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L’optimisme : une des clefs de la longévité ?

L’optimisme : une des clefs de la longévité ?

Si vous faites partie de celles et ceux qui ont plutôt tendance à voir le verre à moitié vide, plutôt qu’à moitié plein, la lecture de ce billet pourrait vous faire changer de « philosophie »… Grâce à des données recueillies auprès de plus de 70 000 personnes, une équipe de chercheurs, majoritairement de l’Ecole de médecine de l’Université de Boston (Etats-Unis), ont mis en lumière le rôle que pourrait jouer l’optimisme dans l’espérance de vie.

Les travaux sur la longévité exceptionnelle ont jusqu’à présent souvent porté sur les facteurs biomédicaux, alors que l’influence positive des facteurs psychosociaux sur un vieillissement en bonne santé est beaucoup plus floue. C’est en ce sens que Lewina O Lee et ses collègues ont souhaité étudier les possibles effets de l’optimisme sur la longévité. Ils ont posé l’hypothèse suivante : une personne (très) optimiste aurait une durée de vie plus longue. Pour la tester, ils se sont basés sur des données provenant de deux cohortes. La première concerne 69744 femmes de l’Etude sur la santé des infirmières et la seconde 1429 hommes de l’Etude sur le vieillissement normatif des anciens combattants. Les participants ont répondu à différentes questions sur leur santé en général, leurs habitudes alimentaires, leur consommation d’alcool, le tabagisme, mais aussi sur leur degré d’optimisme (en mode « auto-évaluation »). Il faut savoir que ce sont des enquêtes longitudinales de grande ampleur, puisqu’elles ont duré 10 ans (2004 à 2014) pour les femmes et 30 ans pour les hommes.

A partir de ces données et à l’aide de corrélations statistiques, les scientifiques ont ensuite comparé les niveaux d’optimisme des différents participants. Qu’ont-ils constaté ? Les personnes présentant les niveaux d’optimisme les plus élevés, par opposition aux plus faibles, avaient en moyenne, une espérance de vie de 11 à 15% plus longue et avaient 50 à 70% plus de chances de parvenir à ce que les auteurs estiment être une « longévité exceptionnelle », c’est-à-dire vivre au-delà de 85 ans. Avec les multiples croisements de facteurs possibles, précisons que ces résultats ont été confirmés après la prise en compte du statut socioéconomique, des problèmes de santé, de la dépression, du réseau social et des comportement liés à la santé (régime alimentaire, consommation d’alcool, tabagisme).

Selon Lewina Lee : « cette étude présente un grand intérêt pour la santé publique car elle suggère que l’optimisme est l’un des atouts psychosociaux les plus susceptibles de prolonger la durée de vie. […] Il est également intéressant de noter que l’optimisme peut être modifiable à l’aide de techniques ou de thérapies relativement simples. »

Les auteurs reconnaissent ne pas savoir comment l’optimisme pourrait « concrètement » prolonger la durée de vie. Ils citent d’autres recherches qui suggèrent que les personnes optimistes seraient plus à même de réguler leurs émotions et le stress. Les scientifiques considèrent également que les optimistes seraient plus susceptibles d’adopter des habitudes plus saines (pratique régulière d’un exercice physique, moins de tabagisme) qui pourraient prolonger leur durée de vie. Par ailleurs, une récente étude de R. Hernandez et ses collègues (2019), menée auprès de 3500 personnes (32 à 51 ans), vient aussi de montrer que les optimistes auraient un sommeil de meilleure qualité.

Au final, si les effets positifs de l’optimisme nécessitent encore des recherches, ce facteur psychosocial devient, selon les auteurs, de plus en plus évident.
Source :
 

Comment protéger ses yeux des écrans

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Pour palier les effets d’une lecture prolongée des écrans, et parce que La science a prouvé que les exercices de relaxation avaient une influence positive sur notre état psychique ainsi que notre métabolisme, voici quelques exercices de relaxation simples qui préserveront vos capacités oculaires et vous changeront la vie au travail. En les pratiquant au quotidien vous pourrez éviter les désagréments causés par le travail sur écran. Toutefois, en cas de trouble oculaire, la consultation d’un médecin devra rester une priorité. En effet, des problèmes pouvant sembler bénins cachent parfois une pathologie : plus son diagnostique sera précoce, plus il sera facile de la soigner.
 
Protéger ses yeux des écrans : les exercices
1 – Cillez des yeux pour éviter la sécheresse oculaire.
Assis ou debout, fermez puis rouvrez les yeux lentement (=ciller des yeux) une trentaine de fois d’affilée chaque heure.
« Cette alternance de fermeture et d’ouverture des paupières créé un effet stroboscopique : le cerveau reçoit une série de perceptions lumineuses normales, entrecoupée par de courtes périodes d’obscurité. Cette sensation procure un état de détente lié à la diminution du contrôle que nous activons inconsciemment en état d’éveil. » Pascal Barbey, « De bons yeux pour la vie. Entretenez vos yeux au quotidien ». Albin Michel.
 
2 – Regardez au loin toutes les 20mn, pour « Voir plus loin que le bout de votre nez ».
Cet exercice vous permettra d’entretenir votre faculté à changer de plan, car regarder de près est une fonctionnalité semblable à celle du focus d’un appareil photo. Si vous restez la plupart du temps en mode focus, la myopie ou la vision floue auront plus de chance de s’installer ou d’empirer avec les années. De même, lorsque vous marchez dans la rue ou à la campagne, prenez l’habitude de regarder le plus loin possible.
 
3 – Mouvements obliques
 
Pour maintenir la tonicité de vos muscles oculaires, ou lorsque vous ressentez de la fatigue, enchaînez les exercices suivants, en gardant toujours votre tête droite, sans la bouger : regardez d’abord à droite au maximum puis à gauche le plus loin possible, dix fois d’affilée. PUIS faites des mouvements obliques avec vos yeux en commençant par regarder en bas tout à droite pour les diriger vers le haut tout à gauche dix fois. Faites ensuite le même mouvement en commençant de l’autre côté (en bas tout à gauche pour porter votre regard dans un mouvement oblique tout en haut à droite)
 
PUIS Regardez tout en haut puis tout en bas, dix fois. Fait chaque jour, ce mouvement permet à vos paupières de garder leur tonicité, leur évitant ainsi de tomber .
 
 
Et enfin : faites des cercles avec vos yeux dans le sens des aiguilles d’une montre en essayant de rapprocher vos yeux au plus près de vos orbites oculaires, puis faites le même exercice, cette fois en allant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
 
4 – Tapotez le contour de vos yeux pour réactiver la circulation énergétique.
A la mi-journée, ou lorsque vous sentez que la fatigue commence à s’installer dans vos yeux, essayez cet exercice particulièrement agréable : tapotez le pourtour de vos yeux pendant 2 minutes à l’aide de votre index et majeur de chaque main.
 
Commencez par le bord interne de vos sourcils et faites un demi-cercle pour rejoindre vos tempes. Continuez vers le bas en tapotant le pourtour de la partie inférieure de vos orbites oculaires pour rejoindre l’arête de votre nez. Ne tracez pas un cercle complet afin d’éviter de tapoter vos yeux puis recommencez le circuit à partir des arêtes internes de vos sourcils. Vous allez ainsi activer des points d’acupuncture et libérer l’énergie stagnante.
Pour la petite histoire, le point d’acupuncture qui se trouve à l’angle interne de vos sourcils s’appelle « Zanzhu » en chinois (ou « amas de bambou » car les sourcils ressemblent à des feuilles de bambou"car les sourcils ressemblent à des feuilles de bambou entremêlées) , il a pour effet de traiter les problèmes de vue, de soulager les céphalées, etc.
 
5 – Le palming : pour reposer ses yeux et lutter contre les migraines oculaires.
Frottez lentement vos mains paume contre paume jusqu’à sentir une chaleur au creux de celles-ci. Creusez-les ensuite en forme de coque afin de recouvrir vos yeux sans les toucher (le but de la manoeuvre étant que vous ne voyiez plus la lumière passée). Restez ainsi les yeux ouverts pendant 3 à 5 minutes en fixant votre attention sur la sensation de chaleur qui irradie de vos mains et nourrit vos yeux d’une douce énergie.
 
On peut faire cet exercice en journée ou bien tous les soirs avant le coucher. Dans ce cas, pour être plus à l’aise, on pourra le faire assis, les coudes posés sur des coussins à même la table ce qui permettra de reposer les épaules et ménager votre nuque.
Les personnes sujettes aux migraines oculaires trouvent cet exercice miraculeux.
 
Avantages de ces exercices
– Relâcher les tensions accumulées pendant la journée vous permettra de ne pas vous endormir avec elle. Vous pouvez ainsi faire les exercices 3, 4 et 5 le soir avant de vous coucher.
 
– Les hyper sensoriels développent plus facilement une fatigue oculaire à l’usage des écrans. Ils auront ainsi tout intérêt à pratiquer plus souvent ces exercices, notamment le palming.
 
– Pour ceux qui ont une bonne vue, la pratique quotidienne de certains de ces exercices vous permettra de faire régulièrement des pauses et de laisser aux écrans le rôle pour lequel ils ont été créés : des outils de travail formidable et non des maîtres. « C’est quand on n’a pas le temps de prendre une pause qu’il faut en prendre une… » Anonyme
 
– Si vous pratiquez ces exercices en faisant des respirations ventrales, vous transformerez ces moments en vraies séances de méditation de pleine conscience.
 
Comme la médecine occidentale considère que le stress est à l’origine de plus de 70 % des maladies actuelles, l’état de relaxation induit par ces séances aura des effets bénéfiques sur d’autres aspects de votre vie et de votre santé. 
 
Source: thérapeutemagazine
 

Aborder sereinement la rentrée en capitalisant sur les bénéfices des vacances

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La rentrée est souvent synonyme d’anxiété car les anticipations négatives vont bon train… Que faire pour profiter pleinement du repos dont vous avez bénéficié durant vos vacances et le mettre à profit dès la rentrée ? 

Le constat !

Il n’existe pas de recette miracle, nécessairement, certaines astuces n’ont pas fonctionné comme vous le souhaitiez ou vous ne les avez peut-être pas toutes essayées. Vous avez besoin de coups de pouce pour retrouver votre allant. D’ailleurs, il est possible que vous n’ayez pas pris de congés, et même si vous êtes très excité(e) à l’idée de vous rattraper, votre motivation pour reprendre le rythme est au point mort.

Quelle que soit votre situation, l’urgence est au constat. Effectuer un bilan permet de mettre en place les solutions les plus adaptées, afin de ne pas partir du mauvais pied et reproduire les erreurs d’avant-congés.

4 niveaux de questionnement

Afin d’établir un bilan le plus objectif possible, l’inventaire des bénéfices de vos vacances se situe à 4 niveaux :

Les acquis physiques : à la fois sur le plan du repos et sur le plan de la pratique d’un sport, ou de massages dont vous avez pu bénéficier. Prenez conscience des atouts indéniables de ces temps de détente pour votre corps : balayez mentalement chaque partie de votre corps pour constater la détente, le mieux-être et éventuellement le développement de la musculature. Attardez-vous également sur le rythme ralenti de votre respiration.

Les acquis psycho-émotionnels : vous avez pu faire le vide ou faire le point, être plus serein face à une problématique, résoudre un nœud, prendre une décision ou prendre du recul … Dans cette partie du bilan, vous pouvez inclure les acquis affectifs issus des moments agréables passés avec des amis et/ou les membres de votre famille. Prenez conscience de ce que tous ces bons moments vous ont apporté et ramenez à votre mémoire des « tranches de vie » de ces vacances.

Les acquis intellectuels : un temps de repos ou de détente offre un espace de découverte intellectuelle. Vous accédez avec plaisir à la culture, à de nouveaux apprentissages (langue, civilisation, nourriture, situation économique, politique et traditions locales…). C’est aussi souvent l’occasion de lire ce livre qui prenait la poussière sur votre table de chevet depuis 6 mois ou de dévorer le dernier best seller. Capitalisez sur cet enrichissement.

Les acquis sensoriels : on a souvent tendance à l’oublier mais nos sensations sont nos meilleures alliées pour se replonger dans une situation agréable. Les vacances constituent un réservoir important de sensations : vous prenez le temps d’admirer le ciel, les couleurs qui vous entourent, le chant des oiseaux ou des cigales ou même le rire de vos enfants, déguster un plat épicé local ou un cocktail de fruits étonnant, tâter le sable fin du bout de ses orteils etc.

L’importance des mots !

Vous noterez que j’utilise le mot « acquis » et pas uniquement « bénéfice », ce dernier ayant une connotation plus « ponctuelle ». Si vous pensez « bénéfice », vous pensez « gain transitoire ». Tout comme un bénéfice financier peut se perdre, un bénéfice physique par exemple peut s’atténuer dans le temps. Or, un acquis relève de la propriété, il s’agit d’un bien dont on devient propriétaire. On s’approprie ce bien tout comme on s’approprie certains bienfaits acquis durant les vacances.

Combien de déclics surviennent lors de cette rupture avec le temps ? Combien de fois avez-vous entendu quelqu’un affirmer que le fait de prendre l’air (ou simplement la route !) a fait émerger une idée ou une réponse ? Sans parler de ces « petits tracas » contre lesquels on lutte durant des mois et qui se solutionnent d’eux-mêmes : cette verrue plantaire disparue alors qu’elle était devenue proéminente, ces crises d’angoisse qui s’apaisent, ces allergies qui se taisent ...

Le plan d’attaque : Partie 1

Capitaliser sur les acquis …

Comment amorcer la rentrée sans occulter les bénéfices de ce break ?

Selon certaines études, les bénéfices des vacances s’estompent à partir de 2 à 3 semaines après le retour. Par conséquent, votre challenge est de prolonger ce délai ! Pour ce faire, capitalisez sur les acquis relevés lors du constat que vous venez d’effectuer.

Ce bilan ne s’effectue pas uniquement sur la base des objectifs que vous vous étiez fixés. Il se base également sur ce que ces vacances vous ont apporté. Totalement éreinté, vous partiez dans le but de vous reposer et de dormir ? Finalement, vous avez loué une voiture et découvert un pays plein de ressources. Vous souhaitiez pratiquer le kitesurf ? Le vent n’était pas au rendez-vous mais vous avez rencontré des personnes hors du commun. Votre choix s’était porté sur un hôtel club pour que vos enfants soient pris en charge ? Ils ne l’ont pas entendu de cette oreille et ont préféré partager des moments en famille, à vos côtés ; ce qui vous a finalement enchanté.  

Une fois vos constats établis, appréciez pleinement, en conscience, ces bénéfices.

Fermez les yeux et visualisez mentalement cette nouvelle énergie qui circule dans chaque cellule de votre corps, fait battre votre cœur, circuler le sang et la lymphe, restaurer vos os, alimenter vos muscles, régénérer vos neurones.

Visualisez les moments agréables, sereins ou drôles de vos vacances : un éclat de rire, un coucher de soleil, un échange de regard, une découverte, un enrichissement culturel, un moment de partage.  Quel que soit le souvenir ou l’image qui émerge, aussi anodin puisse-t-il vous paraître, faîtes un focus sur cet instant en intégrant les émotions dans votre corps. Replacez-vous par exemple dans les situations évoquées lors de votre bilan des « acquis sensoriels » et retrouvez les 5 sens associés : les couleurs et les formes, les odeurs, les sensations corporelles (au toucher par exemple, l’air qui caresse votre peau, ou le bâton de golf que vous tenez au moment de faire un swing), l’ambiance sonore, le goût dans la bouche (pourquoi pas celui du sel marin alors que vous nagez dans l’eau turquoise).

Que se passe-t-il à cette seule pensée ? Votre respiration s’apaise, vos tensions disparaissent, vos épaules se relâchent et surtout, un sourire intérieur se crée. Un sourire spontané, à peine perceptible sur les lèvres, mais qui libère sa belle énergie en vous. Un sourire vrai. Ce type de sourire qui ne se commande pas, celui qui vient du cœur.

Gravez ces instants dans votre mental et dans votre corps.

Cela vous permettra de vous replacer dans cette situation positive, rien qu’en l’évoquant, rien qu’en y pensant, rien qu’en faisant émerger l’un des sens.

Le plan d’attaque : Partie 2

Définissez des règles et respectez-les

 Vous avez donc pointé du doigt les critères profitables pour votre bien-être ! Naturellement, ceux-ci vous paraissent difficilement applicables en-dehors de ce contexte. En revanche, comme nous venons de le voir, vous pouvez capitaliser sur vos acquis et parsemer votre vie d’émotions et de réflexes plus ou moins similaires.

Cela étant dit, afin de préserver au mieux cette nouvelle énergie, quelques règles de vie peuvent être suivies :

Maintenez le cap côté sommeil !

Respectez des horaires de coucher en fonction de vos besoins. Veillez au rythme et à la qualité de votre sommeil.

Et accordez-vous des siestes régulières : des temps de repos courts (10 à 15 minutes) et maitrisés mais qui sont l’occasion de temps de relâchement absolu.

L’aliment : le moteur de votre énergie !

L’été a été l’occasion de dévorer des fruits et légumes pleins de vitamines. Poursuivez sur votre lancée et maintenez les bonnes résolutions alimentaires ! Achetez également des packs d’eau (ou mieux une gourde, plus écologique) afin de vous assurer de boire suffisamment chaque jour.

Le sport : se dépenser pour mieux gagner !

Ce n’est pas une nouveauté mais sans doute les vacances vous ont-elles permis, une fois encore, de confirmer que le sport vous détend et vous équilibre. Continuez de pratiquer assidûment, régulièrement. Alternez sport doux et sport-détente.

Une pause et ça repart !

Inscrivez des temps de pause dans votre agenda : des pauses courtes (dans la journée : par exemple pour reposer vos yeux, respirer à pleins poumons), des pauses fréquentes (dans le mois : des week-ends loin de chez vous, des soirées entre amis…), et des pauses rythmant les longs mois d’hiver.

Si vous ne vous sentez pas en mesure de vous imposer ces respirations, prenez des rendez-vous concrets et organisés : inscrivez-vous au taï chi chuan chaque semaine, prenez un abonnement dans un spa, consultez un relaxologue une fois par mois etc.  Prévoyez, à l’avance, des rendez-vous fixes entre amis.

Respectez vos résolutions de rentrée !

Elles sont le fruit de vos réflexions et de vos attentes. Ne les négligez pas. Les résolutions de septembre ont autant (sinon plus) de valeur que celles de la nouvelle année.

Si ces décisions doivent vous amener à revoir votre emploi du temps afin de consacrer plus de temps à votre entourage, mettez en place dès maintenant un plan d’action. Si elles concernent au contraire le souhait de prendre une place prépondérante au sein de votre structure professionnelle, soyez votre propre coach de vie ! Mettez en application les actions qui s’imposent. Si vous désirez influer sur votre bien-être, prenez des conseils avisés tout en vous demandant si vous êtes prêt à consentir aux efforts requis.

Dans ces différents domaines, selon l’importance que vous donnez aux changements et décisions, mettez en œuvre un véritable plan d’action. Si votre vie professionnelle ne laisse plus de place à vos amis, décidez, à l’avance de « rendez-vous » ou dîners. Si vous ne vous accordez pas assez de temps chez vous, le mieux est de vous inscrire à diverses activités. Allez-y, les inscriptions démarrent en Septembre !

Quoiqu’il en soit, la démarche à effectuer en priorité, avant la rentrée, dépend de chacun de vous. Cela dépend de ce que vous ferez de ces conseils. S’ajouteront-ils à la longue liste de nombreux autres conseils divulgués par vos proches? Ou bien seront-ils déclencheurs pour prendre de bonnes décisions afin de donner un nouveau visage à votre quotidien ?

 

http://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc=rentree-travail-vacances

comment la couche d’ozone nous protège t-elle ?

L’ozone est un gaz constitué de 3 atomes d’oxygène. C’est un gaz très minoritaire dans l’atmosphère : 6 à 8 molécules d’ozone au maximum sur 1 million de molécules d’air. Dans la stratosphère, ce gaz forme une couche autour de 20 km d’altitude, que l’on appelle la couche d’ozone. Attention !! Il ne faut pas confondre l’ozone présent dans la stratosphère, qui forme la couche d’ozone, et l’ozone au niveau du sol, pollution nocive pour l’homme induite par les activités humaines.

coupe de l'atmosphère avec visualisation de la couche d'ozone

Coupe de l'atmosphère


La couche d’ozone a un rôle primordial, car elle absorbe les rayons ultraviolets, essentiellement les rayons UV-B nocifs à toute forme de vie animale et végétale. En empêchant les rayons UV d’atteindre le sol, l’ozone protège ainsi tous les êtres vivants présents à la surface de la Terre.


La couche d’ozone nous protège des UV (UltraViolet)

La couche d’ozone filtre les rayons UV-B solaires (rayonnement solaire compris entre 280 et 320 nm), qui sont les plus dangereux. Les UV-A (320-400 nm) sont peu absorbés par la couche d’ozone.

Les UV-B ont un effet néfaste sur tous les organismes vivants, terrestres et aquatiques, car ils altèrent l’ADN des cellules. Des taux élevés de rayonnement UV-B réduisent la photosynthèse et la croissance de la végétation et des cultures. Chez l’homme, un accroissement du rayonnement UV-B augmente les risques de cancer de la peau, l’occurrence des cataractes et affaiblit le système immunitaire.

L’indice UV, crée par l’OMS, est une échelle de mesure de l’intensité du rayonnement UV. L’indice UV varie de 0 (la nuit) à 11… mais il peut atteindre la valeur de 18 au sommet de l’Himalaya en juin ! Lorsque le trou d’ozone est présent en Antarctique, l’indice UV peut dépasser le niveau 11, et les doses d’UV reçues dépassent alors celles reçues en Californie ou en Afrique du Nord en été.

 

http://www.ipsl.fr/Pour-tous/Les-dossiers-thematiques/La-couche-d-ozone-et-le-trou-d-ozone/La-couche-d-ozone-et-son-role

 

L'influence du ventre sur le cerveau

 

Dans un documentaire intitulé "Le ventre, notre deuxième cerveau" diffusé il y a quelques mois sur Arte, la chaîne de TV faisait le point le point sur des recherches très récentes menées sur l'influence du ventre sur le cerveau.

Les parois de notre intestin sont tapissées de 200 millions de neurones

Cerveau

Ce réseau de neurones, réparti tout au long de notre tube digestif, joue un rôle dans la digestion bien sûr, mais il agit aussi sur notre cerveau par des voies que les chercheurs commencent à peine à identifier.

Cette interaction à distance peut notamment passer par des neurotransmetteurs, des petites molécules par l'intermédiaire desquelles les neurones communiquent entre eux. Par exemple, la sérotonine est un neurotransmetteur qui, au niveau des neurones de notre ventre, rythme le transit intestinal et régule le système immunitaire.

Mais les chercheurs ont découvert qu'une petite partie de cette sérotonine passe dans la circulation sanguine et remonte jusque dans notre tête. Et là elle va pouvoir agir sur les neurones de notre cerveau qui eux aussi se servent de la sérotonine comme messager mais pour d'autres tâches comme la régulation de nos émotions. Voilà comment les neurones du ventre s'invitent dans la gestion de nos émotions.

On savait depuis longtemps que nos états émotionnels pouvaient agir sur notre ventre et les scientifiques sont en train de découvrir que l'inverse est aussi vrai. Notre ventre peut influencer nos émotions.

Une nouvelle approche de certaines maladies

Certaines maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson pourraient trouver leurs origines dans notre ventre. C'est une hypothèse sur laquelle travaillent des chercheurs à l'hôpital de Nantes. Ils ont déjà montré que la maladie de Parkinson engendre les mêmes lésions sur les neurones de l'intestin que sur ceux du cerveau. A l'avenir il pourrait donc devenir possible de diagnostiquer cette maladie avec une simple biopsie intestinale. Une intervention bien moins risquée qu'une biopsie du cerveau.

L'idée de se servir du ventre comme une fenêtre sur le cerveau gagne du terrain. Les chercheurs voudraient tester cette approche pour d'autres maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer.

Un cerveau sous l'influence des bactéries

Plus inattendu, notre cerveau serait aussi sous l'influence des bactéries qui peuplent notre tube digestif. Ces bactéries sont particulièrement nombreuses : 100.000 milliards. Elles constituent un véritable écosystème que les scientifiques appellent le microbiote. Il est différent pour chacun d'entre nous et nous est très utile : les bactéries qui le composent digèrent des aliments que nous ne pourrions pas digérer sans elles.

Un biologiste de l'Université McMaster au Canada, Stephen Collins a remarqué que des souris sans microbiote, c'est-à-dire ne portant en elles aucune bactérie se comportent de façon étrange. Elles prennent plus de risques et se mettent davantage en danger. Mais lorsque l'on introduit dans leur tube digestif une flore bactérienne, leur comportement change : elles deviennent plus prudentes.

Cela a conduit le chercheur canadien à mener une expérience encore plus surprenante. Il a choisi deux lignées de souris différentes : l'une présentant un comportement particulièrement actif et téméraire et l'autre beaucoup plus calme. Puis il a administré à chaque lignée le microbiote de l'autre.

Résultat : Les souris agitées, après avoir reçu les bactéries des souris calmes, se sont complètement assagies. Et inversement, les souris calmes sont devenues beaucoup plus agressives après avoir ingéré les bactéries des souris agitées.

Cette expérience démontre que, chez les souris, les bactéries présentes dans le tube digestif ont une influence importante sur le comportement et donc sur le cerveau.

 

http://www.franceinfo.fr/emission/info-sciences/2013-2014/l-influence-du-ventre-sur-le-cerveau-01-31-2014-12-55

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