L'adoléscence est une étape difficile. Plusieurs élèves vivent des troubles divers qui ont des conséquences facheuses sur leur scolarité
Pour bâtir un projet professionnel qui vous convienne vraiment, vous devez tenir compte à la fois de votre caractère, de vos aptitudes et de votre motivation.
-Si vous êtes méthodique, patient, que vous avez des aptitudes techniques et avez envie de vous épanouir dans une profession très spécialisée, vous pouvez envisager une carrière de technicien ou d'ingénieur spécialisé dans l'industrie, l'informatique ou les nouvelles technologies.
- Si vous êtes sociable, habile de vos mains, et avez envie d'aider les autres, vous pourriez envisager des carrières para-médicales (kiné, dentiste, infirmier...)
- Si vous êtes consciencieux, ambitieux, que vous aimez les responsabilités et avez un profil d'intelligence logico-mathématique, vous pouvez envisagez une carrière d'ingénieur.
En réalité, on apprend peu à peu à se connaître au fil du temps, en vivant de nouvelles expériences, en rencontrant certaines personnes qui nous aident à nous révéler. Quant aux choix à poser, là encore, pas de panique ! C'est en avançant par étapes que l'on peut choisir une première orientation, puis une autre, puis opter pour une spécialisation...
"Connais-toi toi-même", disaient les philosophes grecs... Connais-toi pour prendre confiance en toi, découvrir tes forces et tes faiblesses, tes talents et ceux que tu n'as pas mais que tu aimeras trouver chez les autres. Connais-toi pour donner le meilleur de toi-même et ainsi, rendre les autres heureux. Un conseil de sagesse à vivre tranquillement, sur un chemin qui va s'éclairer peu à peu.
http://www.reussirmavie.net/Comment-se-connaitre-soi-meme_a110.html
Il peut être difficile pour les enfants et les adolescents d’affronter et de comprendre les catastrophes et les tragédies, telles que l’action militaire, les incendies ou les tremblements de terre.
La réaction de votre enfant ou de votre adolescent dépend de son âge, de son tempérament et de la proximité qu’il a avec l’événement, c’est-à-dire si des personnes qu’il connaît et qu’il aime ont été éprouvées. Ne sous-estimez pas les répercussions des événements qui se produisent dans le monde. Votre enfant ou votre adolescent ne comprend peut-être pas, mais il peut tout de même être effrayé et se demander s’il est en danger. La couverture médiatique, qui contient des images et des nouvelles angoissantes et explicites, peuvent aggraver ces sentiments.
Après une catastrophe, les enfants peuvent craindre que la situation se répète, que quelqu’un qu’ils connaissent soit blessé ou meure ou d’être séparés de leur famille.
Votre adolescent peut prétendre ne pas se sentir touché. Ne vous laissez pas induire en erreur. Parlez-lui et demandez-lui quels sont ses doutes et ses craintes. Les adolescents peuvent aussi :
Vous jouez un rôle important pour rassurer votre enfant ou votre adolescent en restant calme et en l’aidant à comprendre et à affronter ses réactions.
Prenez les inquiétudes de votre enfant au sérieux. Respectez ses réflexions et ses sentiments. Ne lui dites pas que ses sentiments sont ridicules. Votre enfant devrait savoir qu’il n’y a pas de mal à être bouleversé et que ses inquiétudes sont normales. Évitez toutefois de parler constamment de ce qui s’est produit si votre enfant va bien.
Vérifiez comment votre enfant se sent, mais ne le forcez pas à parler avant qu’il soit prêt. Il arrive que lesenfants veuillent simplement des réponses simples et rassurantes. Encouragez un enfant plus jeune à faire un dessin ou à raconter une histoire sur ce qu’il ressent. Donnez-lui beaucoup de caresses et de câlins s’il en a besoin.
Parlez de ce que vous ressentez lorsqu’une catastrophe se produit. Soyez aussi calme et honnête que vous le pouvez et utilisez des mots et des concepts que votre enfant peut comprendre. Vos réponses informeront votre enfant, qui pourra se sentir mieux s’il sait qu’il n’est pas le seul à être inquiet.
Rassurez votre enfant. Dites-lui quelles mesures vous prenez pour que votre maison et votre collectivité soient sécuritaires. Cependant, ne faites pas de promesses que vous êtes incapable de tenir, comme dire qu’il n’y aura pas d’autres tremblements de terre ou d’autres tempêtes.
Conservez les habitudes familiales. Les habitudes ramènent un rythme normal et limitent le temps que votre enfant peut passer à songer aux événements. Elles peuvent également aider votre enfant à mieux dormir la nuit et à avoir l’impression que la vie est prévisible.
Passez du temps ensemble, en famille. Si vous faites des choses que votre enfant aime, vous l’aiderez à se sentir davantage en sécurité.
Limitez le temps d’écran. Les images des nouvelles peuvent être effrayantes et créer de la confusion. Il ne faut pas les regarder en boucle. Si vous prévoyez regarder les nouvelles, faites-le ensemble et éteignez la télévision après avoir terminé, pour parler de ce qui se passe.
Faites une tempête d’idées en famille sur les moyens d’aider les personnes éprouvées par les événements. Soulignez l’importance de la communauté et des secouristes qui se serrent les coudes pour donner un coup de main.
Parlez de ce qui se passe dans le monde. Votre enfant apprendra en vous écoutant parler avec lui et avec d’autres. Lisez des livres et écoutez des vidéos sur des événements graves et aidez votre enfant à comprendre, d’une manière adaptée à son âge. Votre enfant ou votre adolescent comprendra mieux et vous pourrez aussi corriger l’information erronée qu’il aura entendue.
Soyez patient. Le stress causé par les événements mondiaux peut avoir des répercussions sur vous, vous rendre moins patient auprès de votre enfant ou vous inciter à moins l’écouter. N’oubliez pas de vous occuper aussi de vous.
Soyez prêt. Parlez de tous les moyens de quitter la maison en toute sécurité en cas d’incendie, et désignez un lieu de rencontre si vous devez sortir rapidement. Préparez une trousse d’urgence et informez tout le monde de l’endroit où elle est rangée.
En présence d’événements mondiaux et de catastrophes naturelles, il peut être difficile d’affronter d’autres situations pénibles ou traumatisantes, comme une maladie ou un décès dans la famille, un divorce, un déménagement dans une nouvelle ville ou un changement d’école. Si c’est le cas, votre enfant aura peut-être besoin d’un soutien et d’attention supplémentaires.
Après une catastrophe, il est possible de présenter un syndrome de stress post-traumatique (SSPT), qui peut se manifester après avoir vu ou vécu un événement très traumatisant. Les enfants et les adolescents peuvent en souffrir. Parlez à votre médecin si votre enfant ou votre adolescent affiche d’importants changements de comportement, comme :
Demander de l’aide n’est pas synonyme d’échec. Parler à un professionnel de la santé, comme un psychologue, un psychiatre, un médecin, un travailleur social ou une infirmière, peut représenter une première mesure très utile.
http://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/disaster
La dépression est la maladie du siècle. Elle apparaît de plus en plus souvent. Il est de plus en plus rare de trouver une personne qui n’a pas connu un épisode dépressif au cours de sa vie.
La dépression est un trouble de l’humeur qui modifie notre manière d’être, nos comportements et nos émotions. La dépression peut toucher toute les populations et même toutes les tranches d’âge. Lorsque l’on parle de dépression nous pensons souvent à la dépression que les adultes rencontrent voir à la dépression saisonnière mais nous ne pensons pas qu’elle puisse toucher les adolescents et même les enfants. Pourtant elle ne se manifeste pas du tout comme celle de l’adulte et nous pouvons parfois passé à côté des différents signes de la dépression chez les plus jeunes. La dépression frappe 1 % des enfants et 5 % des adolescents. Cette maladie peut donc toucher les plus jeunes mais elle est souvent mal détectée car elle se manifeste de façon plus discrète. Les signes sont plus difficiles à percevoir par les parents. C’est pour cela qu’une consultation chez un spécialiste de l’enfance est indispensable. Faites appel à un psychologue certifié afin d’avoir un diagnostic précis. Il est important de diagnostiquer le plus tôt possible et de traiter la dépression du jeune car on sait qu’une des complications de la dépression chez les jeunes est la tentative de suicide.
Si les principaux signes de la dépression de l’adulte se manifestent chez les adolescents, il existe également des symptômes spécifiques de la dépression chez les jeunes. La dépression se caractérise classiquement par :
Les symptômes surviennent le plus souvent de manière soudaine et persistent durablement. Cependant ces signes d’alertes surviennent souvent après un évènement particulier. La dépression chez l’enfant est souvent déclenchée par de grands changements ou chamboulements de vie comme une séparation, déménagement, deuil, … Il est vrai que l’équilibre de l’environnement de l’enfant lui permet de se sentir bien. Il influence donc beaucoup sa santé mentale et affective. Il est la baromètre de sa vie. La dépression se produit donc généralement lorsque l’enfant est soumis à différentes pressions et contraintes. Les causes de la dépression ont comme origine un ensemble de facteurs qui lient la santé, les antécédents familiaux, l’environnement,… En consultations privées, les causes principales sont :
Chez les adolescents en plus des symptômes détaillés plus tôt, nous pouvons rajouter d’autres signes très spécifiques à cette période de vie. La dépression peut également s’exprimer par des comportements à risques:
Les filles se plaignent plutôt de troubles somatiques (maux de ventre, insomnie, maux de dos) alors que les garçons ont tendance à souffrir d’agressivité ou de comportements antisociaux. L’entourage adulte (parents, professeurs) ne pense pas forcément à une dépression, et peut mettre ces manifestations sur le compte d’une crise d’adolescence particulièrement intense.
Une réticence à parler, un absentéisme scolaire, des troubles du sommeil, des pleurs incontrôlés ou des idées noires récurrentes sont d’autres troubles qui doivent amener à consulter un médecin.
Les jeunes qui ont connu un ou plusieurs épisodes dépressifs seront plus exposés à ces troubles à l’âge adulte, surtout si la dépression n’a pas été correctement traitée à l’adolescence.
Quel traitement de la dépression chez le jeune ?
Lorsqu’une dépression est diagnostiquée chez un enfant ou un adolescent, le traitement consiste d’abord en la mise en place de mesures de soutien psychothérapeutique (familial ou individuel). Il peut également se révéler nécessaire de modifier l’environnement de l’enfant (par exemple le changer d’école) s’il est malheureux là où il est. Chez ces jeunes patients, un diagnostic de dépression justifie systématiquement une prise en charge psychothérapeutique. Dans certains cas particulièrement sévères, un recours aux médicaments antidépresseurs peut être justifié.
Voir l’article sur les traitements de la dépression chez les enfants et les adolescents
Article de Czuba Laurence, Psychologue Clinicienne
Qu’est-ce que la neurochimie ?
C’est l’étude des molécules chimiques, plus particulièrement les neuromédiateurs. Les neuromédiateurs sont des molécules qui permettent de faire passer un message aux cellules nerveuses. Il faut savoir que les neurones communiquent par deux types de messages : le premier est un message électrique (décharge électrique dans la cellule nerveuse). Lorsque ce message arrive en bout (axone) celui-ci libère une molécule chimique (neuromédiateur). Et c’est le deuxième type de communication. Ce neuromédiateur va se localiser ensuite sur des récepteurs du neurone suivant qui va générer à nouveau message électrique. Pour schématiser le neuromédiateur c’est la substance qui va permettre la continuité de l’influx électrique à la connexion de chaque neurone. Un exemple de neuromédiateur est la dopamine. Donc comme on peut le voir, les molécules chimiques sont fondamentales dans le fonctionnement du cerveau.
Que se passe t-il s’il y a moins (ou plus du tout) de neuromédiateurs ? Y a-t-il un problème ?
Oui effectivement il y a un gros problème. C’est ce qui se passe dans certaines maladies neurologiques, comme la maladie de Parkinson. Dans ce cas, il y a un dysfonctionnement de la communication neuronale au sein d’un réseau particulier. Certaines cellules nerveuses ne reçoivent plus l’information véhiculée par le neuromédiateur (qui dans le cas de la maladie de Parkinson s’appelle la dopamine). Le réseau de neurones qui contrôle et régule le mouvement est perturbé et doit faire face à cette nouvelle situation en mettant en jeu des processus d’adaptation complexes visant à compenser ce dysfonctionnement, du moins autant que peut le faire ce système.
Ce dysfonctionnement devient par la suite si important, que les processus de compensation ne suffisent plus, les symptômes de la maladie deviennent alors de plus en plus sévères.
Si ces substances chimiques appelées neuromédiateurs sont vitales pour le cerveau, qu’est-ce qui peut perturber leur bon fonctionnement?
Les drogues sous quelque forme que ce soit, comme la cocaïne, le cannabis, le LSD ou encore l’alcool sont toutes des substances chimiques qui interagissent avec les récepteurs des neurones de notre cerveau et qui vont toutes perturber les fonctions des neuromédiateurs.
Comment les drogues agissent ?
Lorsqu’elles arrivent au cerveau, ces substances chimiques vont se fixer aux récepteurs des neurones destinés initialement aux neuromédiateurs. Donc les neuromédiateurs ne pourront plus physiologiquement se fixer sur les récepteurs des neurones (et faire passer normalement le message nerveux) car ces récepteurs sont en quelque sorte déjà« occupés » par ces substances chimiques de façon inadéquate. Que se passe t-il alors ?
Là encore la communication neuronale se trouve perturbée, et le cerveau va essayer de s’adapter et certaines fonctions vont être mal contrôlées. Comme l’influx nerveux passe mal entre les neurones, la personne sous l’emprise de la drogue aura des problèmes de coordination des mouvements, des difficultés à se concentrer, etc. Celle-ci se mettra par exemple à tituber, à perdre ses réflexes, son acuité visuelle. On peut donc aisément comprendre qu’il est très dangereux de prendre le volant sous emprise de drogues même s’il s’agit d’un simple «joint » .
Mais cet état induit par la drogue peut aussi donner lieu à une sensation de plaisir mis en jeu par notre système limbique et qui fait encore intervenir la dopamine que nous avons vue tout à l’heure pour la maladie de Parkinson.
Qu’est-ce qui crée cette dépendance, cette accoutumance à la drogue?
Il faut savoir que le cerveau nous amène à rechercher le plaisir et à fuir la douleur. C’est ainsi que la personne qui prend de la drogue voudra revivre cette sensation agréable et reprendra de la drogue. Compte tenu de l’effet de ces substances sur les récepteurs des neurones, la courbe dose/effet sera modifiée au long cours. En d’autres termes, il faudra prendre de plus en plus de ces substances pour éprouver la même sensation de plaisir. Inévitablement, tant que ce seuil du plaisir n’est pas atteint, la sensation de plaisir s’estompe et se manifeste alors un sentiment de manque. Pour fuir cette douleur, ce mal être, la solution de facilité ici sera bien entendu de reprendre de la drogue. D’où un cercle vicieux de dépendance qui s’enclenche. Dépendance renforcée par le processus de la fuite de la douleur et la recherche du plaisir. Ce qui aboutit à terme à l’overdose.
Y a-t-il que les drogues qui créent ce phénomène d’accoutumance ?
La prise de médicaments comme les somnifères peuvent créer un phénomène d’accoutumance. Quand on prend des substances, le cerveau s’habitue à leur utilisation et avec lui tout notre état psychique qui nous rend dépendant de ces somnifères. Si bien que le jour où on arrête de les prendre, le cerveau et notre psychisme sont perturbés. Le cerveau réclame alors la substance avec laquelle il a été habitué à fonctionner.
http://apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/article.php?cat_num_sel=&numtxt=349
Le monde appartiendrait à ceux qui se lèvent tôt, si l’on en croit l’adage populaire. En tout cas, pour les enfants, ce serait plutôt l’horaire du coucher qui pourrait contribuer à maximiser l’intelligence. En effet, une étude menée par l’University College de Londres a montré que les enfants de sept ans qui n’étaient pas habitués à aller au lit tôt et à heure fixe quotidiennement, obtenaient de moins bons scores aux tests de lecture, de mathématiques ou d’aptitude de repérage dans l’espace. Une nouvelle preuve que le sommeil affecte les capacités cognitives.
Selon le travail publié dans le Journal of Epidemiology & Community Health, modifier l’heure du coucher pourrait interrompre ou raccourcir le temps de sommeil. En conséquence, cela perturberait dans un premier temps le rythme jour-nuit, mais entraînerait aussi une diminution de la plasticité cérébrale, ainsi qu’un déficit de la concentration. Ce qui aboutit à une baisse des capacités cognitives.
Les filles (fatiguées) moins performantes que les garçons
L’étude a porté sur 11.178 enfants britanniques âgés de 7 ans au moment de l’évaluation par des tests de lecture, de mathématiques et d’aptitude de repérage dans l’espace. Leurs parents ont été interrogés afin d’estimer la régularité des horaires de coucher de ces mêmes enfants à trois ans, cinq ans et sept ans. C’est dans la première classe d’âge que la majorité des enfants manquent de régularité pour aller au lit (19,5 %). Avec les années, les heures se fixent peu à peu, à tel point que les plus grands ne sont plus que 8,2 % à ne pas dormir à heure fixe.
Un sommeil perturbé pendant l'enfance, et les résultats en mathématiques et en lecture peuvent en pâtir. Surtout chez les filles...
Un sommeil perturbé pendant l'enfance, et les résultats en mathématiques et en lecture peuvent en pâtir. Surtout chez les filles... © Genlady, StockFreeImages.com
Les résultats aux tests montrent donc que plus longtemps le phénomène se prolonge, plus les performances s’écartent de celles des dormeurs réguliers. Autrement dit, les enfants n’ayant jamais pris l’habitude de se coucher aux mêmes heures sont moins bons en lecture, en mathématiques et pour se repérer dans l’espace que ceux n’ayant vécu cela qu’à l’âge de trois ans, eux-mêmes étant déjà un peu moins performants que ceux allant au lit à heure fixe.
Étrangement, les filles semblent encore plus sensibles à cette irrégularité que les garçons, leurs évaluations chutant plus fortement.
Se coucher tôt et à heure fixe : l’une des clés
Comment interpréter ces résultats ? Une première analyse, pertinente, pourrait consister à établir un lien avec le milieu social et l’environnement familial. En effet, ce type de facteur est souvent influent, et pourrait être le reflet de l’organisation des règles du sommeil dans la cellule familiale. Pour éviter ce biais, les auteurs ont essayé de l’éliminer.
Mais rien n’y change : indépendamment du statut professionnel des parents, du temps consacré aux enfants, de leurs activités de loisirs ou de la durée passée devant la télé (entre autres paramètres), les performances aux tests demeurent inférieures. La régularité du sommeil semble donc un élément clé.
Ainsi, il semble donc qu’un environnement routinier puisse être positif pour le développement de l’enfant. Du moins, lui assurer un sommeil régulier et complet l’aide à exploiter au mieux ses capacités cognitives. Ces résultats concordent avec les études qui montrent que les meilleurs élèves à l’école sont souvent ceux qui bénéficient de longs temps de sommeil.
1. Par Mehdi El le 2025-04-10
Bon travail Merci
2. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
3. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
4. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
5. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
8. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...