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Bonne lecture
La rentrée est souvent synonyme d’anxiété car les anticipations négatives vont bon train… Que faire pour profiter pleinement du repos dont vous avez bénéficié durant vos vacances et le mettre à profit dès la rentrée ?
Le constat !
Il n’existe pas de recette miracle, nécessairement, certaines astuces n’ont pas fonctionné comme vous le souhaitiez ou vous ne les avez peut-être pas toutes essayées. Vous avez besoin de coups de pouce pour retrouver votre allant. D’ailleurs, il est possible que vous n’ayez pas pris de congés, et même si vous êtes très excité(e) à l’idée de vous rattraper, votre motivation pour reprendre le rythme est au point mort.
Quelle que soit votre situation, l’urgence est au constat. Effectuer un bilan permet de mettre en place les solutions les plus adaptées, afin de ne pas partir du mauvais pied et reproduire les erreurs d’avant-congés.
4 niveaux de questionnement
Afin d’établir un bilan le plus objectif possible, l’inventaire des bénéfices de vos vacances se situe à 4 niveaux :
Les acquis physiques : à la fois sur le plan du repos et sur le plan de la pratique d’un sport, ou de massages dont vous avez pu bénéficier. Prenez conscience des atouts indéniables de ces temps de détente pour votre corps : balayez mentalement chaque partie de votre corps pour constater la détente, le mieux-être et éventuellement le développement de la musculature. Attardez-vous également sur le rythme ralenti de votre respiration.
Les acquis psycho-émotionnels : vous avez pu faire le vide ou faire le point, être plus serein face à une problématique, résoudre un nœud, prendre une décision ou prendre du recul … Dans cette partie du bilan, vous pouvez inclure les acquis affectifs issus des moments agréables passés avec des amis et/ou les membres de votre famille. Prenez conscience de ce que tous ces bons moments vous ont apporté et ramenez à votre mémoire des « tranches de vie » de ces vacances.
Les acquis intellectuels : un temps de repos ou de détente offre un espace de découverte intellectuelle. Vous accédez avec plaisir à la culture, à de nouveaux apprentissages (langue, civilisation, nourriture, situation économique, politique et traditions locales…). C’est aussi souvent l’occasion de lire ce livre qui prenait la poussière sur votre table de chevet depuis 6 mois ou de dévorer le dernier best seller. Capitalisez sur cet enrichissement.
Les acquis sensoriels : on a souvent tendance à l’oublier mais nos sensations sont nos meilleures alliées pour se replonger dans une situation agréable. Les vacances constituent un réservoir important de sensations : vous prenez le temps d’admirer le ciel, les couleurs qui vous entourent, le chant des oiseaux ou des cigales ou même le rire de vos enfants, déguster un plat épicé local ou un cocktail de fruits étonnant, tâter le sable fin du bout de ses orteils etc.
L’importance des mots !
Vous noterez que j’utilise le mot « acquis » et pas uniquement « bénéfice », ce dernier ayant une connotation plus « ponctuelle ». Si vous pensez « bénéfice », vous pensez « gain transitoire ». Tout comme un bénéfice financier peut se perdre, un bénéfice physique par exemple peut s’atténuer dans le temps. Or, un acquis relève de la propriété, il s’agit d’un bien dont on devient propriétaire. On s’approprie ce bien tout comme on s’approprie certains bienfaits acquis durant les vacances.
Combien de déclics surviennent lors de cette rupture avec le temps ? Combien de fois avez-vous entendu quelqu’un affirmer que le fait de prendre l’air (ou simplement la route !) a fait émerger une idée ou une réponse ? Sans parler de ces « petits tracas » contre lesquels on lutte durant des mois et qui se solutionnent d’eux-mêmes : cette verrue plantaire disparue alors qu’elle était devenue proéminente, ces crises d’angoisse qui s’apaisent, ces allergies qui se taisent ...
Capitaliser sur les acquis …
Comment amorcer la rentrée sans occulter les bénéfices de ce break ?
Selon certaines études, les bénéfices des vacances s’estompent à partir de 2 à 3 semaines après le retour. Par conséquent, votre challenge est de prolonger ce délai ! Pour ce faire, capitalisez sur les acquis relevés lors du constat que vous venez d’effectuer.
Ce bilan ne s’effectue pas uniquement sur la base des objectifs que vous vous étiez fixés. Il se base également sur ce que ces vacances vous ont apporté. Totalement éreinté, vous partiez dans le but de vous reposer et de dormir ? Finalement, vous avez loué une voiture et découvert un pays plein de ressources. Vous souhaitiez pratiquer le kitesurf ? Le vent n’était pas au rendez-vous mais vous avez rencontré des personnes hors du commun. Votre choix s’était porté sur un hôtel club pour que vos enfants soient pris en charge ? Ils ne l’ont pas entendu de cette oreille et ont préféré partager des moments en famille, à vos côtés ; ce qui vous a finalement enchanté.
Une fois vos constats établis, appréciez pleinement, en conscience, ces bénéfices.
Fermez les yeux et visualisez mentalement cette nouvelle énergie qui circule dans chaque cellule de votre corps, fait battre votre cœur, circuler le sang et la lymphe, restaurer vos os, alimenter vos muscles, régénérer vos neurones.
Visualisez les moments agréables, sereins ou drôles de vos vacances : un éclat de rire, un coucher de soleil, un échange de regard, une découverte, un enrichissement culturel, un moment de partage. Quel que soit le souvenir ou l’image qui émerge, aussi anodin puisse-t-il vous paraître, faîtes un focus sur cet instant en intégrant les émotions dans votre corps. Replacez-vous par exemple dans les situations évoquées lors de votre bilan des « acquis sensoriels » et retrouvez les 5 sens associés : les couleurs et les formes, les odeurs, les sensations corporelles (au toucher par exemple, l’air qui caresse votre peau, ou le bâton de golf que vous tenez au moment de faire un swing), l’ambiance sonore, le goût dans la bouche (pourquoi pas celui du sel marin alors que vous nagez dans l’eau turquoise).
Que se passe-t-il à cette seule pensée ? Votre respiration s’apaise, vos tensions disparaissent, vos épaules se relâchent et surtout, un sourire intérieur se crée. Un sourire spontané, à peine perceptible sur les lèvres, mais qui libère sa belle énergie en vous. Un sourire vrai. Ce type de sourire qui ne se commande pas, celui qui vient du cœur.
Gravez ces instants dans votre mental et dans votre corps.
Cela vous permettra de vous replacer dans cette situation positive, rien qu’en l’évoquant, rien qu’en y pensant, rien qu’en faisant émerger l’un des sens.
Définissez des règles et respectez-les
Vous avez donc pointé du doigt les critères profitables pour votre bien-être ! Naturellement, ceux-ci vous paraissent difficilement applicables en-dehors de ce contexte. En revanche, comme nous venons de le voir, vous pouvez capitaliser sur vos acquis et parsemer votre vie d’émotions et de réflexes plus ou moins similaires.
Cela étant dit, afin de préserver au mieux cette nouvelle énergie, quelques règles de vie peuvent être suivies :
Maintenez le cap côté sommeil !
Respectez des horaires de coucher en fonction de vos besoins. Veillez au rythme et à la qualité de votre sommeil.
Et accordez-vous des siestes régulières : des temps de repos courts (10 à 15 minutes) et maitrisés mais qui sont l’occasion de temps de relâchement absolu.
L’aliment : le moteur de votre énergie !
L’été a été l’occasion de dévorer des fruits et légumes pleins de vitamines. Poursuivez sur votre lancée et maintenez les bonnes résolutions alimentaires ! Achetez également des packs d’eau (ou mieux une gourde, plus écologique) afin de vous assurer de boire suffisamment chaque jour.
Le sport : se dépenser pour mieux gagner !
Ce n’est pas une nouveauté mais sans doute les vacances vous ont-elles permis, une fois encore, de confirmer que le sport vous détend et vous équilibre. Continuez de pratiquer assidûment, régulièrement. Alternez sport doux et sport-détente.
Une pause et ça repart !
Inscrivez des temps de pause dans votre agenda : des pauses courtes (dans la journée : par exemple pour reposer vos yeux, respirer à pleins poumons), des pauses fréquentes (dans le mois : des week-ends loin de chez vous, des soirées entre amis…), et des pauses rythmant les longs mois d’hiver.
Si vous ne vous sentez pas en mesure de vous imposer ces respirations, prenez des rendez-vous concrets et organisés : inscrivez-vous au taï chi chuan chaque semaine, prenez un abonnement dans un spa, consultez un relaxologue une fois par mois etc. Prévoyez, à l’avance, des rendez-vous fixes entre amis.
Respectez vos résolutions de rentrée !
Elles sont le fruit de vos réflexions et de vos attentes. Ne les négligez pas. Les résolutions de septembre ont autant (sinon plus) de valeur que celles de la nouvelle année.
Si ces décisions doivent vous amener à revoir votre emploi du temps afin de consacrer plus de temps à votre entourage, mettez en place dès maintenant un plan d’action. Si elles concernent au contraire le souhait de prendre une place prépondérante au sein de votre structure professionnelle, soyez votre propre coach de vie ! Mettez en application les actions qui s’imposent. Si vous désirez influer sur votre bien-être, prenez des conseils avisés tout en vous demandant si vous êtes prêt à consentir aux efforts requis.
Dans ces différents domaines, selon l’importance que vous donnez aux changements et décisions, mettez en œuvre un véritable plan d’action. Si votre vie professionnelle ne laisse plus de place à vos amis, décidez, à l’avance de « rendez-vous » ou dîners. Si vous ne vous accordez pas assez de temps chez vous, le mieux est de vous inscrire à diverses activités. Allez-y, les inscriptions démarrent en Septembre !
Quoiqu’il en soit, la démarche à effectuer en priorité, avant la rentrée, dépend de chacun de vous. Cela dépend de ce que vous ferez de ces conseils. S’ajouteront-ils à la longue liste de nombreux autres conseils divulgués par vos proches? Ou bien seront-ils déclencheurs pour prendre de bonnes décisions afin de donner un nouveau visage à votre quotidien ?
http://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc=rentree-travail-vacances
L’ozone est un gaz constitué de 3 atomes d’oxygène. C’est un gaz très minoritaire dans l’atmosphère : 6 à 8 molécules d’ozone au maximum sur 1 million de molécules d’air. Dans la stratosphère, ce gaz forme une couche autour de 20 km d’altitude, que l’on appelle la couche d’ozone. Attention !! Il ne faut pas confondre l’ozone présent dans la stratosphère, qui forme la couche d’ozone, et l’ozone au niveau du sol, pollution nocive pour l’homme induite par les activités humaines.
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© IPSL
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La couche d’ozone a un rôle primordial, car elle absorbe les rayons ultraviolets, essentiellement les rayons UV-B nocifs à toute forme de vie animale et végétale. En empêchant les rayons UV d’atteindre le sol, l’ozone protège ainsi tous les êtres vivants présents à la surface de la Terre.
La couche d’ozone nous protège des UV (UltraViolet)
La couche d’ozone filtre les rayons UV-B solaires (rayonnement solaire compris entre 280 et 320 nm), qui sont les plus dangereux. Les UV-A (320-400 nm) sont peu absorbés par la couche d’ozone.
Les UV-B ont un effet néfaste sur tous les organismes vivants, terrestres et aquatiques, car ils altèrent l’ADN des cellules. Des taux élevés de rayonnement UV-B réduisent la photosynthèse et la croissance de la végétation et des cultures. Chez l’homme, un accroissement du rayonnement UV-B augmente les risques de cancer de la peau, l’occurrence des cataractes et affaiblit le système immunitaire.
L’indice UV, crée par l’OMS, est une échelle de mesure de l’intensité du rayonnement UV. L’indice UV varie de 0 (la nuit) à 11… mais il peut atteindre la valeur de 18 au sommet de l’Himalaya en juin ! Lorsque le trou d’ozone est présent en Antarctique, l’indice UV peut dépasser le niveau 11, et les doses d’UV reçues dépassent alors celles reçues en Californie ou en Afrique du Nord en été.
http://www.ipsl.fr/Pour-tous/Les-dossiers-thematiques/La-couche-d-ozone-et-le-trou-d-ozone/La-couche-d-ozone-et-son-role
Dans un documentaire intitulé "Le ventre, notre deuxième cerveau" diffusé il y a quelques mois sur Arte, la chaîne de TV faisait le point le point sur des recherches très récentes menées sur l'influence du ventre sur le cerveau.
Les parois de notre intestin sont tapissées de 200 millions de neurones
Ce réseau de neurones, réparti tout au long de notre tube digestif, joue un rôle dans la digestion bien sûr, mais il agit aussi sur notre cerveau par des voies que les chercheurs commencent à peine à identifier.
Cette interaction à distance peut notamment passer par des neurotransmetteurs, des petites molécules par l'intermédiaire desquelles les neurones communiquent entre eux. Par exemple, la sérotonine est un neurotransmetteur qui, au niveau des neurones de notre ventre, rythme le transit intestinal et régule le système immunitaire.
Mais les chercheurs ont découvert qu'une petite partie de cette sérotonine passe dans la circulation sanguine et remonte jusque dans notre tête. Et là elle va pouvoir agir sur les neurones de notre cerveau qui eux aussi se servent de la sérotonine comme messager mais pour d'autres tâches comme la régulation de nos émotions. Voilà comment les neurones du ventre s'invitent dans la gestion de nos émotions.
On savait depuis longtemps que nos états émotionnels pouvaient agir sur notre ventre et les scientifiques sont en train de découvrir que l'inverse est aussi vrai. Notre ventre peut influencer nos émotions.
Certaines maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson pourraient trouver leurs origines dans notre ventre. C'est une hypothèse sur laquelle travaillent des chercheurs à l'hôpital de Nantes. Ils ont déjà montré que la maladie de Parkinson engendre les mêmes lésions sur les neurones de l'intestin que sur ceux du cerveau. A l'avenir il pourrait donc devenir possible de diagnostiquer cette maladie avec une simple biopsie intestinale. Une intervention bien moins risquée qu'une biopsie du cerveau.
L'idée de se servir du ventre comme une fenêtre sur le cerveau gagne du terrain. Les chercheurs voudraient tester cette approche pour d'autres maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer.
Plus inattendu, notre cerveau serait aussi sous l'influence des bactéries qui peuplent notre tube digestif. Ces bactéries sont particulièrement nombreuses : 100.000 milliards. Elles constituent un véritable écosystème que les scientifiques appellent le microbiote. Il est différent pour chacun d'entre nous et nous est très utile : les bactéries qui le composent digèrent des aliments que nous ne pourrions pas digérer sans elles.
Un biologiste de l'Université McMaster au Canada, Stephen Collins a remarqué que des souris sans microbiote, c'est-à-dire ne portant en elles aucune bactérie se comportent de façon étrange. Elles prennent plus de risques et se mettent davantage en danger. Mais lorsque l'on introduit dans leur tube digestif une flore bactérienne, leur comportement change : elles deviennent plus prudentes.
Cela a conduit le chercheur canadien à mener une expérience encore plus surprenante. Il a choisi deux lignées de souris différentes : l'une présentant un comportement particulièrement actif et téméraire et l'autre beaucoup plus calme. Puis il a administré à chaque lignée le microbiote de l'autre.
Résultat : Les souris agitées, après avoir reçu les bactéries des souris calmes, se sont complètement assagies. Et inversement, les souris calmes sont devenues beaucoup plus agressives après avoir ingéré les bactéries des souris agitées.
Cette expérience démontre que, chez les souris, les bactéries présentes dans le tube digestif ont une influence importante sur le comportement et donc sur le cerveau.
http://www.franceinfo.fr/emission/info-sciences/2013-2014/l-influence-du-ventre-sur-le-cerveau-01-31-2014-12-55
1. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
2. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
3. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
4. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
8. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...