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Les hommes sont moins intelligents que les femmes : c’est la science qui le dit

Maths

Chaque année, le vénérable British Medical Journal (BMJ) publie, à l’occasion des fêtes, une sélection d’articles quelque peu facétieux. Sur la forme, ces publications arborent tout le sérieux et tous les attributs habituellement exigés par la revue de référence. Mais sur le fond, elles s’autorisent un petit pas de côté. Ces dernières années, le BMJ a ainsi proposé à ses lecteurs de s’intéresser à la transmission « génétique et épigénétique » des capacités de magicien, de comparer l’effet sur l’estomac du vin, du thé noir et du schnaps associés à la fondue savoyarde, ou encore de comprendre pourquoi on ne trouve que des magazines obsolètes dans les salles d’attente de médecins…

Cette année, le BMJ a décidé de frapper fort. Il consacre son titre principal de l’édition de Noël à une étude britannique qui se propose de démontrer la « différence des sexes dans les conduites stupides ». Pour ce faire, il a choisi comme échantillon l’ensemble des lauréats des Darwin Awards. Depuis vingt ans, ces prix décernés en Californie récompensent ceux qui « ont choisi d’améliorer le patrimoine génétique de l’espèce… en s’en extrayant définitivement ». Dit autrement, ils honorent les morts les plus bêtes.

Les Darwin sont exigeants. Les faits doivent pouvoir être vérifiés. Quant aux candidats, ils doivent être vraiment morts, ou en tout cas définitivement stérilisés ; avoir été responsables de leurs actes au moment des faits ; avoir eux-mêmes causé leurs propres déboires ; et avoir fait preuve d’un manque exceptionnel de sens commun… « Par exemple, le prix écarte les individus qui se tirent une balle dans la tête en voulant démontrer que leur arme n’est pas chargée, indique le BMJ. Trop fréquent, à classer dans la catégorie accident. En revanche, ceux qui se tirent une balle dans la tête en voulant démontrer que leur arme est chargée méritent la récompense, comme cet homme qui s’est tué avec son stylo espion en voulant montrer à un ami qu’il était vrai. »
L’imagination humaine mise au service de la bêtise

Le site des Darwin Awards offre ainsi un joli concentré de l’imagination humaine, mise au service de la bêtise. C’est cet habitant de Louisburg (Caroline du Nord), qui saute d’un avion pour filmer des parachutistes… en oubliant de porter lui-même un parachute ; ce Texan qui court après une canette de bière et se fait écraser par un camion ; ce braconnier polonais, qui pêchait à l’électricité et subit le même sort que ses proies après être tombé à l’eau. Mention spéciale pour Garry Hoy, notaire de 39 ans : il voulait démontrer à des étudiants la solidité des vitres d’un immeuble de Toronto, mais une d’elles n’a pas résisté à son coup d’épaule, il a chuté du 24e étage. Et prix du jury à cet apprenti terroriste, dont le site des Darwin ne précise pas la nationalité, tué par la lettre piégée qu’il avait lui-même envoyée mais qui lui avait été retournée, faute de timbre.

Si le prix se dit ouvert à tous « sans distinction de race, culture et niveau socio-économique », force est de constater que les hommes forment la grande majorité des lauréats. D’autant que le BMJ a choisi d’écarter les lauréates primées en compagnie de leurs compagnons – généralement des couples ayant expérimenté des positions trop audacieuses. Au final, sur les 318 lauréats retenus dans l’échantillon, il ne reste que 36 femmes. Messieurs, nous représentons donc, après vérification, 88,7 % des abrutis patentés.

Les quatre chercheurs britanniques signataires de l’article admettent que des biais peuvent s’être glissés dans leurs travaux. Le prix ayant été créé par une femme, le jury peut avoir manifesté des préférences pour la bêtise masculine. De même, l’idiotie des mâles apparaît souvent plus spectaculaire, plus « médiatique ». Toutefois, estiment les chercheurs, l’écart apparaît trop important pour être attribuée à ces seuls éventuels décalages méthodologiques.
Sélection naturelle

Plus sérieuse est l’influence de l’alcool. « La différence peut s’expliquer largement par le comportement des deux sexes face à l’alcool, poursuivent les chercheurs. Sous l’empire de la boisson, les hommes semblent développer un sentiment d’invincibilité particulier. » Ainsi ces trois amis, au Cambodge, qui avaient inventé une variante de la roulette russe : après chaque verre, ils sautaient, à tour de rôle, sur une vieille mine, pas encore désactivée. L’explosion de l’engin les a tués tous les trois.

Pour les signataires de l’étude, démonstration est ainsi faite de ce qu’ils nomment la Male idiot theory (MIT). Ces prises de risque inconsidérées peuvent être vues, selon eux, comme un rite de passage, une quête de reconnaissance des autres mâles ou simplement pour obtenir « le droit de se vanter ». Mais en bons adeptes de Darwin, ils se demandent si le phénomène ne relève pas de la sélection naturelle. Ces comportements stupides seraient finalement profitables… à ceux qui n’en sont pas les victimes.

Des études complémentaires sont encore nécessaires ? C’est certain, affirment les auteurs. Qui se félicitent de voir arriver la période des fêtes. Assurément, un terrain d’observation privilégié.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/12/15/les-hommes-sont-plus-idiots-que-les-femmes-c-est-la-science-qui-le-dit_4541014_1650684.html#O5PIfpUUWxbPO2T7.99

Le body language autour du monde, ne vous trompez pas !!

 

 
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Si vous vivez à l'étranger depuis assez longtemps, vous avez certainement quelques histoires amusantes (ou peut-être même pas si drôles et totalement gênantes) de mauvaise interprétation de certains indices non verbaux à votre égard. En effet, le langage corporel et les gestes ne sont pas perçus de la même manière à travers le monde. Dans certaines cultures, établir un contact visuel est considéré comme un signe de confiance et montre que l'on est intéressé par la conversation alors que dans d'autres, c'est carrément impoli. Alors essayons de déchiffrer le langage corporel à travers les cultures, d'accord ?

Contact visuel

Le contact visuel peut signifier une chose dans une partie du monde et une chose complètement différente dans une autre partie. Si vous venez d'Amérique ou d'Europe occidentale, vous savez probablement que le contact visuel est un signe de confiance et d'intérêt pour la personne à qui vous parlez ou, du moins, pour la conversation. Dans le contexte corporate, un contact visuel constant est un signe de fiabilité. Éviter de maintenir un contact visuel dans les pays d'Amérique du Nord et d'Europe occidentale n'est pas nécessairement impoli, mais peut certainement être perçu comme un manque de confiance et de volonté de participer.

En revanche, au Moyen-Orient, le contact visuel entre les membres du sexe opposé n'est pas approprié. Mais même parmi les membres du même sexe, maintenir un contact visuel très long est perçu comme un «défi à l'autorité». C'est également le cas dans les cultures asiatique, caribéenne et africaine. Il est particulièrement impoli de maintenir un contact visuel avec les membres âgés de la famille ou avec un supérieur au travail.

Proximité

Vous êtes-vous déjà rapproché de quelqu'un pour l'embrasser alors que lui/elle vous tendait la main ? Gênant, non ? Eh bien, au-delà des préférences personnelles concernant l'espace intime, il existe également des différences culturelles sur la pertinence de la proximité. Dans les cultures d'Amérique latine, les gens ont tendance à être très sensibles. Ils aiment les accolades.

En Amérique du Nord, la proximité avec les gens dépend de la façon dont vous les connaissez. Si vous rencontrez quelqu'un pour la première fois, vous lui ferez probablement un signe de tête, ou lui offrirez une poignée de main. Mais entre amis, les câlins sont courants, bien que la proximité pour le reste de l'interaction dépend de votre proximité avec la personne et de vos préférences personnelles.

En Espagne, en Italie et dans d'autres pays méditerranéens, la proximité physique est courante et acceptée. Vous étreignez ou embrassez certains pour les saluer, par exemple. D'un autre côté, dans des pays comme l'Angleterre ou l'Allemagne, la proximité physique dépend vraiment de votre relation avec la personne ainsi que de vos préférences personnelles.

Dans les pays du Moyen-Orient, la proximité physique, en particulier entre les membres du sexe opposé, est mal vue. C'est la même chose en Inde, au Bangladesh et au Sri Lanka. Même dans les pays d'Asie du Sud-Est, la proximité physique n'est pas très courante. Même les démonstrations d'affection en public ne sont pas très courantes et sont probablement jugées inappropriées même pour les couples mariés. Au Japon, par exemple, les gens ont tendance à rester à distance pendant une conversation.

La proximité physique est également rare dans les pays africains entre des personnes qui ne sont pas très proches. Il est inhabituel de voir des gens se serrer dans les bras ou être proche physiquement, bien que cela dépende du pays ou de la culture.

Gestes de la main

C’est une question intéressante. Selon l'endroit où nous avons grandi, nous avons probablement appris les gestes de la main et pensons qu'ils sont universels. Par exemple, les pouces vers le haut doivent signifier «Ok» partout, non? Eh bien, oui d'accord, cela pourrait être un geste assez universel, mais certains gestes de la main ne le sont pas. Le signe où l'index et le pouce forment un anneau tandis que les trois autres doigts pointent en haut signifie «Ok» en Amérique et dans de nombreux pays européens. Cependant, en France, cela signifie «rien», au Japon cela signifie «argent» et en Amérique latine, c'est un geste obscène.

Par contre, vous connaissez les doigts de corne? En Amérique, ils signifient «rock and roll» ! Mais dans les pays méditerranéens et latins, faire cela à quelqu'un l'alertera que son conjoint le trompe.

Le signe V est également perçu différemment dans différents pays ou cultures. En Amérique, cela signifie «paix» ou «victoire». Mais au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et en Australie, c'est un geste obscène!

Pourquoi pleure-t-on lorsque l'on est très heureux ?

Lorsqu'arrive un événement très heureux dans notre vie, beaucoup d'entre nous ne peuvent s'empêcher de verser quelques larmes. Et les situations sont très diverses, des parents qui voient leur enfant recevoir leur diplôme, un couple d'amoureux qui se retrouve après une absence prolongée ou encore des sportifs qui gagnent une rencontre. Mais pourquoi pleurons-nous là où nous devrions sourire ou rire ? Les larmes de joie auraient une explication scientifique.

Selon Oriana Aragon, pleurer après une émotion positive très forte permet de restaurer l'équilibre émotionnel. La scientifique et son équipe, issus de l'université de Yale, ont réalisé une expérience dont les résultats seront très prochainement publiés dans la revue Psychological Science.

Afin de vérifier cette hypothèse, l'équipe scientifique a demandé aux participants à l'étude de visionner une série de photos de bébés dont certains avaient des traits plus infantiles que d'autres (un visage plus rond et des yeux plus grands notamment). Leurs réactions ont ensuite été mesurées et mises en parallèle avec le degré d'infantilité des nourrissons.

Alors que les enfants qui paraissaient les plus infantiles ont suscité des réactions d'attention plus importantes, ils ont également provoqué des réactions « d'agression » plus grandes. Les participants ont en effet manifesté un besoin de les protéger et de s'en occuper, et dans le même temps de leur pincer les joues et de les « manger tout cru ».

Pour les chercheurs, ces situations de « dimorphisme d'expression », dans lesquelles un événement positif est accompagné d'une réaction émotionnelle négative permettrait de réguler les émotions positives très fortes et donc de retrouver un équilibre émotionnel plus rapidement. Et en effet, ils ont constaté que les personnes qui présentaient ce type d'expression montraient une diminution plus importante des émotions positives cinq minutes après avoir visionné les images.

A l'inverse, ce type de comportement pourrait également expliquer les situations où l'on « rit jaune », dans lesquelles un rire ou un sourire fait suite à une émotion négative.
Source : Aragón, O. R., Clark, M. S., Dyer, R. L., & Bargh, J. A. (in press) Dimorphous expressions of emotion: Evidence of concept in aggressive displays toward cute stimuli, Psychological Science.

 

http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-pleure-t-on-lorsque-l-on-est-tres-heureux

 

Enfants surdoués:le diagnostic

 

Ce qu’il faut retenir :

Sur le plan intellectuel : Etre surdoué ne signifie pas être quantitativement plus intelligent mais penser dans un système qualitativement différent. Ce sont les formes spécifiques de son intelligence qui distinguent le surdoué. Etre surdoué ne signifie pas être seulement plus intelligent que les autres mais fonctionner avec un mode de pensée et une structure de raisonnement singuliers. C’est cette particularité qui rend parfois difficile son adaptation scolaire mais aussi son adaptation sociale.

Sur le plan affectif :

Etre surdoué c’est aussi et peut-être surtout, présenter des particularités dans la construction psychologique: grandir avec une hypersensibilité, une affectivité envahissante, qui marquent la personnalité. Le diagnostic de surdoué ne peut se résumer au chiffre réducteur de QI. Aider et accompagner l'enfant dans son développement c'est comprendre l'ensemble de son fonctionnement sur les plans intellectuel et affectif et resituer l'efficience intellectuelle dans une dynamique globale.

Et puis, s'il était utile d'insister, n'oublions jamais qu'un enfant surdoué est d'abord un enfant. Même si tous les enfants surdoués présentent des caractéristiques communes qu'il faut savoir repérer et distinguer pour apporter une aide adaptée, l'enfant a son histoire personnelle, il appartient à une dynamique familiale, sociale, qui est la sienne.

La démarche diagnostique :

Poser un diagnostic est une démarche clinique complexe. Elle s’appuie à la fois sur l’observation de l’enfant, sur l’analyse de la situation actuelle et passée, sur la compréhension de l’histoire familiale et de l’histoire de l’enfant.

Le bilan psychologique complète et enrichit la démarche à l’aide d’une exploration attentive du fonctionnement intellectuel et cognitif et de l’intrication avec la sphère affective de la personnalité. Il s’agit toujours de resituer l’enfant dans une perspective globale et dynamique.

Sur un plan psychométrique :

on parle de surdoué lorsqu’un QI (Quotient Intellectuel) global de 130 ou plus est obtenu sur une échelle d’efficience intellectuelle. En France, comme dans le monde, les échelles les plus utilisées sont les échelles de Wechsler. Il en existe trois versions WPPSI pour les moins de 6 ans, WISC jusqu’à 16 ans, WAIS pour les adultes. (pour plus de précisions sur ces tests vous pouvez vous reporter à la rubrique Bilan Psychologique du site). A souligner: la dernière version du WISC (WISC IV) et de la WAIS (WAIS IV) ne présente pas les mêmes profils que les versions précédentes. Son interprétation doit impérativement être approfondie et s’appuyer sur l’ensemble des indices tant cognitifs que cliniques afin d’éviter toute erreur diagnostique.

Prudence : Un QI N’EST PAS un diagnostic. C’est un indice qui oriente le diagnostic. Le score n’a pas de valeur en soi. Une donnée chiffrée ne suffit JAMAIS. Un diagnostic de surdoué ne peut être posé qu’avec l’appui des éléments cliniques et les données de bilans complémentaires. C’est un diagnostic global.

 

http://www.cogitoz.com/PI.aspx?PLinkId=28&PT=100

 

Les stratégies d'enseignement et d'apprentissage

Enseignement

Les stratégies font référence à un ensemble d'actions ou de moyens observables et non observables (comportements, pensées, techniques, tactiques) employés par un individu avec une intention particulière et ajustés en fonction des variables d'une situation. Telle est la définition des stratégies que suggère l'auteure, stratégies dont elle propose l'enseignement à tous les élèves, tout particulièrement aux élèves en difficulté.

Ces stratégies d'enseignement et d'apprentissage sont placées à titre de suggestions. Elles ne conviennent pas forcément à toutes les matières ni à toutes les personnalités.
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Liste et definitions

Les activités dirigées de lecture et de réflexion : Une activité dirigée de lecture et de réflexion est un processus qui  permet
                                                                              aux élèves d'établir des objectifs et de faire des prévisions à propos des
                                                                              textes qu'ils lisent.

L'apprentissage coopératif :  L'apprentissage en petits groupes est une façon d'organiser les expériences du programme
                                              d'études afin d'assurer la participation des élèves et l'interdépendance des tâches
                                              d'apprentissage.
                                              Les élèves ont besoin de l'orientation et de l'appui de l'enseignante ou de l'enseignant afin
                                              d'apprendre comment travailler en collaboration, de façon efficace et organisée.

L'apprentissage expérientiel : Il est centré sur l'élève. L'apprentissage expérientiel vise le processu autant que le produit. Il
                                                favorise l'objectivation et implique la réflexion personnelle sur une expérience à l'intérieur ou
                                                à l'extérieur de la salle de classe. Cet apprentissage fait appel à des activités réelles résultant
                                                dans un apprentissage inductif qui peut s'appliquer dans d'autres contextes.

                                            Exemples: - excursions                                 - expériences                          - jeux
                                                             - constructions                             - jeux de rôles                        - sondages
                                                             - observations sur le champ           - simulation                            - maquettes
                                                             - visualisation

Le calcul mental : Le calcul mental est un processus ou une activité qui permet aux élèves d'effecteur mentalement une série d'opérations.

La cartographie : Une cartographie est une représentation de données physiques,  démographiques ou numériques sous forme visuelle.

Le casse-tête (jigsaw)* : L'objectif de cette méthode d'apprentissage coopératif est de permettre aux élèves d'acquérir des
                                      perspectives et des points de vue variés en participant à des groupes spéciaux, en mettant en
                                      commun et en intégrant les connaissances acquises au sein d'un groupe.

Les centres d'apprentissage :  Les centres d'apprentissage décrivent des lieux désignés dans lesquels des activités
                                                d'apprentissage ont lieu afin de favoriser les choix, les réflexions et les interactions avec les
                                                autres élèves.

Le classement :  Le classement est une forme de réflexion inductive dans laquelle les critères établis ou proposés par les
                           élèves permettent de classer et de désigner des groupes.

Le compte rendu de lecture :  Le compte rendu de lecture décrit les rapports réfléchis et personnels que les élèves ont avec
                                                des idées, des émotions,le langage et les expériences qui se rapportent à un texte littéraire.

La conférence :  La conférence en équipe de deux permet de discuter d'idées et de problèmes variés en paires ou en petits
                           groupes; elle peut être réalisée de diverses façons avec l'enseignante ou l'enseignant,les autres élèves ou les parents.

La conférencière / le conférencier :  Une personne spécialiste de l'extérieur de l'école est invitée à venir présenter des
                                                          idées, des points de vue différents, des opinions et des expériences concrètes, et à
                                                          répondre aux questions posées par les élèves.

Le contrat d'apprentissage : Un contrat d'apprentissage est un plan d'activités négociées entre l'enseignante ou l'enseignant
                                             et les élèves et qui vise à répondre aux besoins et aux intérêts d'un ou d'une élève ou d'un petit
                                             groupe d'élèves.
                                             Par exemple, un contrat d'apprentissage peut résumer, élargir ou modifier les attentes du
                                             programme, ou modifier le cadre et les attentes sur le plan de l' apprentissage.

La définition de problèmes : La définition de problèmes est une composante de la résolution de problèmes qui permet aux
                                              élèves et à l'enseignante ou à l'enseignant non seulement de résoudre des problèmes,
                                              mais également d'appliquer leur créativité en leur esprit critique à l' élaboration de nouveaux
                                              problèmes qui stimulent la réflexion des autres élèves.

Les devoirs:  Les devoirs sont des travaux qui sont réalisés par les élèves en dehors de la classe, généralement pour leur
                     permettre de revoir ou terminer les travaux donnés en classe.

Les discussions : Les discussions sont des échanges structurés qui permettent aux élèves d'explorer des sujets de réflexion,
                           de réagir à des idées, de traiter des informations et d'articuler leurs rt1exions dans des échanges verbaux
                           avec les enseignantes et enseignants et les autres élèves.

Les discussions à deux:  Les élèves réflchissent seuls, pendant un certain temps, à une question posée par l'enseignante ou
                                       l'enseignant, puis se regroupent par deux afin d'échanger leurs idées. Ils présentent ensuite
                                       une réponse commune à la classe.

L' écriture dirigée:  L' écriture dirigée est une méthode qui permet d'orienter les réflexions des élèves par le biais d'expriences
                               de rédaction qui favorisent leur compréhension des procédés, des objectifs et des formes.

L'enquête:  L'enquête est une méthode qui permet de faire des apprentissages, de poser des questions et de résoudre des
                   problèmes lors d'activités en classe, ou d'effectuer une recherche à propos d'un sujet, d'une question, d'un
                   phénomène ou d' une idée.

L'enseignement assisté par ordinateur : L'enseignement assisté par ordinateur donne l'occasion aux élèves d'utiliser
                                                                un ordinateur afin d'acqurir de nouvelles connaissances ou d'approfondir la matière
                                                                qu'ils ont déjà étudiée.

L'enseignement dirigé: L'enseignante ou l'enseignant fournit de l'infornmation aux apprenantes et aux apprenants par:
                                     - un survol structuré de la matière
                                     - un enseignement livresque
                                     - des démonstrations
                                     - de comparaisons et des contrastes
                                     - des questions didactiques
                                     - des guides pour lire, écouter, visionner
                                     - des exercices et applications

L'enseigement par les pairs : Les élèves ou des groupes d' élèves qui ont acquis des comptences ou des connaissances
                                               dans un domaine particulier enseignent ce qu'ils ont appris aux autres élèves.

L'enseignement semi-dirigé: Il est centré sur l'élève la plupart du temps. L'élève s'implique activement en observant, en
                                              effectuant de la recherche, en formulant des hypothèses et en tirant des conclusions.
                                          Exemples: - la résolution de problèmes
                                                             - l'étude de cas
                                                             - la lecture pour comprendre
                                                             - la discussion et la réflexion
                                                             - la carte d'exploration
                                                             - les exercices de closure
                                                             - la recherche

L'entrevue :  Une entrevue est une conversation ou un dialogue qui favorise la collecte des données ou de points de vue
                     nouveaux auprès de la personne interviewée.

L' étude de cas:  Un problême concret est choisi et étudié par les élèves. L' étude de cas peut être réalisée à partir d'un
                           problème réel ou simulé.
                           L'étude de cas fait souvent appel un jeu de rôle qui permet aux élèves de comprendre clairement le problème
                           et de déterminer des solutions possibles.

Les études indépendantes : Les études indépendantes permettent aux élèves, sous la direction de l'enseignante ou
                                             l'enseignant, d'apprendre à organiser et explorer en détail, de façon indépendante, un
                                             domaine d'intérêt ou à approfondir leur apprentissage.

Les exercices en petits groupes : Les élèves font des exercices et des révisions à deux ou en petits groupes, afin de
                                                     consolider leurs connaissances ou d'approfondir leurs aptitudes.

Les explications orales : Les explications orales représentent une méthode qui permet aux élèves de justifier leur
                                       raisonnement en communiquant oralement.

L'exposé : L'exposé est une présentation orale de l'information au cours de laquelle l'élève doit prendre des notes.

La générale, la répétition, la pratique : La générale,la répétition ou la pratique est une technique qui pour s'exercer à
                                                               plusieurs reprises afin de mémoriser des faits, des rôles, des modèles,
                                                               des compétences, des méthodes ou des stratégies qui doivent être activés
                                                               instantanément et appliqués afin d'approfondir certains apprentissages ou de faire
                                                               la démonstration des connaissances acquises.

Le graphique : Le graphique est un outil visuel pour régler un problème. II fait appel à une description et à une interprétation du
                        monde à l' aide de nombres ainsi qu' à la représentation de ces notions sous forme visuelle.

L'improvisation : L'improvisation est un procédé qui aide les élèves à réaliser des expériences et à faire des créations dans le
                           cadre de structures prévisibles.

Les indices : Les indices sont des mots, des phrases ou des énoncés pour orienter ou susciter la réflexion.

Le jeu de rôle:  Le jeu de rôle permet aux élèves et à I'enseignante ou à l'enseignant d'explorer les pensées et les émotions
                         d'une autre personne en se comportant, dans un contexte dramatique, comme le ferait cette personne.

Le journal des apprentissages : Les élèves indiquent par écrit le processus et le contenu de leurs apprentissages dans un
                                                   journal personnel.

Le journal réponse : Le journal réponse est une forme d'écriture qui permet aux élèves d' établir des liens réfléchis avec les
                                 textes littéraires ou autres, à l'aide d'explorations, d' analyses, de questions, de réflexions ou
                                 d'interprétations, ce qui leur fait connaître de nouveaux points de vue et enrichit leur appréciation ou
                                 leur compréhension.

La lecture à haute voix : La lecture à haute voix donne l'occasion à l'enseignante ou à l'enseignant et aux élèves de lire des
                                        textes, des récits ou des poèmes afin de réaliser des apprentissages variés.

La lecture assistée : La lecture assiste permet aux élèves de lire un texte en compagnie d'une personne d'expérience.

La lecture autonome : La lecture autonome donne aux élèves le temps nécessaire pour lire des textes de leur choix de façon  régulière.

La lecture dirigée : La lecture dirigée est une méthode qui permet à l'enseignante ou l'enseignant de soutenir l'apprentissage
                               des élèves et d'appliquer des techniques de lecture par le biais d' interactions à propos des idées et des
                               informations contenues dans le matériel de lecture, et de leur interprétation.

La lecture dramatique : La lecture dramatique est une technique pour représenter concrètement une narration tirée d' un
                                      roman, d'un récit, d'un livre d'illustrations ou d'un poème.

La lecture en choeur : La lecture en choeur donne à un groupe l'occasion de réaliser la présentation orale d'un texte,
                                    généralement un poème, après l'avoir répété.

La lecture individuelle : La lecture individuelle est une composante du programme de lecture qui permet aux élèves de faire
                                       des lecture et des apprentissages à partir de textes choisis en fonction de leur intérêt dans un
                                       ensemble de textes sélectionnés au préalable par l'enseignante ou l'enseignant ou par le ou la bibliothécaire.

Les marionnettes : Les marionnettes sont manipulées par les élèves, ou l'enseignante ou l'enseignant, afin d'analyser un
                              récit, un personnage, une question ou une information.

La mémorisation : La mémorisation est un exercice mental, oral ou écrit qui permet le rappel rapide de données afin de
                              les traiter ou de les transformer à d'autres contextes.

Le modèle : La fabrication d'un modèle permet de reproduire des systèmes réels ou imaginaires, des objets, des idées, des
                    technologies, des événements, des contextes, des animaux, des phénomènes.

La narration : La narration permet de raconter une histoire plutôt que de la lire à haute voix.

La numérotation : La numérotation est une méthode pour approfondir les connaissances ou les compétences des élèves. Les
                             élèves sont répartis en petits groupes (généralement de quatre) et chaque élève reçoit un numéro.
                             L'enseignante ou l'enseignant pose un problème (par  ex : chaque groupe doit effectuer une recherche
                             documentaire sur l'utilisation des guillemets) et indique une période limite de temps. Les élèves travaillent
                             ensemble afin de répondre à la question et s'assurent que chaque membre du groupe comprend la réponse.
                             L'enseignante ou l'enseignant annonce un nombre et l'élève correspondant dans chaque groupe donne sa réponse.

Les objets à manipuler : Les objets à manipuler donnent aux élèves l'occasion de travailler avec du matériel qui fait appel
                                       à leurs sens et qu'ils peuvent toucher, déplacer et réorganiser.

La participation communautaire  : La participation communautaire permet aux élèves d'établir des liens de collaboration
                                                       avec la collectivité. Cette collaboration prend la forme d'une vaste gamme d'activités,
                                                       de réalisations et d'expériences d'apprentissage scolaire.

Les procédés mnémotechniques : Les procédés mnémotechniques sont des indices qui favorisent le rappel de certaines
                                                      données qui ont été mémorisées.

La psalmodie :  La psalmodie est une méthode d'exploration des groupes de mots en les lisant de façon rythmique.

La rédaction-apprentissage : La rédaction-apprentissage est un procédé pour acquérir de nouvelles connaissances par
                                              le biais de l'écriture.

 La rédaction d'un journal personnel : La rédaction d'un journal personnel favorise l'expression des idées, des expériences,
                                                             des questions, des réflexions et des connaissances personnelles ainsi que des
                                                             nouveaux apprentissages, de façon régulière.

 La recherche : La recherche est une méthode d'enquête qui permet aux élèves de réunir choisir, organiser et présenter de
                         l'information afin d'approfondir leurs connaissances et leur capacité à effectuer de nouveaux apprentissages.

La réflexion à haute voix : La réflexion à haute voix est un exercice qui permet à l'enseignante ou  à l'enseignant et aux
                                           élèves de verbaliser un processus ou une méthode pendant son application.

Le remue-méninges : Le remue-méninges est une technique de recherche des idées. Les élèves élaborent une liste
                                   d'exemples, d'idées ou de questions afin d'illustrer, d'approfondir ou d'explorer une idée centrale ou un sujet.

La simulation : La simulation est une reproduction de la réalité dans laquelle les élèves réagissent comme si la situation était réelle.

Le tableau : Un tableau est créé par un groupe de personnes silencieuses et immobiles qui reproduisent une scène.

Le test de closure : Le test de closure consiste à indiquer les phrases ou les mots manquants dans un texte. Le test
                               de closure favorise l'écoute et la compréhension de lecture.

Le théâtre-forum : Présentation d'un problème sous une forme non résolue devant un auditoire invité à proposer et appliquer
                             des solutions.
                             Un certain nombre de solutions sont appliquées lors de chaque séance, ce qui permet de mettre en
                             commun les connaissances, les méthodes et l'expérience.

Le tour de table :  Dans un tour de table, les élèves, en petits groupes, ont des échanges structurés avec chaque élève, qui
   

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