comment apaiser les tensions entre parents et enfants


Les relations sont souvent conflictuelles au moment de l’adolescence. Rares sont les familles qui échappent à ce constat. Parfois le climat s’est tellement dégradé qu’on assiste à un réel blocage. Chacun restant sur ses positions. La communication devient de plus en plus difficile. L’incompréhension est presque totale.

Il reste toutefois une piste intéressante à explorer : la rédaction d’un contrat entre parents et enfants.

Le contrat est un outil puissant qui présente bien des avantages s’il est suffisamment réfléchi et discuté avant sa rédaction par les deux parties.
Rappelons qu’un contrat est « Une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à faire ou ne pas faire quelque chose » (1)
Les différentes étapes dans la création d’un contrat :

;;;; La concertation et la négociation

Avant de se lancer dans la rédaction d’un contrat, il faut s’entendre sur les points qui seront mentionnés et les engagements que chacun est prêt réellement à consentir.
C’est une démarche infiniment respectueuse de l’individu.
Chacun va exprimer ses besoins mais aussi ses limites. Il faut savoir les entendre si l’on veut que le contrat s’avère riche et constructif.
« J’entends ce que tu es prêt à faire mais aussi ce que tu n’es pas prêt à faire … du moins pour le moment ».

En rétablissant la confiance, chacun pourra s’engager un peu plus. Petit à petit, on observera de réels progrès.
Mais ne pas perdre de vue que la phase de concertation est essentielle.

;;;;; La rédaction du contrat

Quelques règles s’imposent en matière de rédaction de contrat dès lors qu’il s’agit de définir les engagements des uns et des autres :

1. La description du point abordé doit être précise et concrète
2. Savoir se limiter à un seul problème à la fois
3. Le contrat doit être formulé positivement
4. Le contrat doit être réaliste ainsi que les moyens à mettre en œuvre
5. Le délai doit être court – Quelques semaines tout à plus dans la réalisation des objectifs
6. Les moyens à mettre en œuvre doivent être clairement définis

Ainsi on retiendra que pour être efficace un contrat devra être concret, limité dans le temps, positif, réaliste et court.
Il faut savoir réduire ses demandes pour avoir une chance de les voir se réaliser.

;;;;; Le processus

Bien souvent la situation de départ entre parents et enfants est confuse, tendue et conflictuelle.
Un premier pas sera franchi quand chacun aura le sentiment d’avoir été entendu dans ses besoins et ses demandes.
Peu importe le nombre de points contenus dans le contrat, dès lors que le processus de restauration de la confiance et de la réussite sera enclenché, on pourra aller plus loin.


L’important étant d’inverser la tendance :

· Passer de l’incompréhension totale à un début de compréhension
· Passer du sentiment d’échec à celui de la réussite même partielle
· Passer de la perte de confiance totale à son rétablissement progressif

;;;;; L’heure du bilan

Etablir un contrat c’est impérativement en définir clairement la durée d’application et savoir très précisément quand aura lieu l’heure du bilan.
Rien ne doit être laissé au hasard de ce point de vue là.
ð « Le contrat est signé pour une durée de 6 semaines. Un bilan sera fait le ……. »

Attention également à garder en mémoire ce principe : Plus la durée est raisonnablement courte, plus son efficacité sera grande.

Avec des enfants et même des adolescents, il ne faut jamais perdre de vue qu’il est quasiment impossible pour eux de se projeter au-delà de quelques semaines.
Exiger d’eux un effort soutenu sur toute une année scolaire ne servirait à rien.
Par contre, leur demander d’appliquer une méthode de travail spécifique dans une matière particulière en visant des résultats concrets dans les 5 ou 6 semaines sera réellement efficace.

Ne pas oublier que les enfants ont tendance à se décourager rapidement
Le point qui sera fait à l’issue de cette période permettra de constater et de fêter les progrès accomplis.


Signer un contrat parent-enfant, c’est aussi devenir partenaires dans la réussite.
C’est avancer main dans la main, conscient des embuches qui se présenteront inévitablement sur le chemin mais dans un même effort de compréhension, de confiance et avec un objectif commun.

 

Dossier : Béatrice VICHERAT

http://apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/article.php?cat_num_sel=&numtxt=673


25 Leçons de vie d’Albert Einstein

Einstein tests

C’est l’un des génies les plus connus de notre histoire. Ses enseignements et ses découvertes sont prodigués encore aujourd’hui.

Voici 25 leçons de vie que nous a laissé Albert Einstein :

1. L’évolution intellectuelle devrait commencer à la naissance et s’arrêter seulement à la mort.

2. Chaque personne devrait être respectée en tant qu’individu mais personne ne doit être idolâtré.

3. Ne faites jamais quelque chose qui est à l’encontre de votre conscience, même si l’état le demande.

4. Si les personnes sont bonnes uniquement par peur du châtiment et s’attendent à une récompense, alors on est désolants.

5. Des moyens parfaits et des buts confus semblent être notre plus grand problème.

6. L’amour est un meilleur professeur que le devoir.

7. Si vous ne pouvez pas l’expliquer simplement c’est que vous ne le comprenez pas assez bien.

8. Aucun problème ne peut être résolu avec le même niveau de conscience qui l’a créé.

9. La folie c’est de faire constamment la même chose tout en s’attendant à des résultats différents.

10. Apprenez d’hier, vivez pour aujourd’hui et espérez pour demain.

11. Il est devenu outrageusement évident que la technologie a dépassé notre humanité.

12. Tout ce qui peut être compté ne compte pas nécessairement; tout ce qui compte ne peut pas être nécessairement compté.

13. La force attire toujours les hommes sans morale.

14. Toute chose doit être aussi simple qu’elle l’est, mais pas plus simple.

15. Un homme doit chercher ce qui existe et ce qui devrait exister.

16. Chaque homme qui lit trop et qui utilise trop peu son cerveau est un homme qui prend la mauvaise habitude de trop penser.

17. Une personne qui n’a jamais fait d’erreurs est une personne qui n’a jamais essayé quelque chose de nouveau.

18. C’est l’art suprême du professeur de réveiller la joie dans le savoir et l’expression créative.

19. Toute personne qui ne prend pas au sérieux la vérité dans les petites choses, ne peut pas être digne de confiance pour les grandes choses.

20. Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition violente de la part des esprits médiocres.

21. L’éducation est ce qui reste après qu’on ait oublié ce qu’on a appris à l’école.

22. La logique vous mènera du point A au point B. l’imagination vous mènera partout.

23. La colère n’habite que les imbéciles.

24. L’information c’est le savoir.

25. Ne perdez jamais votre curiosité.

 

http://potentiel-magazine.com/25-lecons-de-vie-dalbert-einstein/

Pourquoi notre cerveau ressemble-t-il à une grosse noix ?

 

Dans une récente étude parue dans la revue Nature Physics et présentée sur le site de Harvard, les secrets de la formation des plis et replis du cerveau - ou circonvolutions cérébrales - nous sont révélés. Les chercheurs se sont penchés sur la manière dont notre cerveau prend cette forme si particulière. Comment se créent les multiples plis du cerveau humain ? Explication génétique ou mécanique ?

Les creux et les crêtes spécifiques du cerveau humain ne sont présents que chez une poignée d’espèces animales, comme les primates, les dauphins, les éléphants et les porcs. Le volume de notre crâne varie en moyenne de 1100 à 1700 cm3. Or si on défroissait notre cerveau, il s’étendrait sur une surface de 1 à 2 m2. La gyrification (le degré de plissement) est une caractéristique cérébrale importante, puisqu’elle permet ainsi de faire tenir un grand cortex dans un espace réduit.

Plusieurs hypothèses ont été émises jusqu’à présent pour expliquer l’apparition des plis et replis sur le cerveau. Les chercheurs de la John A. Paulson Ecole Harvard de génie et sciences appliquées, avec la collaboration de scientifiques finlandais et français, ont réussi à montrer que le pliage du cerveau résultait d’une compression mécanique de l’organe dans le crâne. Une compression utile dans la mesure où les plis permettent un rapprochement des neurones, favorisant des connexions plus courtes et plus rapides.

Pour valider leur hypothèse, l’équipe de recherche a collaboré avec des neuroanatomistes et des radiologues en France pour construire un modèle en 3D d’un cerveau de fœtus humain, à partir d’images IRM. Les observations ont montré que le cerveau du fœtus humain est lisse pendant les vingt premières semaines ; c’est à partir de la vingtième semaine de gestation du fœtus que le pliage commence. Elle se poursuit jusqu’à ce que l’enfant soit âgé d’environ 18 mois. Les scientifiques ont alors cherché à reproduire la croissance corticale pour comprendre ce phénomène. Ils ont appliqué sur la surface de leur modèle 3D une couche de gel en élastomère, puis ils l’ont immergé dans un solvant. En quelques minutes, les chercheurs observent que la couche de gel gonfle, ce qui crée des forces de compression mécaniques et provoque la formation de plis similaires en taille et en forme à ceux de vrais cerveaux.

Les auteurs de l’étude ont également construit des simulations numériques du cerveau modélisé comme un tissu doux et ont montré, à travers un parcours de développement réaliste, que là encore les circonvolutions apparaissaient. La géométrie du cerveau sert donc à orienter les plis dans certaines directions.

Cette découverte peut permettre de mieux comprendre la formation de certaines pathologies et avoir des répercussions sur les diagnostics et les traitements d’un certain nombre de troubles neurologiques. En effet, selon J.Y. Chung, co-auteur de l’étude : « Le cerveau n’est pas exactement le même d’un humain à l’autre, mais nous devrions tous avoir les mêmes grands plis afin d’être en bonne santé. Notre recherche montre que si une partie du cerveau ne se développe pas correctement, ou si la géométrie globale est perturbée, nous n’avons peut-être pas les grands plis au bon endroit, ce qui peut provoquer un dysfonctionnement dans le cerveau. »

 

Source : Tuomas Tallinen, Jun Young Chung, François Rousseau, Nadine Girard, Julien Lefèvre et Lakshminarayanan Mahadevan. On the growth and form of cortical convolutions. Nature physics, février 2016.

 

http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-notre-cerveau-ressemble-t-il-a-une-grosse-noix

 

 

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