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Bac:les salles d'examen seront désormais équipées de détecteurs de portable.

Pour lutter contre la recrudescences des fraudes avec les smartphones, le directeur général de l'enseignement scolaire a révélé la mise en place de détecteurs de portable.

La fraude a toujours existé mais les nouvelles technologies et notamment les smartphones ont ouvert la voie à de nouvelles méthodes de triche. Au bac 2011, environ 400 candidats avaient été soupçonnés de fraude et 250 avaient fait l'objet d'une sanction, généralement avec sursis. Parmi les fraudes sanctionnées, un tiers est imputable à l'usage des téléphones portables. Les autres concernaient majoritairement les traditionnelles antisèches, et quelques cas d'usurpations d'identité.

Pour lutter contre la fraude, la mise en place de nouveaux moyens. "Il y aura des détecteurs de portables et nous les utiliserons pleinement". On ignore le nombre des détecteurs mis en place et s'ils seront disposés à l'entrée des salles d'examen ou à l'intérieur.

Les profs s'alarment de l'augmentation de la fraude liée aux nouveaux moyens technologiques

Il a également rappelé l'interdiction stricte d'utiliser "téléphones portables, smartphones et tablettes tactiles". Ceux-ci doivent être "éteints et rangés dans le sac du candidat ou remis aux surveillants de salle". Mais la fouille des élèves et des sacs étant interdite, l'efficacité de la mesure semble limitée. Passée la première heure, certains élèves sont susceptibles de se rendre aux toilettes et d'en profiter pour utiliser leur téléphone. Les professeurs s'alarment de l'augmentation de la fraude liée aux nouveaux moyens technologiques, avec des innovations comme l'oreillette intra-auriculaire ou les lunettes avec caméra intégrée. Mais sans aller jusque-là, les calculettes, autorisées, peuvent receler des antisèches voire une connexion internet.

Les lycéens fraudeurs seront désormais sanctionnés par une commission de discipline académique qui devra statuer plus rapidement que lorsque les cas étaient traités par une commission dépendant de l'université. Le candidat qui a triché s'expose à une interdiction pendant cinq ans de toute inscription dans un établissement public dispensant des formations post-baccalauréat. Il peut également encourir une peine de trois ans de prison et une d'amende. "Non seulement c'est une faute morale, c'est un risque énorme que l'on court", a prévenu M. Blanquer.

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http://www.lexpress.fr/education/bac-la-lutte-contre-la-fraude-se-met-a-l-heure-des-nouvelles-technologies_1126214.html

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