Des conseils et informations pratiques pour vous aider à réaliser votre projet de classe (reportage audiovisuel ou UNE de webmagazine) sur le thème de la préservation de l'eau potable et des actions concrètes à mettre en œuvre dans votre environnement proche ou plus lointain.
Pour mener à bien le reportage, il est important que les élèves cernent sa forme et son fond :
Comment ?
En petits groupes ou de façon collective, les élèves émettent des idées de sujets pour sélectionner ensuite celui qu'ils souhaitent traiter.
Comment ?
Petit conseil : en fonction du sujet retenu, une sortie/visite peut être envisagée, de façon à ce que les élèves s'imprègnent bien des caractéristiques du lieu d'action de leur reportage.
Le story board est le document qui découpe le déroulé du reportage en petite séquences (10 en CM2, 12 en CM1 et 15 en CE2).
Chaque séquence est composée d'un visuel (dessin, photo…) et d'une légende, selon une maquette pré-formatée sur le site.
Pour cela, en petits groupes, puis collectivement, les élèves définissent d'abord le plan du reportage, séquence par séquence.
Comment ?
En s'aidant des réponses aux questions de l'étape 2 (thème, message, actions) pour formaliser un chemin de lecture, avec des idées qui se suivent, en relation les unes avec les autres.
Exemple de chemin de lecture : problème > causes > conséquence > solutions envisagées
Petit conseil : en commençant par le contenu des première et dernière séquences (point de départ et conclusion), il sera plus facile aux élèves de définir le contenu des autres étapes.
Attention ! Le reportage doit être réalisable facilement, dans le périmètre géographique de votre école.
Les élèves construisent l'interview d'une personnalité du SEDIF ou d'une autre personnalité en 5 questions.
Comment ?
En rédigeant de "bonnes" questions :
Petit conseil : commencer les questions par "Comment" et "Pourquoi" permet à la personne interviewée de répondre autrement que par oui ou par non.
En petits groupes, les élèves réalisent le story board, selon le plan défini en étape 3.
Le travail pourra être organisé par séquence, chaque groupe prenant en charge la réalisation complète d'une ou plusieurs séquences.
Comment ?
Petit conseil : comme pour une photo, il est important de sensibiliser les élèves à la composition de chaque séquence de leur reportage en travaillant les plans, les cadrages et leur rôle dans la transmission des messages…
Avantle 15 janvier 2010, les élèves publient :
Comment ?
Publier le story board et les questions
Les élèves réalisent un film de 2 minutes maximum, dans lequel un ou des représentants de la classe expriment ce qu’ils souhaiteraient mettre en valeur dans leur reportage s’ils le réalisaient : c’est leur engagement envers la cause qui doit transparaître. Ce film doit être simple : prise directe faite avec un appareil photo ou une caméra et pas de montage obligatoire. Tous les formats sont acceptés sur le site.
Comment ?
Petit conseil: le travail réalisé pour le choix du sujet pourra être à nouveau exploité pour expliquer le sujet, l'objectif du reportage et en quoi il contribue à la préservation de l'eau.
Avant le 30 avril 2010, le film est publié en ligne.
Pour mener à bien la réalisation de la UNE, il est important que les élèves cernent sa forme et son fond :
Comment ?
Consulter les dossiers pédagogiques
En petits groupes ou de façon collective, les élèves émettent des idées sur les sujets qu'ils souhaitent traiter.
Comment ?
Le chemin de fer
En petits comités de rédaction, puis collectivement, les élèves :
Comment ?
L'interview
Les élèves construisent l'interview d'une personnalité du SEDIF ou d'une autre personnalité de la commune en 5 questions.
Comment ?
En rédigeant de "bonnes" questions :
Petit conseil : commencer les questions par "Comment" et "Pourquoi" permet à la personne interviewée de répondre autrement que par oui ou par non.
Avantle 15 janvier 2010, les élèves publient :
Publier le chemin de fer et les questions
En petits groupes, les élèves réalisent la UNE de leur webmagazine.
Le travail pourra être organisé par article, chaque groupe prenant en charge la rédaction complète d'un article (titre, légende photo, article…).
Comment ?
Petit conseil : une attention particulière devra être portée au langage (richesse et précision), au calibrage des articles dans la maquette pré-formatée et à la relecture finale.
Des informations et des conseils pédagogiques sur le site du CLEMI (Centre de Liaison de l'Enseignement et des Médias d'Information)
NB : Le CLEMI a pour mission d’apprendre aux élèves une pratique citoyenne des médias dans l’ensemble du système éducatif. Il est entre autres en charge de l'organisation de l'évènement La semaine de la Presse
Avant le 30 avril 2010, la UNE doit être publiée dans la maquette pré-formatée.
Source:http://concours-sedif.novactive.fr/
Essentiel à la récupération de l’organisme et à la réalisation de certaines fonctions métaboliques (en particulier hormonales et détoxicantes), le sommeil est hélas souvent négligé dans sa qualité et dans sa quantité.
De 8 à 9h par nuit dans les années 1960, les gens qui ne dorment que 5 à 6h aujourd’hui ne sont pas rares dans nos sociétés modernes et notamment en ville. D’un autre côté dormir plus de 9h selon certaines études serait aussi mauvais pour la santé (cancers).
Le sommeil est le temps de la reconstruction des tissus (muscles) qui se fait sous influence du système parasympathique alors que la veille est le temps de la combustion et de l’activité catabolique sous influence du système sympathique.
Pendant un bon sommeil, les tensions psychiques se libèrent, les stocks énergétiques se reconstituent, la peau se régénère, les muscles se réparent, l’immunité est améliorée, etc…
Les hormones du sommeil sont la mélatonine, la testostérone, la GH (hormone de croissance), et la LH (hormone lutéinisante) et aussi la progestérone, la rénine…
Manque de sommeil et équilibre neuroendocrinien
Le mauvais sommeil et nos hormones
Un sommeil de mauvaise qualité perturbe largement notre système endocrine. Voici quelles peuvent en être les conséquences :
– augmentation du cortisol matinal (hormone du stress)
– diminution de l’hormone de croissance (GH) qui diminue déjà beaucoup avec l’âge
– augmentation des hormones thyroïdiennes T3, T4 et baisse de la TSH
– diminution de la tolérance au glucose pouvant entraîner du diabète et la prise de poids
– chute du taux de leptine (hormone de la satiété) entraînant donc une tendance à manger davantage et favorisant le surpoids.
Le mauvais sommeil et nos neuromédiateurs
Au niveau des neuromédiateurs (ou neurotransmetteurs : substances permettant la transmission de l’influx nerveux), la plupart des systèmes sont perturbés :
– baisse de la Dopamine (hormone de l’action et de l’initiative)
– baisse de l’Acétylcholine (pour la concentration, )
– baisse du GABA (neuromédiateur aux effets calmants et relaxants)
– la production de Sérotonine est accélérée mais elle débouche sur une diminution de la mélatonine (hormone du sommeil).
Il en découle une mauvaise régulation de l’humeur (avec anxiété, dépression, tristesse, irritabilité), des troubles de mémoire, d’apprentissage et des fonctions cognitives (du comportement).
Sommeil et détoxication de l’organisme
Pendant votre sommeil, votre corps travaille à l’élimination de ses déchets. Le foie en particulier et les intestins travaillent sous l’influence du système parasympathique qui est plus actif pendant que l’on dort.
Sommeil et santé générale
De nombreuses maladies peuvent être influencées par le manque de sommeil : le diabète , l’HTA , l’obésité , les troubles de la mémoire, la dépression nerveuse, etc… La santé générale et l’immunité se détériorent lorsque l’on dort mal ou pas assez.
Pour améliorer le sommeil
Il est conseillé :
– d’avoir des rythmes de travail et de veille-sommeil réguliers
– une bonne literie
– un environnement propice : éviter le bruit, la lumière, les rayonnements électromagnétiques,
température modérée…
– d’éviter le stress dans la journée ou de savoir le gérer.
http://www.antiageintegral.com/forme/sommeil.asp
Pourrait-on vous amener à divulguer votre code bancaire simplement en vous faisant penser à lui ? L'activité électrique de votre cerveau peut-elle trahir vos secrets ? C'est la démonstration qu'ont accomplie des chercheurs lors de la récente conférence sur la sécurité informatique Usenix. Pour cela, ils ont utilisé un simple casque EEG (type Emotiv, disponible dans le commerce pour 500 $), qui mesure l'activité électrique du cerveau, une technologie qui n'avait jamais été étudiée sous l'angle de ses implications en matière de sécurité, rapportent Extreme Tech et Cnet.
L'étude (.pdf) des chercheurs (présentation en vidéo) menés par Ivan Martinovic du département des sciences informatiques de l'université d'Oxford, a consisté à créer un programme personnalisé conçu dans le but de vous faire penser à des données sensibles telles que l'emplacement de votre maison, le code secret de votre carte de crédit ou votre mois de naissance. Les chercheurs ont testé leur programme sur 28 participants coopératifs (même s'ils ne connaissaient pas le but de l'expérience) et les résultats ont montré que la fuite d'information provenant de l'utilisateur (la mesure de "l'entropie de l'information") apportait une réponse supérieure de 15 % à 40 % à une méthode aléatoire.
Les chercheurs se sont appuyés sur les ondes P300, un tracé d'ondes très spécifique qui se produit lorsque vous reconnaissez quelque chose qui a un sens (visage d'une personne connue) ou quelque chose qui convient à ce que vous êtes en train de faire (voir un marteau quand vous bricolez) et qui commence à être pris en compte dans les détecteurs de mensonges. L'exercice pour les cobayes consistait à observer des séries de photos défilant rapidement sur un ordinateur (des visages, des cartes géographiques, des photos de cartes bancaires, la liste des mois de l'année...) tout en leur posant des questions spécifiques et pour les chercheurs à observer celles qui déclenchaient une réponse du capteur.
Pour les chercheurs, des développeurs malveillants pourraient utiliser cette technologie, utilisée dans de plus en plus de jeux, pour créer un "logiciel espion de cerveau", une application incitant les joueurs à réfléchir à des informations sensibles qu'ils pourraient donc voler. Bien sûr, les résultats obtenus sont encore trop bruyants. "Les dispositifs utilisés ne sont pas faits pour détecter ce type de modèles", a souligné Martinovic. Cependant, l'expérience a montré que les résultats étaient meilleurs qu'une supposition purement aléatoire. En améliorant le camouflage de l'interrogatoire pour rendre l'utilisateur plus coopératif et la qualité des appareils de mesure, le taux de réussite pourrait certainement être amélioré.
Les chercheurs ont noté dans leurs conclusions qu'il était possible de diminuer le taux de réponse que votre cerveau donne malgré vous en se concentrant sur autre chose, par exemple en comptant les visages qui ne vous sont pas familiers... A l'inverse, ces techniques permettraient aussi de développer de nouvelles méthodes de sécurité, vous permettant par exemple d'accéder à vos données simplement en présentant sous vos yeux l'image d'un de vos amis.
Hubert Guillaud
http://internetactu.blog.lemonde.fr/2012/10/31/peut-on-extraire-des-donnees-de-votre-cerveau/
1. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
2. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
3. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
4. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
8. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...