"Quand j’étais petit, je croyais naïvement que pour réussir sa vie, il fallait bien travailler à l’école.
Après tout, la réussite scolaire mène aux meilleurs diplômes. Les meilleurs diplômes mènent aux meilleurs emplois. Les meilleurs emplois mènent aux meilleurs salaires. Et l’argent fait le bonheur
Puis j’ai cessé de croire au Père Noël, le choc !"
Vos études sont trop difficiles? Vous en avez marre de vos échecs? Faites comme Thomas Edison !
Cris, pleurs, découragement, questionnement sur sa motivation de continuer, envie d’abandonner, ras-le-bol, dégoût…voilà le petit lot quotidien de nombreux étudiants, en cette période de résultats de fin d’année. Eh oui, ça doit avoir été énorme par exemple à l’annonce des résultats du BAC.
Découragement
À tous ces étudiants au bord de l’abandon, tous ces parents, ces étudiants pour qui l’été a été « pourri » dès l’annonce des résultats de fin d’année, nous avons un message, un conseil pour vous. Nous adressons plus spécialement à ceux qui n’échouent pas pour la première fois, et qui en ont presque marre déjà, marre d’échouer et marre d’essayer. Alors, vous vous sentez fatigué, vous vous dites dépassé, découragé, lassé d’essayer? Vous avez échoué une fois, deux fois, trois fois,…et vous en avez vraiment marre? Vous en avez marre de toujours avoir cette mauvaise note en maths, en physique, en littérature? On a rendu les résultats de fin d’année et voilà, vous es encore à côté de la plaque? Vous pensez avoir déjà tout tenté, tout fait, et vous êtes sur le point d’abandonner?
Thomas Edison
Ok. Alors, pensez-vous avoir tout donné ? Combien de fois pensez-vous l’avoir déjà fait? Combien de fois à peu près avez-vous essayé? Maintenant, comparez ce chiffre au nombre de fois où le très connu Thomas Edison a dû répéter ses expériences toutes ratées, pour pouvoir aboutir à sa grande invention: la première ampoule électrique.
Savez-vous combien de fois il l’a fait? C’était dix mille fois. DIX MILLE. 10 000 expériences réalisées nuits comme jours, 10 000 tentatives toutes vouées à l’échec, et sans jamais se décourager, pourtant rien n’aboutissait. Dix mille essais, dix mille recommencements, dix mille répétitions, 10 000 fois l’échec. Réalisez-vous combien de fois valent DIX MILLE? Dix mille c’est 1000 fois, 10 fois ! Dix milles c’est cent fois, cent fois ! C’est énorme non ?! Et pourtant IL A CONTINUÉ, IL A ESSAYÉ, RESSAYÉ, encore, encore et encore, sans se décourager, sans JAMAIS ABANDONNER.
Résultat: malgré la souffrance, l’épuisement, l’impatience, l’envie de tout laisser tomber, et tout ce qu’il a enduré, il a fini par inventer l’ampoule électrique qui se retrouve aujourd’hui dans l’éclairage de tous les grands stades et grandes métropoles du monde, tous les hôtels, palais, immeubles et gratte-ciels, toutes les rues, toutes les avenues, et se retrouve jusque dans l’éclairage votre maison, votre lieu de travail, votre laboratoire, même ce lieu duquel vous êtes en ce moment en train de lire cet article, tous vos lieux d’étude, tous vos lieux de travail…disons, partout. Thomas Edison est à jamais rentré dans l’histoire de la science, il a marqué son temps, il a marqué l’histoire, et il est inoubliable !
Rien n’est joué
Vous aussi, même si vous vous dites que vous n’êtes pas un futur Thomas Edison, même si vous vous croyez tout petit et même « incapable », même si vos échecs dans vos études vous font vous sentir « nul », rien n’est encore joué, rien n’est fini. Même si vos mauvaises notes vous découragent et vous donnent l’envie d’abandonner, n’abandonnez pas, recommencez. Sachez que vous aussi vous avez un bel avenir qui vous attend, même si vous n’y croyez pas, pourvu que vous fassiez ce qu’il faut pour y arriver. Vous avez le pouvoir de faire que cet avenir soit le plus beau de tous, rien qu’en continuant de travailler.
« Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi. ». Olivier Lockert
Le sentiment de découragement est normal
Beaucoup d’étudiants rencontrent de grosses difficultés dans leur parcours, et il est tout à fait normal que vous vous sentiez découragé du fait que vous n’obtenez pas les notes que vous désirez. Cela veut simplement dire que vous avez encore des choses à améliorer dans votre manière de travailler, et puis si vous parvenez à améliorer ces choses, vous verrez le grand changement positif dans vos résultats. Peu importe ce que vous faites comme études, peu importe leur importance et leur portée, peu importe ce que vous attendez, peu importe les difficultés que vous rencontrez, peu importe les mauvaises notes que vous obtenez, peu importe les moqueries des autres personnes, peu importe la fatigue que vous ressentez en ce moment, peu importe le découragement qui essaye de vous envahir, peu importe, peu importe…, faites comme Thomas Edison…n’abandonnez pas.
Faites comme Thomas Edison !
On ne sait jamais à quelle étape se trouve notre succès, et on ne sait jamais à quel tournant il nous attend. Peut-être qu’il nous attend dans deux jours, peut-être ce soir même, peut-être dans une semaine, peut-être dans un mois, dans un an,…personne ne sait. Alors, si vous abandonnez aujourd’hui alors que votre succès vous attendait demain matin, voyez-vous combien vous aurez perdu? Vous aurez passé tout ce temps à le chercher, à le chercher, à le fouiller, à vous battre, pour ensuite abandonner, si proche du but. Personne ne sait quand arrivera le succès, et, comme l’a dit Olivier Lockert « Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi ». Faites comme Thomas Edison. Essayez, réessayez, réessayez encore, encore et encore, faites-le dix fois, cent fois, mille fois, dix mille fois, faites-le, encore, encore et encore, comme Thomas Edison. Il n’y a qu’une seule possibilité et un seul résultat pour vous à la fin: LE SUCCÈS. Il y a rien à faire: tôt ou tard, vous réussirez. Souvenez-vous que seuls les faibles abandonnent, et vous n’êtes pas faible ! Vous, vous n’es pas un faible, même si vous le croyez, ou même si on vous le fait croire. Alors, NEVER GIVE UP !
Pour finir: Relisez ce texte autant de fois que nécessaire. Relisez-le jusqu’à ce que ses lignes s’impriment dans votre cerveau, et rappelez-vous de lui dans toutes vos difficultés et toutes vos épreuves. Vos résultats de fin d’année ne sont pas bons, mais cela ne veut en rien dire que tout est fini pour vous. Au contraire, c’est l’occasion de vous asseoir, faire le bilan, vous réarmer d’énergie et d’envie, et avancer encore…vers le sommet où votre succès vous attend ! Ne vous préoccupez pas des autres, ne regardez pas ce qu’ils font ou ce qu’ils ont, mais focalisez-vous sur vos forces, vos points faibles (à améliorer), vos points forts (à utiliser), et foncez tout droit vers votre succès…qui vous attend !
http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/face-aux-difficultes-des-etudes-comment-reagir/
L’apathie caractérise l’état d’une personne qui n’éprouve aucune motivation, aucun intérêt, aucune passion. Jadis employée pour qualifier l’attitude des soldats au retour de la Première Guerre mondiale, ces derniers ayant perdu l’intérêt pour la vie civile, l’apathie se manifeste en cas de dépression, de schizophrénie ou de problèmes neuronaux comme l’hypothyroïdie (insuffisance hormonale de la thyroïde).
Prendre des décisions, accomplir des actes pourtant planifiés devient difficile pour ceux qui sont atteints d’aboulie. Une personnalité aboulique a la volonté d’accomplir des actions, mais elle est dans l’incapacité physique de le faire. Ce trouble peut provenir de maladies comme la narcolepsie, la fatigue chronique ou encore le syndrome d’épuisement professionnel (burn-out).
Les chercheurs ont identifié depuis longtemps le rôle de ce neurotransmetteur : la libération massive de la dopamine après un effort permettrait de comprendre la motivation à court terme. Mais comment expliquer les projets de longue haleine, récompensés plusieurs mois, voire plusieurs années après leur lancement (régime, projet professionnel ou familial) ? Une étude réalisée par des biologistes américains montre que la dopamine est présente dans le corps tout au long d’un effort, en moindre quantité cependant. On anticiperait la récompense à venir en libérant un peu de substance, ce qui permet d’entretenir la motivation. Du moins, c’est ce que révèle l’expérience de Mark W. Howe et de ses collègues, réalisée sur des rats.
Une fatigue ponctuelle peut entraver la capacité à rester concentré et faire perdre toute motivation. Mais la fatigue peut être plus qu’un état temporaire. Les personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique (SFC) éprouvent une sensation d’épuisement qui ne disparaît pas, malgré le repos. Elles doivent réduire leurs activités à cause de troubles de la mémoire, de malaises physiques ou encore de douleurs musculaires et articulaires. Confondue pendant longtemps avec la dépression, la fatigue chronique provoque un état d’abattement et une perte de motivation d’autant plus forte qu’elle est peu reconnue socialement. Pour la traiter, certains prônent la thérapie comportementale, tandis que d’autres, comme les associations, préconisent d’adapter son mode de vie à l’état de fatigue ressenti.
La « fatigue d’être soi » : le sociologue Alain Ehrenberg qualifie ainsi la dépression. Elle se caractérise par un changement durable d’humeur (plus d’une quinzaine de jours) provoquant une perte de motivation, une grande lassitude, un manque d’envie généralisé. La dépression ne doit pas être confondue avec la déprime, passagère. Les facteurs psychologiques, comme une perte de confiance en soi, côtoient les interprétations biologiques (perturbation des neurotransmetteurs) et les causes sociales, pour comprendre cette maladie qui touche tout de même près d’un Français sur cinq au cours de sa vie ! Selon A. Ehrenberg, la dépression résulte de la concurrence exacerbée entre les individus. Notre société inciterait à être toujours plus performant au travail, à l’école, en famille, et même dans les loisirs. Chacun d’entre nous devrait sans cesse affirmer sa personnalité à travers ses activités, de manière à montrer le meilleur de soi. La dépression résulterait de cet excès de responsabilité.
L’hyperactivité est une « pathologie de la motivation », selon le neurologue Michel Habib. Découvert dans les années 1990, ce que l’on nomme dans le milieu médical « trouble de l’attention, avec ou sans hyperactivité » (TDAH) concerne environ 5 % de la population. Il se manifeste par une agitation motrice, des difficultés à rester concentré sur une tâche ou encore la perception de stimuli perturbateurs et le besoin d’y répondre, ce qui génère une dispersion quasi permanente. Le trouble concerne plus souvent les garçons (9 %) que les filles (3 %). Dans une classe de niveau primaire, on estime qu’au moins un enfant est atteint. L’avancée en âge ne suffit pas toujours à soigner : les enfants hyperactifs peuvent le rester à l’âge adulte.
« Le TDAH ne devrait plus être considéré comme un défaut des systèmes d’inhibition, mais comme un débordement de ces derniers, par une activité excessive et anarchique, provenant des systèmes de récompense », explique M. Habib. L’enfant ou l’adulte TDAH s’emballe rapidement, stimulé par la libération de dopamine. Il produit une activité riche et effervescente, mais désordonnée, par excès de motivation. Si l’on sait diagnostiquer ce trouble grâce à des questionnaires administrés par des neuropsychologues, le traitement fait encore débat : faut-il prescrire des substances médicamenteuses ou privilégier la rééducation ? Un peu des deux certainement…
• La Fatigue d’être soi.
Dépression et société
Alain Ehrenberg, Odile Jacob, 1998.
• « Apathie, aboulie, athymhormie : vers une neurologie de la motivation humaine »
Michel Habib, Revue de neuropsychologie, vol. VIII, n° 4, 1998.
• « Le cerveau de l’hyperactif : entre cognition et comportement »
Michel Habib, Développements, n° 9, 2011/3.
• « Prolonged dopamine signalling
in striatum signals proximity and value of distant rewards »
Mark W. Howe et al., Nature, vol. D, n° 7464, 29 août 2013.
• « La dépression. En savoir plus pour en sortir »Inpes, 2007.
www.tdah-adulte.org
www.asso-sfc.org
http://www.scienceshumaines.com/les-troubles-de-la-motivation_fr_33999.html
Bien qu'il n'existe pas de politique officielle quant à la place que devraient occuper les parents à l'école, Josée Bouchard soutient que l'implication des parents est toujours favorable. Est-elle toujours bienvenue? «La plupart du temps, oui, affirme-t-elle. Mais c'est vrai aussi que certains enseignants sont peu coopératifs.» Mélanie atteste: «Oui, il y a des profs qui évitent le plus possible les contacts avec les parents.» Entre autres, parce qu'ils craignent que ces derniers ne prennent trop de place et ne s'ingèrent dans leur travail. Ce qui, en retour, peut causer des frictions avec les parents qui souhaiteraient plus de transparence.
Cela dit, bon nombre d'enseignants ne sont pas réfractaires à l'implication des parents. Au contraire. Surtout si cette implication se traduit par une présence positive et un travail de collaboration. «Mon approche avec les enseignants a toujours été de dire: "Je veux aider mon enfant. Qu'est-ce que je peux faire?", explique Nadine. Les profs sont réceptifs quand on les approche avec respect, pas en leur disant quoi faire ou en les critiquant.»
Bien sûr, tous les parents veulent aider leurs enfants et contribuer à leur succès scolaire, mais les moyens d'y parvenir peuvent être bien différents. Certains ont tendance à surveiller leur progéniture de près (trop?). «Par exemple, il y a des parents qui remettent en question un devoir ou une conséquence qu'a reçue leur enfant, illustre Anne-Marie Quesnel. Or, en faisant cela, je trouve qu'on déresponsabilise l'enfant.»
Les bouleversements qu'a subis la famille ces dernières années (familles peu nombreuses, éclatées, reconstituées, monoparentales, etc.) expliquent sans doute, en partie du moins, cette volonté de défendre nos enfants, peut-être parfois plus qu'il ne serait nécessaire. Évidemment - et heureusement! -, la plupart des parents le font sans montrer les dents! «Mais à vouloir éviter à notre enfant d'affronter les petites injustices qu'il peut vivre à l'école, les conséquences de ses gestes et les difficultés qu'il peut rencontrer, on renforce son lien de dépendance envers nous et on ne favorise pas son autonomie», explique Marie-Claude Béliveau. Comme lorsqu'un parent se fait un point d'honneur de s'asseoir avec son enfant chaque soir pour faire ses devoirs avec lui. «Certains parents valorisent leurs compétences parentales en entrant dans une sorte de compétition avec les professeurs, remarque la pédopsychologue. Si notre enfant nous demande de l'aide, on peut bien sûr l'aider, mais on ne fait pas ses devoirs à sa place.» Éducateurs, accompagnateurs, les parents marchent bien souvent sur une frontière bien mince entre leur rôle et celui des professeurs. «Même si c'est plus facile à dire qu'à faire, l'idéal est de préserver une juste distance avec l'école, dit Marie-Claude Béliveau. Collaborer, oui, mais sans trop se mêler de l'aspect pédagogique.»
Le mot magique? Collaboration. «La collaboration entre parents et enseignants est essentielle, insiste Gaston Rioux. Les parents peuvent amener leurs idées, participer lors des rencontres prévues à l'agenda scolaire en posant des questions, en s'informant du projet éducatif de l'école, etc.» Cependant, il reconnaît qu'il est parfois difficile de convaincre les parents de l'importance de s'impliquer à l'école, convenant d'un même élan que, dans notre société au rythme effréné où bien souvent les deux parents travaillent, il n'est pas toujours facile de se libérer comme on le voudrait.
Il faut aussi que la direction et les enseignants soient ouverts à cette participation des parents. «Les profs doivent avoir conscience de l'importance d'impliquer les parents, que ça fait partie de leur rôle», souligne Rollande Deslandes. Un rôle déjà bien chargé, surtout que, depuis quelques années, les enseignants doivent superviser des classes nombreuses où les enfants avec diverses problématiques sont désormais accueillis.
Reste que plusieurs parents interrogés conviennent des avantages qu'il y a à s'impliquer. «Même quand ça va bien, on assiste aux rencontres avec les professeurs, raconte Brigitte. Et je me suis aussi souvent impliquée dans les sorties parascolaires. Ça aide à développer de bonnes relations avec les enseignants et à faciliter les discussions.»
Ainsi, si un problème surgit, l'idéal est de ne pas attendre et de tenter de le régler sans tarder avec l'enseignant. Poser des questions, écouter les réponses, donner respectueusement notre point de vue et chercher une solution ensemble. Il peut arriver que la présence d'une tierce personne, souvent la direction, soit utile à titre de médiateur. Dans certains cas, on doit en référer auprès de la commission scolaire ou du protecteur de l'élève, une personne indépendante affiliée à chaque commission scolaire pour traiter les plaintes.
http://www.coupdepouce.com/bien-dans-ma-tete/psychologie/la-guerre-parents-enseignants-ca-suffit/a/52442/4
1. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
2. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
3. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
4. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
8. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...