Tout test n'est en réalité qu'un indice qui doit vous aider à mieux vous connaître. Vous pouvez aussi y ajouter vos facteurs de motivation, sans oublier aussi de tirer leçon de vos stages et de vos expériences professionnelles. Pourquoi vous êtes-vous épanoui dans ce stage ? Qu'avez-vous aimé ? Dans quelles situations êtes-vous à l'aise ? Ou au contraire, quand êtes-vous en difficulté ? Posez-vous ses questions régulièrement.
Pour faire le point, il peut être très utile de discuter avec quelqu'un : conseiller d'orientation, famille, professeurs... Mais là encore, n'attendez pas que votre interlocuteur vous dise "quel métier vous devez faire"... car personne ne pourra vivre et travailler à votre place !
http://www.reussirmavie.net/Pour-quels-metiers-etes-vous-fait_a1524.html
On parle beaucoup de détox en minceur pour purifier son organisme et chasser les toxines. Mais le cerveau aussi a parfois besoin de nettoyer le négatif pour se remplir d'énergie positive. En ce début d'année, une "diète" émotionnelle s'impose. Mode d'emploi.
On limite les informations anxiogènes
A moins de vivre retirée en ermite dans une forêt des Landes (et encore), il est bien difficile (surtout en ce moment) d'être sourd à l'actualité dramatique des derniers jours. Mais à force, le suivi de ce flux d'informations sur les réseaux sociaux et les chaînes en continu peut faire tomber notre moral au niveau des nappes phréatiques. Si vous sentez que ces sources d'information "pompent" trop votre énergie, il est peut-être temps de réduire votre temps d'exposition. Cette mini-diète médiatique doit vous permettre de vous ressourcer en bonnes ondes, pour repartir éventuellement vers une consommation médiatique plus raisonnée.
On s'éloigne des relations toxiques
Ce nettoyage émotionnel passe aussi par une mise à distance des relations toxiques. Vous avez peut-être des personnes de votre entourage qui vous sapent l'ambiance à chaque fois que vous les voyez. Cela peut-être une collègue qui joue les Cassandre dès que vous la croisez, ou ce voisin qui passe son temps à geindre, ou cette connaissance qui raconte ses malheurs dès que vous la voyez. Fuyez-les !
On diminue les activités chronophages et improductives
On a toutes des habitudes que l'on répète inlassablement sans s'en rendre compte et qui ne nous apportent au final aucun réconfort ou aucun intérêt, en dehors celui de nous gaspiller du temps et de l'énergie. La liste d'exemples est infinie : consulter sa boite mail toutes les deux minutes, regarder son portable pour voir si on a un message 50 fois par jour, jouer à Candy crush ou autres jeux en ligne aussi addictifs que le sucre...
Une fois que vous avez fait le point sur ces fâcheuses manies, ne reste plus qu'à tenter de vous en défaire en les remplaçant pas d'autres, beaucoup plus épanouissantes.
On se nourrit en bonnes ondes
Après avoir fait le tri entre ce qui nous fait du bien et ce qui nous coûte beaucoup, on dresse une liste des petites choses du quotidien qu'on aime faire ou qu'on aimerait faire : lire une bande-dessinée, regarder une comédie, faire un soin en institut, écouter de la musique entraînante, faire du coloriage, boire un thé avec ses copines... On se ménage du temps pour profiter de ces plaisirs et on cultive ainsi dans son cerveau un jardin d'inspirations et de pensées positives.
http://www.topsante.com/forme-et-bien-etre/detente/antistress/anxiete-on-se-fait-une-detox-du-cerveau-75325
Être parent est un parcours aussi extraordinaire qu’éprouvant!! En fait, quand nos enfants vivent des périodes d’individuation, c’est plus confrontant qu’autre chose. Car voir nos enfants agir de façon tragique, et, qui plus est, en public, nous touche au plus profond de nous-même. Nos peurs émergent. Celle de ne pouvoir réaliser notre rêve le plus important : être heureux en famille.
Avoir des enfants épanouis. Responsables. Empathiques. Nous sommes aussi souvent confrontés au fait que nous n’avons pas toujours les outils pour les mettre en pratique: dans la spirale de l’émotivité, nous en venons à douter de nos compétences parentales ou à douter que notre enfant possède les outils et les compétences nécessaires pour s’épanouir.
Parent parfait
Face à tout cela, il nous arrive souvent de réagir intensément et d’une façon que nous regrettons amèrement. Nous voyons que nous avons :
•Des idéaux de parentalité difficiles à mettre en pratique
•Un rêve d’une famille heureuse qui ne se réalise pas au rythme que nous souhaiterions et comme nous l’imaginions
•Des limites physiques, émotionnelles et mentales à résoudre
•Des grandes peurs de ne pas être à la hauteur et d’élever un enfant de la mauvaise façon
•Des jugements de soi, de notre enfant et une peur du jugement des autres
Parfois, nous allons trop loin et nous avons ensuite tendance à crouler sous la culpabilité:
•Nous nous sentons coupable de crier, de perdre patience
•Nous nous jugeons comme étant un mauvais parent, incapable et indigne
•Nous restons coincés dans une spirale de jugements qui nous empêchent d’avancer et de voir que nous pouvons apprendre de nos erreurs et faire autrement, une prochaine fois. Plus calmement, plus respectueusement, à chaque fois.
Pour avancer, passons de parent parfait à parent apprenant:
•Nous apprenons à vivre et à évoluer en faisant des erreurs. Voyons-les comme des opportunités d’apprendre à réajuster son tir, une prochaine fois
•Au lieu de se faire violence avec la culpabilité (jugements de soi), voyons que nous avons, au fond, besoin d’exprimer notre regret et de reconnaître l’impact de nos gestes, avec bienveillance pour soi et pour l’autre
•Nous faisons de notre mieux avec les ressources que nous avons, à chaque moment
•Cheminons vers la bienveillance, dans le respect de notre rythme et dans la confiance que nous avancerons, petit à petit!
Apprenons à exprimer du regret en vue de restaurer la connexion
Rien ne nous empêche de revisiter des dialogues pour restaurer la connexion et reformuler avec bienveillance, ce que nous avions dit de manière tragique, dans le moment
Voici un exemple tiré de ma vie personnelle, avec des mots adaptés au tempérament de mon fils et à son âge pour qu’il me comprenne bien.
-Henri? Puis-je te parler?
-Oui.
-Je voulais faire un retour sur ce qui s’est passé, tantôt. J’ai royalement pété un câble!
-Oui!
-Je n’étais pas en mesure de me calmer, dans le moment. Je suis reconnaissante que papa m’ait demandé de prendre une pause, parce que je disais ma colère d’une manière totalement inacceptable.
-Oui, j’ai eu de la peine.
-Tu as eu de la peine parce que tu croyais ce que je disais (montrant ma bouche)?
-Oui et non.
-Au cas où, je te rappelle que c’est ma colère qui a parlé et elle s’est exprimée de manière très tragique. Elle a accusé. Elle a blâmé. Elle a parlé de TOI. Au fond, ma colère voulait parler de MOI et de mes besoins. Dans ce moment, j’étais trop prise dans mon émotivité pour le faire. Maintenant, je suis calme.
-Oui, ça m’arrive. (silence) Tu sais, j’ai eu un peu peur.
-Oui, lorsque je suis dans cet état, tu sens que je ne suis pas à l’écoute de toi et tu ne sais pas à quoi t’attendre?
-Exactement.
-Je m’excuse. J’ai appris qu’il est préférable que j’en parle plus tôt, au lieu d’accumuler ma frustration et la décharger sur les autres. Je souhaite être responsable de ma colère et la dire avec respect.
Tu sais, personne, mais, personne n’a le droit de te brutaliser avec les mots ou avec des gestes. Pas moi. Pas toi. Pas un policier. Pas un enseignant. Personne.
-Oui.
-Me permets-tu de te redire avec respect ce que ma colère voulait dire tantôt?
-Oui, je veux bien comprendre.
-Au fond, ce que j’essayais de dire, c’est que j’ai besoin d’être considérée et rassurée. Lorsque je te demande de fermer l’ordinateur, tel que convenu et que tu ne le fais pas, la partie de moi qui a peur que tu brises notre 8e entente au sujet du temps d’écran est toute inquiète et énervée. Elle veut trouver une façon efficace pour nous de gérer l’écran, dans le respect de tous.
Que m’entends-tu dire?
-Que tu aimerais que je respecte notre entente.
-Oui, c’est ça.
-Je comprends, maman.
-Je veux te rappeler que je t’aime même lorsque je sens la colère monter en moi.
-Oui, je le sais, maman.
-Veux-tu ajouter quelque chose?
-Non. Ça va.
(Câlins)
http://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/parent-parfait.html#sthash.liTCqr3t.dpuf
Dans un documentaire intitulé "Le ventre, notre deuxième cerveau" diffusé il y a quelques mois sur Arte, la chaîne de TV faisait le point le point sur des recherches très récentes menées sur l'influence du ventre sur le cerveau.
Les parois de notre intestin sont tapissées de 200 millions de neurones
Ce réseau de neurones, réparti tout au long de notre tube digestif, joue un rôle dans la digestion bien sûr, mais il agit aussi sur notre cerveau par des voies que les chercheurs commencent à peine à identifier.
Cette interaction à distance peut notamment passer par des neurotransmetteurs, des petites molécules par l'intermédiaire desquelles les neurones communiquent entre eux. Par exemple, la sérotonine est un neurotransmetteur qui, au niveau des neurones de notre ventre, rythme le transit intestinal et régule le système immunitaire.
Mais les chercheurs ont découvert qu'une petite partie de cette sérotonine passe dans la circulation sanguine et remonte jusque dans notre tête. Et là elle va pouvoir agir sur les neurones de notre cerveau qui eux aussi se servent de la sérotonine comme messager mais pour d'autres tâches comme la régulation de nos émotions. Voilà comment les neurones du ventre s'invitent dans la gestion de nos émotions.
On savait depuis longtemps que nos états émotionnels pouvaient agir sur notre ventre et les scientifiques sont en train de découvrir que l'inverse est aussi vrai. Notre ventre peut influencer nos émotions.
Certaines maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson pourraient trouver leurs origines dans notre ventre. C'est une hypothèse sur laquelle travaillent des chercheurs à l'hôpital de Nantes. Ils ont déjà montré que la maladie de Parkinson engendre les mêmes lésions sur les neurones de l'intestin que sur ceux du cerveau. A l'avenir il pourrait donc devenir possible de diagnostiquer cette maladie avec une simple biopsie intestinale. Une intervention bien moins risquée qu'une biopsie du cerveau.
L'idée de se servir du ventre comme une fenêtre sur le cerveau gagne du terrain. Les chercheurs voudraient tester cette approche pour d'autres maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer.
Plus inattendu, notre cerveau serait aussi sous l'influence des bactéries qui peuplent notre tube digestif. Ces bactéries sont particulièrement nombreuses : 100.000 milliards. Elles constituent un véritable écosystème que les scientifiques appellent le microbiote. Il est différent pour chacun d'entre nous et nous est très utile : les bactéries qui le composent digèrent des aliments que nous ne pourrions pas digérer sans elles.
Un biologiste de l'Université McMaster au Canada, Stephen Collins a remarqué que des souris sans microbiote, c'est-à-dire ne portant en elles aucune bactérie se comportent de façon étrange. Elles prennent plus de risques et se mettent davantage en danger. Mais lorsque l'on introduit dans leur tube digestif une flore bactérienne, leur comportement change : elles deviennent plus prudentes.
Cela a conduit le chercheur canadien à mener une expérience encore plus surprenante. Il a choisi deux lignées de souris différentes : l'une présentant un comportement particulièrement actif et téméraire et l'autre beaucoup plus calme. Puis il a administré à chaque lignée le microbiote de l'autre.
Résultat : Les souris agitées, après avoir reçu les bactéries des souris calmes, se sont complètement assagies. Et inversement, les souris calmes sont devenues beaucoup plus agressives après avoir ingéré les bactéries des souris agitées.
Cette expérience démontre que, chez les souris, les bactéries présentes dans le tube digestif ont une influence importante sur le comportement et donc sur le cerveau.
http://www.franceinfo.fr/emission/info-sciences/2013-2014/l-influence-du-ventre-sur-le-cerveau-01-31-2014-12-55
« Finis ton poisson, ça rend intelligent ! ». Peut-on vraiment booster notre cerveau en mangeant intelligent? Teste-toi !
Le quizz des méninges…
- Un cerveau pèse en moyenne 2,1 kg, 1,4 kg ou moins d’un kilo ?
- Le poisson rend intelligent, vrai ou faux ?
- Notre cerveau aime le sucre ou les graisses ?
- Une carence en vitamines altère le fonctionnement du cerveau, vrai ou faux ?
- Le café, allié ou ennemi lorsque l’on veut plancher ?
Toutes les réponses dans cet article !
En quoi l’alimentation joue-t-elle un rôle sur notre cerveau ?
Un cerveau ne pèse pas lourd, en moyenne 1400 grammes soit 1,4 kg, mais consommerait à lui seul 20% de nos apports caloriques quotidiens… Pour autant, mieux manger peut-il nous « rendre intelligent » ? Malheureusement non, le poisson pas plus qu’un autre aliment ! Par contre, ce que l’on met dans notre assiette peut contribuer à stimuler et préserver nos capacités intellectuelles et notamment notre mémoire. Et ce, sans oublier de boire, notre cerveau est constitué à 80% d’eau. La déshydratation diminue nos performances intellectuelles et est d’ailleurs notamment à l’origine de maux de tête…
Les aliments préférés de nos méninges
Comme l’ensemble de notre corps, le cerveau a besoin de carburant pour pouvoir fonctionner correctement et notamment de glucides ou sucres, de lipides ou graisses. Les sucres lents ou glucides complexes sont particulièrement intéressants car ils nous fournissent de l’énergie progressivement. On en trouve dans les féculents, le pain (surtout complet ou aux céréales), les pâtes, le riz, les pommes de terres, mais aussi dans les légumes secs (lentilles par exemple) et la plupart des fruits. A l’inverse, les sucres rapides nous donnent un coup de fouet provisoire et illusoire. Une à deux heures après, le taux de sucre dans le sang chute or les variations de ce taux entraînent une baisse de nos performances intellectuelles. Le grignotage est à éviter aussi pour bachoter. En cas de coup de fatigue ou de fringale, mieux vaut opter pour un yaourt blanc ou un fruit qu’une sucrerie ou autre barre chocolatée.
Autre grand allié de notre cerveau, les omégas 3, ces fameuses bonnes graisses qui protègent notre cœur et notre cerveau. Les omégas 3 jouent un rôle dans l’entretien des cellules du cerveau et dans l’activité de nos neurones et amélioreraient nos capacités d’apprentissage. On trouve dans les poissons dits gras et dans les huiles de noix et de colza notamment. Si le poisson est bon pour notre cerveau c’est moins grâce au phosphore, comme on l’imagine, que grâce aux omégas 3. Enfin, les indispensables vitamines. Une carence en vitamines peut altérer le fonctionnement du cerveau. Parmi elles, les vitamines B9 des légumes verts et des fruits et B12 de la viande, le poisson et les oeufs sont particulièrement intéressantes. Mais les minéraux comme le magnésium ou le fer et bien d’autres sont également cruciaux. Plus d’une quarantaine de nutriments sont indispensables à notre cerveau, il n’y a pas d’aliment miracle !
Faire les bons choix
Du côté des boissons, lorsque l’on veut travailler de manière intense, on pense souvent au thé et au café. Ils sont certes des excitants bien connus mais, si l’on en abuse, on risque plutôt l’agitation que la concentration. Vraiment pas idéal quand on veut mémoriser ses cours… Prendre un petit déjeuner équilibré contribue à améliorer nos performances intellectuelles du matin et à éviter le coup de fatigue de 11h. Au déjeuner, éviter de manger trop gras, privilégier les protéines (poissons, viande, oeufs) et les légumes accompagnés d’un peu de glucides lents selon sa faim permet de limiter l’envie de faire une sieste… Le soir, ne sautez pas le diner et allez vous couchez ! La fatigue est le pire ennemi de notre cerveau qui continue à travailler même pendant que vous dormez. Enfin, pour lutter contre le stress, pensez au sport : les endorphines libérées pendant l’effort sont excellentes pour votre moral, pour votre sommeil et pour vous libérer des tensions. Cela fonctionne aussi bien voire mieux que le chocolat et surtout, vous n’avez pas à vous modérer !
De nombreux ouvrages sur l’alimentation à adopter pour booster nos performances intellectuelles ont été publiés. Le risque de toute liste d’aliments « bons pour » ceci ou cela est de pousser le consommateur à déséquilibrer son alimentation pour surconsommer de cet aliment au détriment des autres. Au point de créer des échanges très salés entre spécialistes… Ce qu’il faut vraiment retenir tient en quelques mots : les règles qui s’appliquent au cerveau sont celles qui valent pour tout notre organisme, une alimentation équilibrée et variée est la seule à même de nous apporter tout ce dont notre organisme a besoin, cerveau compris!
Moralité : il faut plutôt éduquer notre cerveau à reconnaître les aliments qui sont bons pour nous que de consommer des aliments dits bons pour le cerveau ! Les dernières études tendent d’ailleurs à montrer que notre cerveau sait ce qui est gras ou pas et ainsi bon ou pas pour nous…
http://www.bloob.fr/non-classe/manger-intelligent-suite-1883.html
1. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
2. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
3. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
4. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
8. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...