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Questions pédagogiques

Aujourd’hui, tout le monde est conscient de la dégradation et du recul de système éducatif au Maroc. Quelles en sont les causes et comment peut on y remédier?

Surdoué, intelligent mais paresseux.


Lorsqu’un enfant donne des signes de grande intelligence et de culture mais se trouve malgré tout en situation d’échec scolaire, la question de la précocité intellectuelle doit se poser.

Mais comment un surdoué peut-il redoubler 2 fois son bac et être en échec scolaire? En général les enfants surdoués ne sont que rarement détectés et les enseignants ne sont pas capables de le faire. Les enfants précoces ne réussissent pas tous leur cursus scolaire loin de là. Les études disponibles montrent qu’environ 1/3 de ces enfants sont en échec scolaire, 1/3 ont un parcours scolaire normal et seulement 1/3 connaissent une réussite brillante.

Comment cela s’explique ? Ces enfants en précocités intellectuelles sont assez différents des autres dans leur façon de penser et de raisonner. Ils sont beaucoup plus sensibles que les autres et sont victimes de fortes angoisses. D’où cette souffrance intérieure qui les tiraille et se répercute sur leur comportement avec autrui. Ils peuvent avoir un comportement assez agité. Ils sont assez rêveurs et se posent des questions philosophiques et scientifiques.

Le système scolaire, avec 30 à 40 élèves dans une classe nivèle le niveau intellectuelles ce qui décourage l’enfant précoce par une forme d’incompréhension: ils sont souvent en décalage avec les programmes scolaires, ils s’ennuient et ressentent une forme s’exclusion. Il a été montré que certains de ces enfants se mettent (de façon inconsciente) en situation d’échec pour être comme les autres et se faire accepté.
Enfin cette souffrance chez certains (ce qui pourrait être le cas de votre fils) entraîne un rejet de l’effort ou de la notion de l’effort.


L’Echec scolaire du surdoué
Une prise en charge pédagogique : comment l’aider à utiliser son potentiel à l’école ?
Si nous excluons les troubles associés (dont tous les troubles de la lignée
dyslexie/dysorthographie, dysphasie, dyspraxie ainsi que le trouble déficit d’attention avec
hyperactivité, ou les éventuels troubles psychologiques que les enfants HP peuvent avoir
comme les autres), la plupart des HP en échec souffrent d’inadaptation. Rappelons que
l’échec, toutes cause confondues concerne 14 à 16% des HP (cela dépend des âges compris
dans l’échantillon) mais que cette proportion constitue une moyenne pour les enfants de 3 à
18 ans. Cependant, à partir de 11 ans cette proportion augmente de manière significative et en
fin de 9ème les statistiques mettent en avant un échec d’environ 30 à 50%. Mon collègue Marc
Bersier a trouvé 4 garçons pour une fille parmi ses consultants. Cet échec est inattendu, et il
ne constitue pas une fatalité. Notre expérience nous a permis de mettre en évidence qu’il est
possible de les remettre en selle avec une pédagogie adaptée.
Il est important de souligner que nous parlons de HP détectés et que nous ne pouvons pas
nous prononcer pour ceux qui restent non-reconnus, dont l’évolution reste inconnue aussi bien
pour nous que pour les enseignants vu que de nombreux élèves excellents ne sont pas HP.
Comme le souligne la statistique de l’AFEP, l’échec apparaît tardivement et suit une carrière
scolaire réussie au cours des 4 voire 6 ou 9 premières années (cela dépend du système scolaire
et d’une éventuelle sélection). Lorsque les difficultés apparaissent, elles sont comme un
tonnerre dans un ciel bleu, un choc, provoquant chez l’enfant ou l’adolescent une souffrance
que l’entourage ne comprend pas.
Exemple no 1 : un jeune de 13 ans, en 7ème voie bac section « économie » vient en bilan
psychologique à notre cabinet donne une explication très simple et très claire : pour nous
expliquer pourquoi il est « nul » en maths (une certitude pour lui) il dit : « ce n’est plus
instinctif, je dois réfléchir ». Il est clair qu’il avait toujours réussi sans travailler, sans
réfléchir, sans faire d’efforts : c’était « instinctif ». Ce qui a pour corollaire : réfléchir pour lui
signifiait « être nul ».
Comment expliquer ce phénomène ?
Citons à ce propos quelques lignes de Michel Duyme (13) cité par Arielle Adda (14) : « les
résultats indiquent que les enfants doués utilisent les aires cérébrales pertinentes pour
effectuer un exercice, tandis que les autres enfants font aussi appel à d’autres aires. Les
enfants doués résolvent le problème sans apprentissage préalable important et, avec un effort
mental moindre, ils arrivent à une meilleure performance ». Ces constations concordent avec
celles de Philip Shaw, qui a passé des tests de QI sous IRM à 307 jeunes suivis
longitudinalement.
Tout se passe donc comme s’ils n’avaient pas besoin d’apprendre pour savoir, à faire
instinctivement les taches demandées. Mais le laisser fonctionner ainsi équivaut à lui faire
croire qu’il est tout puissant. Cette illusion lui coûtera cher. Et la chute sera rude. Cette grande
aisance pourra en effet être la source de son échec futur, surtout si personne ne lui tend la main.
J’ai comparé la situation à celle du Lièvre dans la célèbre fable « Le lièvre et la tortue » de La
Fontaine. Le lièvre, sachant courir très vite et s’ennuyant dans la course qui l’oppose à la
tortue, va se reposer et s’endormir. C’est ainsi que la tortue, persévérante, emporte la course.
Et la morale de la fable : « Souvent celui qui travaille avec constance et application obtient de
meilleurs résultats que, celui qui confiant en ses talents naturels, se laisse aller à la paresse ».
« Souvent, celui qui travaille avec constance et application obtient de meilleurs résultats que celui
qui, confiant en ses talents naturels, se laisse aller à la paresse »
La sagesse des fables d’Esope, via La Fontaine, nous éclaire donc encore aujourd’hui! Même
s’il ne s’agit pas de paresse dans le sens moral du terme mais plutôt d’une mauvaise habitude,
celle de réussir sans effort et sans travail comme cela a été mis en évidence par les recherches
en neuropsychologie  l’absence de sollicitations intellectuelles que vivent les HP les amènent à devenir inadaptés

malgré une intelligence qui devrait leur permettre de s’adapter. Là réside donc le paradoxe de l’échec de ces enfants.

Insuffisamment stimulés par l’entourage, entendons nous par l’entourage scolaire où ils sont en nette
surcapacité, ils mettent en oeuvre uniquement des schèmes connus, mais font très peu d’efforts
d’adaptation à des tâches sollicitant leurs aptitudes. Ils développent dès lors des « inaptitudes acquises » ou « learning helpness ».
Pour dire les choses plus imagées, ils passent les petites classes en se mettant « sur pilote automatique » et lors de situations sollicitant les capacités qu’ils ont effectivement, ils ne parviennent plus à s’adapter correctement car ils n’ont pas l’expérience de surmonter l’échec,
la difficulté, grâce à des efforts et une recherche pour laquelle ils possèdent largement les
moyens.

Pourquoi le HP s’enfonce-t-il dans l’échec ?
Non seulement l’adolescent HP atteint par l’échec est choqué mais il développe une peur de
se mettre au travail, ce qu’il est difficile de comprendre quand on le sait si performant. Cette
peur l’amène à éviter les situations d’apprentissage où il a connu l’échec.. Alors qu’i l se
trouve déjà en difficulté, parce qu’il n’a jamais dû apprendre à apprendre, le voilà qu’il évite
les obstacles qui, pour la première lui ouvrent grandes les portes d’entrée dans un réel
processus d’apprentissage. En effet, apprendre ce n’est pas « tout savoir » mais bien réfléchir,
répéter, se tromper et, en tenant compte des erreurs commises, recommencer et persévérer. Il
n’a jamais fait tout cela avant. En évitant l’échec, il évite encore une fois l’apprentissage.
Il est possible de comparer sa peur à celle que l’on peut ressentir envers une araignée par
exemple. Le sujet qui craint une araignée va mettre en place des stratégies d’évitement.
L’enfant HP évite le travail qui l’a mis en échec et nous devons l’aider à le réinvestir. Aucune
psychothérapie ne peut prétendre leur permettre d’apprendre à travailler. La solution réside
dans une pédagogie adaptée à leur intelligence mais aussi à leur crainte. Il faut les
accompagner et non prétendre qu’il se débrouillera tout seul, il n’y arrivera pas.
Si nous ne le faisons pas, il va commencer à déprimer et entrer dans un cercle vicieux : il ne
travaille pas, ses notes baissent, ce qui le décourage encore d’avantage et il reste incapable de
s’en sortir. Les plus solides, ceux qui ont des défenses opérantes, feront des grands discours
pour justifier la situation mais éviteront aussi, comme les autres, de se mettre réellement au
travail. Et ce n’est pas un manque de volonté. Notre rôle consiste dès lors à l’aider à affronter
et dépasser la difficulté et ce travail doit être accompli face aux mêmes épreuves.
Exemple no 2 : Une évolution d’allure dépressive
Après avoir raté son entrée en pré-gym Erik déprime je le rencontre pour un bilan
psychologique, à la demande de ses parents. Un QI de 134 a été mis en évidence. Son
enseignant de primaire supérieure pense qu’il y est à sa place vu que sa moyenne est de 7,5.
Lorsque je lui dis qu’avec son potentiel cet enfant aurait pu être en pré-gymnasiale, il ne me
croit pas. Ce n’est qu’après une intégration dans une école privée où il peut aller à son rythme
que ce jeune va reprendre sa progression scolaire et passer son bac à 16 ans. Grâce à ce
changement d’école, finies la fatigue, la dépression.
Exemple no 3: Pablo, un garçon « immature »?
Malgré son QI de 131, Pablo est en VSG, il se dévalorise, cette orientation ne correspond pas
à ses aspirations. Il a 13 ans, je conseille à sa mère de le mettre à l’école privée, ce qu’elle est
prête à faire mais que son fils refuse de crainte de quitter ses copains. Pablo est « très content
d’avoir fait les tests » me dira sa mère, il « travaille beaucoup plus qu’avant, et ceci de sa
propre initiative ». Grâce au soutien de Jean Claude Anthamatten, Pablo a vu ses notes
augmenter en un très court laps de temps (quelques semaines) passant de 2 à 6 en allemand et
anglais, ses pires branches.
Pablo a particulièrement apprécié de percevoir, grâce aux explications de J.C.Anthamatten, la
logique de la langue allemande, il a dès lors eu l’impression de maîtriser cette matière par son
intelligence et ne plus devoir répéter, « bêtement » selon son point de vue, des vocabulaires
allemands.
Ce besoin de comprendre est typique des enfants et adolescents HPI : ils vous diront « je ne
comprends rien » puis en fait il ressort souvent qu’ils ont compris les explications reçues mais
qu’ils les jugent insuffisantes pour leur propre manière d’appréhender, essentiellement
logique et cherchant souvent « le pourquoi du comment ».

II. Une prise en charge pédagogique : retrouver le chemin de la réussite scolaire (J.-Cl.
Anthamatten)
M. Jean Claude Anthamatten est un pédagogue auto-didacte qui travaille en collaboration
avec moi depuis de nombreuses années et a permis à de très nombreux enfants et adolescents
de retrouver le chemin de la réussite scolaire.
Depuis 4 ans environ je prends en charge des groupes d’enfants HPI (maximum 5 à la fois), à
raison d’une fois par semaine. Le nombre d’enfants ayant vécu cette expérience avoisine les
200. Au début je les prenais de façon individuelle mais je me suis aperçu que l’interaction au
sein du groupe est extrêmement stimulante à condition que le groupe soit restreint.
En moyenne les enfants restent avec moi trois mois et ensuite ils ont de nouveau des bonnes
notes en classe ce qui est pour moi le signe du succès. Parfois cela prend plus longtemps. Tout
dépend de l’état de fatigue et déstructuration de l’enfant, le meilleur moment pour intervenir
pédagogiquement étant le début du collège (11-12 ans).
La difficulté, chez ces enfants, est que, alors qu’ils ont les capacités intellectuelles pour
réussir, ils sont souvent en échec dans leurs classes. Ceci m’a amené à mettre au point une
pédagogie qui leur permette à la fois de réussir et de rester intégré dans leur classe.
La prise en charge pédagogique se base sur deux approches bien distinctes :
1. L’acquisition des structures de base
Ces connaissances de base se limitent aux branches suivantes : orthographe et grammaire du
français, allemand, parfois anglais et parfois mathématiques (principalement le calcul
algébrique)
Pour la raison que, à l’expérience, si les choses s’arrangent là, elles s’arrangeront dans les
autres branches pratiquement d’elles-mêmes.
Mais l’angle d’approche est particulier. Je vais aborder toutes ces branches en montrant les
structures du langage qui font le plus appel à la réflexion logique (car tous ces enfants ont une
capacité de raisonnement logique très élevée). Et je vais me limiter aux notions les plus
fondamentales.
Ceci va permettre à l’enfant de mieux comprendre la matière car on utilise une approche qui
convient à son intellect analytique et les notions de base seront autant de points d’appui
auxquels il pourra se référer lorsqu’il sera perdu.
2. La manière d’apprendre
Il va falloir stimuler à nouveau la capacité de mémorisation qui a été le plus souvent délaissée
par ces enfants.
Pour cela rien ne vaut, au début, les méthodes traditionnelles de bachotage. Apprendre par
oral et par écrit en se faisant aider, au début, et recommencer tout ce qui est faux jusqu’à ce
que la personne qui aide, et non l’enfant, soit satisfaite.
C’est l’interaction de ces deux méthodes qui va permettre à l’enfant de reprendre pied.
L’utilisation de la logique pour inculquer des concepts de base peu nombreux mais solides et
l’exercice de mémorisation pour retenir ces concepts et apprendre les vocabulaires.
Petit à petit l’enfant va reprendre confiance en lui. En classe les choses vont se simplifier. Il
retrouvera le fil et aussi sa motivation à travailler car la plupart du temps ces enfants veulent y
arriver mais ne savent pas comment. La confiance en soi va revenir aussi au fur et à mesure
que l’enfant comprendra mieux ce que les enseignants disent et ses notes s’amélioreront.
Dixit une élève : mon père a renoncé à me faire apprendre les verbes irréguliers allemands et
leur conjugaison prétendant que je n’y arriverais jamais. J’ai maintenant trouvé le truc. Je les
écris cinq fois de suite et j’arrive à les retenir (sous la forme de la 3ème personne du singulier

du présent, prétérite, passé composé et la traduction - ceci étant la forme que l’on trouve dans
les dictionnaires et les manuels)
En montrant comment les mots sont formés en allemand on fait de nouveau appel à la logique.
Lorsque j'explique Frühstück - le déjeûner- je montre qu'en fait il s'agit du "morceau qu'on
prend tôt et que cela n'a rien à voir avec la "fin du jeûne" français. De la même façon
Ent/schuld/ig/ung – excuse veut dire façon d'éloigner la faute. Les élèves adorent cette
manière de "casser" les mots et cela aide à la mémorisation ainsi qu'à la formation d'autres
mots. Pour Fernsehen il est important de montrer qu'on a simplement "voir loin" comme pour
le français "télé vision"
Dans le même ordre d’idées je leur donne quelques exemples de suisse allemand pour leur
montrer que c’est vraiment de l’allemand et qu’on peut jouer avec la formation des mots
comme
on le fait dans les différents dialectes. Brötchen en Hochdeutsch donnant Brötli en
Schwitzerdütsch de même que Hörnchen devient Gipfli etc.
Pour ce qui est de la motivation de l'enfant, je constate la plupart du temps que l'enfant aime
les explications que je donne car je parle son langage logique mais pour en avoir davantage il
doit faire ce que je veux, c'est-à-dire en gros mémoriser ce qu'on a vu. C'est un contrat mais
l'enfant y trouve son intérêt. Il s'agit alors d'être ferme mais on peut le faire avec bienveillance
et disponibilité.
Il est très important que les parents soient impliqués et soutiennent cette pédagogie car
souvent ils ne sont pas d'accord entre eux sur la démarche à suivre. Par contre dès le moment
où ils voient les premiers progrès les choses avancent très vite.
Il est aussi très important que chaque fois que l’enfant n’a pas compris en classe il puisse
bénéficier d’une explication complémentaire aussi longue et complète que nécessaire. L'une
des différences qui apparaît face à une classe traditionnelle, outre le fait que les élèves sont au
maximum cinq, est que les élèves doivent dire, et se sentent toujours libres de dire qu'ils n'ont
pas compris. L’enfant HP ne « pense » pas forcément comme son professeur ou la méthode
que celui-ci utilise. Comme chacun sait, il y a bien des façons d’aborder un concept et il est
important de « traduire » l’explication dans les formes qu’il comprend le mieux. Il est aussi
très important d’utiliser différentes explications jusqu’à ce que l’enfant puisse dire « j’ai
compris » et qu’il soit capable à sa manière de refaire un exemple ou exercice juste.
Il va pouvoir petit à petit utiliser les mêmes méthodes que les autres. Il s'agit en fait d'une
"reprogrammation" de la façon de comprendre qui s'est déformée et cristallisée avec le temps
parce qu’on n’a pas pu les corriger assez tôt, même si comme tout un chacun ils peuvent préférer une méthode à une autre.
L’exemple de la dictée en français
Lorsque je demande à ces enfants de faire des dictées avec leurs parents il va s’agir pour eux
d’appliquer les règles de grammaire que je leur ai données (accord du participe passé, jamais
d’accent sur le e devant une double consonne, terminaisons presque toujours semblables des
verbes réguliers, « s » pour indiquer le pluriel etc.). Je vais être extrêmement stricte sur
l’application de ces règles quitte à les faire copier plusieurs fois et à les faire apprendre par
coeur s’ils ont oublié de les appliquer. Par contre je vais être beaucoup plus souple lorsqu’il
s’agit d’exceptions ou d’orthographes particulièrement difficiles. L’enfant va alors s’appuyer
sur des bases simples et solides le reste pouvant être complété en classe. Ce processus ne dure
jamais très longtemps et est très efficace. Souvent l’enfant en redemande car il se rend compte
qu’il y arrive. Il s'agit aussi de remettre en place le réflex conditionné qui consiste à éviter la

faute avant qu'elle se produise et non pas d'avoir l'enfant qui dit : je connais la règle mais je
n'ai pas fait attention.
En conclusion je dirais que la combinaison du bachotage et d’explications particulièrement
complètes et adaptées à la façon de comprendre de l’enfant donne des résultats très probants
et permet à l’enfant de réussir beaucoup mieux et de plus s’épanouir dans un enseignement
traditionnel. Jusqu’à maintenant mon taux de réussite (retour à de bonnes ou excellentes notes
scolaires) est d’environ 80% avec plusieurs cas spectaculaires.
Les échecs se rencontrent : soit chez l’enfant qui a un profil psychologique très spécial, soit
avec les parents qui refusent de me faire confiance pendant quelques semaines avant que les
premiers changements positifs apparaissent ou qui ne veulent pas faire ce que je leur
demande.
Il faut cependant admettre que cela fonctionne le mieux pour des enfants entre 11 et 15 ans,
que cela ne se fait pas toujours sans difficultés, et que cette méthode a ses limites lorsque
l’enfant atteint un QI supérieur à 150. A ce moment-là, il faut repenser, et la pédagogie et
l’environnement scolaire mais ces cas sont statistiquement encore assez rares.
Conclusion (Claudia Jankech)
Il semble donc que la prise en charge pédagogique soit très fructueuse, tant sur le plan scolaire
que psychoaffective car le jeune reprend le chemin de la réussite scolaire et voit l’estime de
soi remonter, la motivation, le plaisir de fonctionner sur le plan intellectuel, ce qu’il a toujours
apprécié.
Comme l’illustre la méthode de J.Claude Anthamatten, il est indispensable de s’appuyer sur
leurs compétences (logique, mémoire) et de leur apprendre à entrer dans un processus
d’apprentissage, y compris la mémorisation et le « drill » qu’ils détestent souvent et qu’ils ont
longtemps réussi à éviter. Une voie qui les mènerait encore une fois vers la réussite, les aider
à apprendre à faire usage de leur potentiel surdimensionné, potentiel qui les avait menés
paradoxalement à l’inadaptation.
Cette méthode s’apparente à une restauration narcissique, à une ré-médiation pédagogique,
parfois à une « réanimation intellectuelle » à travers un retour dans la voie de la réussite
scolaire qui a finalement une portée pédago-thérapeutique, l’adolescent parvenant finalement
à dépasser sa peur et sortant dans la plupart des cas, de sa « déprime ». S’agissant de
dépressions au sens psychiatrique du terme, la prise en charge pédagogique ne pourrait
évidemment pas remplacer un traitement médical mais souvent l’accompagner afin de
remettre l’adolescent sur le chemin de la réussite et de faciliter ainsi la restauration
narcissique et une bonne orientation pour sa vie future.
Une telle prise en charge nous permet, dans de nombreuses situations d’éviter l’école privée et
donc la marginalisation du jeune qui, en général, préfère rester avec ses copains, notamment
s’il est bien intégré socialement. Avec un QI de 145 et plus, il est souvent nécessaire de
raccourcir des cycles afin d’éviter une trop grande surcapacité intellectuelle au cours du
primaire et même au-delà du collège. Ce qui est particulièrement facile en enfantine.
Toutefois, il est impossible d’établir une règle, notamment en fonction du seul QI. La
compréhension fine du fonctionnement global de l’enfant est indispensable pour prendre de
telles décisions. S’agissant de la prise en charge pédagogique telle que J.Cl.Anthamatten la
propose, je n’ai pas trouvé de contre-indication. En effet, même les HP qui réussissent,
apprécient énormément cette vision logique, faisant des liens entre les différentes
connaissances et donnant du sens aux apprentissages. Cela revient à leur donner ce qu’ils
recherchent : « à comprendre le pourquoi du comment ».

 

http://apprendreaapprendre.com/

Claudia Jankech
Lausanne

Une méthode efficace de préparer ses examens

 

Comment faire des fiches de rvision 3 728

Pour réviser, une des meilleures méthodes est encore de faire ses propres fiches de révisions. En effet, cela vous permet de relire vos cours, d'en sortir les informations les plus importantes et de les noter. Faire des fiches de révisions, c'est déjà commencer à réviser efficacement puisqu'en notant les idées importantes du cours, vous commencez déjà à le mémoriser !

Pas facile de faire une fiche de révision ! Et pourtant, à l'approche des examens, une fiche de révision peut s'avérer très utile pour gagner du temps et bien apprendre ses cours. digiSchool média vous donne 3 étapes pour réussir vos fiches de révisions.

Ne retenir que l'essentiel

Pour faire une bonne fiche de révision, il faut commencer par trier ses cours. Distinguez un point précis du cours que vous pourrez synthétiser. Par exemple, une liste de dates ou de définitions à apprendre par coeur. Cela peut aussi être une démonstration mathématique qui risque de tomber à l'examen, une compilation d'informations sur un auteur... Bref, retenez cette formule simple : une fiche de révision = un sujet.

Car le principal écueil dans lequel les étudiants tombent régulièrement quand ils préparent leurs examens, c'est de raisonner uniquement sur l'ordre donné par le professeur durant le cours. Sachez que pour faire vos fiches de révisions, vous n'êtes pas obligé de garder la même structure ! Au contraire, lire son cours et ses fiches de révisions doivent être deux manières de travailler complémentaires !

Rédiger une fiche de révision

L'important dans une fiche de révision, c'est qu'elle soit CLAIRE ! Elle doit compiler des idées-clés et vous permettre de vous remémorer et apprendre plus en détail un cours. Pour cela :

Notez en haut le nom de la matière et le semestre concerné (toujours pratique, surtout si vous souhaitez les conserver par la suite) ;

Numérotez vos fiches de révisions par matière, cela permet de les classer ;

Indiquez un titre clair à votre fiche de révision ;

Dans le corps de la fiche, évitez de rédiger des phrases, voire des paragraphes entiers. Essayez de rester le plus synthétique possible, et surtout lisible ;

Et, surtout, n'oubliez pas que l'un des intérêts de la fiche de révision est de gagner du temps ! Alors, pas la peine d'y passer 3 semaines non plus...

Combinées au planning de révisions, les fiches de révisions prennent alors tout leur sens. En effet, tout cet ensemble de techniques n'a comme seul intérêt que de faciliter et rendre plus efficace vos révisions. Elles sont donc à utiliser sans modération et à perfectionner. N'hésitez pas, par exemple, à ajouter une touche personnelle à une fiche de révision.

Une méthode efficace de préparer ses examens

Ceci dit, l'un des avantages d'une fiche de révision, c'est qu'elle est elle-même utile pour préparer ses examens. En effet, si vous êtes capable de faire des fiches de révisions bien structurées, sur les thématiques essentielles de vos cours, c'est que vous avez déjà du recul sur vos cours.

Ensuite, il y a l'intérêt et de pouvoir alléger ses révisions, en s'extirpant du format "100 pages de cours écrites en tout petit", qui décourage à vue d'oeil ! Pour toutes ces raisons, les fiches de révision sont un outil indispensable à la préparation de ses examens et peut payer à long terme.

 

https://www.digischool.fr/methodologie/rediger-une-fiche-de-revision-en-3-etapes-2493.php

 

Comment rendre les devoirs agréables

Enseignement

Les devoirs ne sont pas nécessairement un moment pénible, vous pouvez les transformer pour les rendre agréables et productifs. Comme pour toute activité, votre enfant fera mieux ses devoirs s’il est motivé. Lui dire que c’est nécessaire pour sa vie plus tard ne suffit en général pas à le faire travailler sérieusement, il est encore trop jeune et immature pour se dire que travailler aujourd’hui l’aidera dans sa vie d’adulte.

;;;;;• Motiver les enfants à travailler sérieusement et consciencieusement

Ce que vous pouvez faire en revanche, c’est le motiver à être plus sérieux et consciencieux avec ses devoirs. Pour cela, utilisez le compliment descriptif, qui est une technique qui vous permettra de remarquer tous les petits pas dans la bonne direction, même si ce n’est pas encore à la hauteur de vos attentes. Remarquez tout ce qui est OK, et faites le savoir à votre enfant par une phrase simple et factuelle. Par exemple : « Sur les cinq phrases que tu as écrites, quatre commencent par une majuscule. » ou encore « Tu t’es mis à ton bureau pour faire tes devoirs pile à l’heure que nous avions convenue. » Pas la peine de rajouter ‘c’est bien’ ou ‘bravo’, vous constatez juste ce que votre enfant a réussi à faire.

;;;;;• Eviter les critiques démotivantes

Trop souvent, les devoirs s’accompagnent de nombreuses critiques. Les parents sont exigeants vis à vis de leurs enfants, et cela est très louable. Cependant, est-ce que les critiques motivent pour avancer ? Dire à un enfant, « Tu écris comme un cochon, applique-toi » ou bien « Regarde-là tu as encore oublié la majuscule à ta phrase » ne l’aide pas à prendre confiance en lui ni même à prendre l’habitude de faire autrement. Lorsque vous critiquez ce qu’il fait, même si la remarque se veut « constructive », vous risquez à chaque fois de le démotiver, car il aura l’impression que ses efforts – même s’ils sont encore minimes- ne servent à rien. Combien de critiques reçoit votre enfant lorsqu’il fait ses devoirs et combien de compliments? 10 pour 1 ? Inversez la tendance !

;;;;;• Aider votre enfant à développer son potentiel !

Avec les compliments descriptifs, vous montrez à votre enfant que même si ce n’est pas encore parfait, il est CAPABLE de faire dans une certaine mesure les choses mieux. Cela le motivera à s’améliorer. Une fois que l’on est dans cette optique de remarquer tout ce qui va dans la bonne direction, on se rend compte qu’il y a beaucoup de choses qui vont bien, ou du moins pas trop mal. Voici ce qu’il est encore possible de dire :

- Ton « L» est correctement formé, il monte jusqu’au 3ième interligne et ne dépasse pas de la ligne du bas.

- Ton addition est posée proprement avec les chiffres en colonnes.

- Tu as commencé par regarder ton cahier de texte avant de te lancer dans ton travail.

Il est possible d’ajouter une qualité suite au compliment que l’on fait pour le renforcer. Les qualités peuvent être : le soin, l’attention aux détails, le sens de l’organisation, la persévérance, le courage (de continuer malgré la difficulté), le sens de l’effort, etc. A vous de trouver les qualités qui font sens pour vous et que vous souhaitez valoriser. En reprenant les exemples ci-dessus, voici ce que l’on peut ajouter comme qualité

- Ton « L » est correctement formé, il monte jusqu’au 3ième interligne et ne dépasse pas de la ligne du bas. Tu t’es appliqué pour le faire.

- Ton addition est posée proprement avec les chiffres en colonnes. Tu as fait attention au soin de ton travail.

- Tu as commencé par regarder ton cahier de texte avant de te lancer dans ton travail, tu es bien organisé.

Plus vous soulignerez ces qualités chez vos enfants, plus ils prendront confiance en eux et seront motivés pour faire preuve des qualités que vous remarquez. Lorsque vous avez des points d’amélioration du travail de votre enfant à souligner, pensez à dire deux compliments descriptifs avant. Il sera plus attentif à votre remarque. Au delà de la technique du compliment descriptif, pensez à lui demander de les faire à un horaire régulier.

Se mettre à ses devoirs devient ainsi une habitude et l’enfant rechigne moins à les commencer. Lorsqu’en plus, le moment des devoirs devient plus agréable car plus positif et productif, il sera plus enclin à s’y mettre. Enfin, les devoirs doivent aussi venir autant que possible avant les activités ludiques (jeux, écrans, lecture, …). Vous pouvez trouver cela difficile à croire, mais de nombreux parents ont souligné comment cette approche leur a permis de voir leur enfant améliorer son écriture, avoir de meilleures notes en math,… .

Dossier :Anne PEYMIRAT

 

http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/faciliter-les-devoirs-1752-8-16.html

 

La pédagogie du sourire

 

La journée nationale du sourire  - Fais moi sourire!

Afin de vous aider à sourire davantage en classe, je vous propose près d'une vingtaine d'idées d'activités à réaliser en classe, que ce soit en français, en arts, en mathématiques ou même en sciences. J'ai aussi déniché à votre intention quelques sites Web pour créer, se divertir, apprendre, discuter ou même relaxer, toujours sur le thème du sourire.

 

garçon content

 20 façons de sourire à l'école

1- Composez une chanson thème sur le sourire. Toute l'école pourra la chanter en souriant. Les enseignants pourraient composer le refrain, et chaque classe pourrait créer un couplet différent.

2- Rédigez de petits messages qui incitent à sourire, un peu comme les messages contenus dans les biscuits chinois. Mettez-les dans une petite boîte à laquelle vous pourrez donner un nom particulier (La boîte à sourires, par exemple). Finalement, distribuez vos petits messages dans divers lieux ou même dans la rue, en faisant piger les gens.

3- Organisez de la publicité pour la journée : affiches, messages à la radio communautaire, macarons... L'objectif: inciter les gens à sourire et à vivre en harmonie.

4- Créez des cartes de souhaits pour la journée. Faites ainsi parvenir des sourires à vos proches ou aux élèves des autres classes.

5- Faites aller votre plume sur le thème du sourire : histoires, poèmes, chansons, journal du sourire, recherches sur les effets du sourire ou même sur l'humour ou le bonheur... Créez un recueil ou publiez vos textes sur le Web.

6- Participez à un sourire-o-thon. Il suffit de sourire le plus longtemps possible. Qui tiendra le coup pour la plus longue période? Quel est l'effet ressenti à force de tant sourire?

7- Invitez un clown en classe ou déguisez-vous (ou les élèves) en clown. Vous pourrez créer des costumes avec des retailles de tissus et des nez cirés rouge (un demi-emballage ciré de fromage Mini Babybel fait le travail et fournira en plus une dose de protéines à vos élèves. Collation rigolote et succulente!). Avec du carton, vous pourrez confectionner un chapeau de clown et une boucle pour le cou que les enfants décoreront avec des crayons, de la peinture ou d'autres éléments.

8- Participez à la quête des plus beaux sourires. Les élèves apportent des photos ou images de beaux sourires : ce peut être des photos de leur album personnel, des images trouvées dans les revues ou sur les publicités, etc. Ces images sont ensuite affichées sur les murs ou encore, utilisées pour concevoir un scrapbook de classe sur le thème du sourire.

9- Créez, personnellement ou en groupe, un petit logo du sourire. Ce petit logo pourra ensuite être collé sur les bureaux de chacun afin de rappeler de sourire. Chaque élève pourra évidemment agrémenter son logo à sa façon.

10- Participez au jeu des sourires. Chaque élève apporte trois épingles à linge de la maison (identifiées au nom de l'élève, si vous souhaitez redistribuez les épingles à la fin de la journée). Chaque fois qu'un élève est surpris à ne pas être en harmonie avec les autres ou à être de mauvais poil, il doit donner son épingle à celui qui l'a pris en défaut. Voilà une excellente façon de passer une journée sans chicane et sans violence en classe. Qui réussira à conserver toute ses épingles?

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11- Planifiez une séance de gymnastique du sourire, en début de matinée. Il suffit de passer une minute à faire de grands sourires, des sourires idiots, des sourires bizarres, brefs, toutes sortes de sourires et d'étirements de la bouche.

12- Organisez un concours de définition du mot sourire. Vous pouvez illustrer la définition en utilisant les mots qu'elle contient pour tracer un bonhomme sourire. Voyez cet exemple.

13- Dessinez un sourire. Distribuez à tous les élèves de l'école une feuille blanche comprenant seulement la forme vide d'un visage. Les élèves devront ensuite ajouter un sourire et des détails à ce visage. N'hésitez pas à encourager le collage et le dessin comme techniques artistiques. Vous pourrez ensuite afficher tous ces sourires sur les casiers des élèves ou dans les couloirs de l'école. Vous pourriez aussi réaliser une énorme murale de sourires dans la bibliothèque ou au gymnase, en y collant tous les sourires des élèves.

14- Repensez le bonhomme sourire. Invitez les élèves à modifier le fameux bonhomme sourire jaune à l'aide de couleurs, de papiers, d'éléments 3D, de papier mâché, etc. Créez ensuite une exposition de bonhommes sourires et faites voter les élèves pour les bonhommes les plus originaux ou sympathiques, par niveau scolaire.

15- Animez un blogue du sourire : les élèves pourront venir y raconter ce qui les fait sourire, chaque jour. Pendant une semaine, vous pourriez avoir un sujet du jour que les élèves pourront commenter : 1) les gens qui me font sourire, 2) les activités qui me font sourire, 3) les objets qui me font sourire, 4) les événements qui me font sourire, 5) les blagues qui me font sourire, etc. Pour créer facilement un blog, vous pouvez utiliser Blogger. Sinon, utilisez le blogue du sourire, déjà prêt à accueillir tous vos commentaires et créé à cette intention pour vous.

16- Faites aller les méninges des jeunes en leur proposant de concevoir un personnage ou un visage dont le sourire peut être actionné par un mécanisme au choix.

17- Participez au décompte des sourires. Selon le niveau de vos élèves, choisissez un nombre. Vos élèves devront ensuite partir à la chasse aux sourires et noter le nom (ou la description, s'il s'agit d'étranger) de tous ceux qui leur ont souri pendant la journée ou la semaine, jusqu'à ce qu'ils atteignent le nombre désigné ou même plus. Combien de sourires auront reçu tous les élèves de la classe?

18- Organisez des joutes d'improvisation, pour rire et sourire. Élaborez des thèmes humoristiques.

19- Fabriquez des marionnettes qui ont le sourire, avec des matériaux de votre choix. Ensuite, placez les élèves en équipes pour que chacune crée un petit sketch sur le bonheur, l'harmonie ou la paix.

20- Faites la course à relais des sourires. Divisez les élèves en deux équipes, dont les membres seront placés à la file indienne. Au signal, le premier élève doit courir jusqu'à une ligne et revenir vers la ligne de départ. Lorsqu'il revient, il doit exécuter 10 sourires avant que son coéquipier puisse prendre le relais du sourire. La première équipe dont tous les membres ont effectué la course remporte la victoire, et les perdants doivent les féliciter avec le sourire...

 

Des sites Web pour rire et sourire

Des textes pour réfléchir et partager les sourires

Juste un sourire... / Chez Maya
Accompagné d'un charmant diaporama de bébés qui sourient, ce petit texte incite tout le monde à sourire et à répandre une épidémie de sourires.

Les effets d'un sourire / Chez Maya
Tout le monde est capable de sourire, même les plus déprimés. Ce texte vous invite à essayer, sans plus tarder.

Souriez au suivant / La petite douceur de la semaine
Vous pourrez aussi télécharger une relaxation dirige sur le sourire (8 minutes)

La révolution du sourire juste / La petite douceur de la semaine
Ce document PDF de 40 pages convient aux enseignants qui souhaitent réfléchir sur le sourire. Certains éléments pourront ensuite être présentés ou adaptés en classe, pour initier des discussions.

Pourquoi sourire? Quelques explications...

Rien ne bat un beau sourire / L'Association canadienne pour la santé mentale
Si vous cherchez de bonnes raisons de sourire, vous en trouverez ici sept. De quoi convaincre les plus grognons!

À quoi nous sert le sourire? / Psychologies.com*
Le sourire sert beaucoup plus qu'à simplement illustrer notre joie ou notre bien-être. Cet article vous aidera à découvrir d'autres utilités du sourire. Les élèves sauront-ils en nommer avant même de prendre connaissance de l'article?

 

Des citations sur le sourire

Randonneur.net
Une vingtaine de citations vous sont ici proposées.

Evene.fr
Evene répertorie 150 citations sur le sourire, dont 30 ont été sélectionnés pour composer le guide thématique sur le sourire.

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La biologie du sourire

Les ordonnateurs du sourire / Les secrets du corps humain
Voyez ici les 17 muscles qui sont sollicités lors d'un sourire.


Des images artistiques de sourires

Musée du sourire*
Cet espace d'expression artistique invite les internautes « à découvrir les oeuvres d'artistes contemporains dédiées à la plus subtile des expressions humaines » : le sourire.

 

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Histoire de nuls qui ont réussi

La réussite professionnelle pour les nuls

Reussir ou echouer

 

Comment réussir sa vie sur le plan professionnel ?

Quand j’étais petit, je croyais naïvement que pour réussir sa vie, il fallait bien travailler à l’école.
Après tout, la réussite scolaire mène aux meilleurs diplômes. Les meilleurs diplômes mènent aux meilleurs emplois. Les meilleurs emplois mènent aux meilleurs salaires. Et l’argent fait le bonheur :D
Puis j’ai cessé de croire au Père Noël, le choc !

Si « réussir sa vie » implique l’accomplissement de soi à différents niveaux, j’aimerais aborder ce thème sous l’angle professionnel.

Au commencement

S’il n’est jamais trop tard pour bien faire, commençons par envisager l’origine de ce succès dès la vie scolaire.

Je ne comprends pas. Je suis jeune diplômé Bac+5. J’ai terminé major de ma promotion. J’ai des lettres de recommandation de mes professeurs qui témoignent de l’exemplarité de mon parcours scolaire.
Pourtant, je ne parviens pas à décrocher d’emploi malgré les dizaines de cv que j’envoie. J’ai pourtant fait ce qu’ils (mes parents et professeurs) m’ont dit. Pourquoi est-ce si dur ? – Michel

Avoir de bons résultats scolaires est indéniablement un atout dans notre société. C’est dire si nous ne sommes pas conditionné par la formule suivante : valeur sociale = performance scolaire
Pourtant l’Histoire relate de nombreux exemples d’illustres personnages aux résultats scolaires médiocres. Citons un Albert Einstein qui s’avoue « incapable de suivre les cours, de prendre des notes et de les travailler de façon scolaire ». Un Thomas Edison écarté des bancs d’école car jugé comme un « hyperactif stupide ».
Non le modèle de réussite scolaire s’il a des mérites n’est pas la vérité absolue.

Alors, comment assurer son avenir professionnel (indépendamment du contexte économique) ?

Des millions de jeunes fraîchement diplômés approchent le marché de l’emploi et s’y cassent les dents. N’y voyez vous pas un signe pour vous inciter à procéder différemment ? ;)
EtreMeilleur.com vous apprend à être meilleur. Pourquoi ne pas mettre en valeur vos qualités personnelles au service de votre avenir ?

Changez votre vision du monde professionnel.

Vous ne voudriez pas vous retrouver après des années à travailler pour une entreprise dont vous vous moquez, à faire un travail que vous détestez, pour un salaire en deçà de vos aspirations  mais qui vous permet de « survivre ».
Alors abandonnez les méthodes et conseils classiques. Vous savez ceux-là mêmes que l’on retrouve dans de nombreux livres poussiéreux d’aide à la carrière. Soyez différents de la masse.

Ma vie, mon œuvre

Quand je serai plus grand, je serai : pompier, docteur, astronaute, testeur de jeux vidéo, chirurgien, …

Avez-vous réfléchi à ce que vous voulez faire de votre vie ? Je veux dire une vrai réflexion avec si possible un vrai plan de carrière et non pas une simple idée ou label de métier qui semble « cool » sur le moment.
Imaginez une journée « ordinaire » de votre vie idéale.
A quelle heure vous levez-vous ? Que faites-vous ? Qui côtoyez-vous ? Dans quel cadre évoluez-vous ? Quelles émotions ressentez-vous ? Quelle valeur ou contribution apportez-vous au monde ?
Soyez totalement honnête dans votre projection.

Relevez-vous certaines incohérences entre vos ambitions et votre parcours actuel ? Rectifiez alors votre trajectoire car il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Créer vos opportunités

« Développer votre réseau »

Cette expression m’a toujours fait sourire. Elle a au moins le mérite de schématiser l’idée de mettre à contributions ses compétences sociales !
Que vous soyez étudiant ou actif, vous rencontrez forcément des personnes. En développant ces relations, vous vous créez des opportunités multiples et non exclusives : amicales, professionnelles, amoureuses, …

N’hésitez pas à parler précisément du type de métier auquel vous aspirez. Faites en sorte que vos amis en parlent à leurs amis, n’oubliez pas non plus de sonder votre famille.

Créer votre emploi

Beaucoup de personnes rêvent de créer leur entreprise. Et peu passent à l’action.

C’est risqué. C’est compliqué. C’est trop de stress. Ça prend trop de temps. Ça ne rapporte pas plus

On vous donnera une infinité d’arguments pour vous convaincre de ne pas vous mettre à votre compte.
Le fait est que c’est une formidable source d’expérience, enrichissante à tous les niveaux. J’y consacrerai prochainement un article ;)

Proposer vos services de manière bénévole

En voilà une tactique contre-intuitive ! C’est pourtant un subtil moyen de faire ses preuves et développer une relation privilégier avec des entreprises.
Imaginez. Vous proposez aux employeurs de tester vos compétences sans qu’ils ne prennent le moindre risque. Et vous avez toute latitude pour organiser votre activité.
Si votre travail est de qualité acceptable, ils ne pourront qu’apprécier votre démarche et vous faire alors d’autres propositions plus lucratives.
Et parce qu’il est plus facile d’obtenir un job bénévole, vous allez pouvoir sélectionner les entreprises et les projets qui vous tiennent à cœur.
Certes cela peut sembler financièrement peu intéressant à court terme. A long terme, vous instaurerez une relation enrichissante.

Développer vos talents

Internet est une formidable source de savoir. Exploitez en les richesses.
Pourquoi ne pas acquérir des connaissances pointues dans un domaine recherché ?
Informez-vous sur les besoins des entreprises dans le domaine qui vous intéresse.
Quels sont les  métiers attirants qui requièrent ces compétences rares que vous vous ferez un plaisir d’assimiler ?
Une fois votre objectif de spécialisation déterminé, organisez votre propre éducation :)

Soyez votre propre attaché de presse

A l’ère de la communication de masse, il est difficile de rester anonyme.
Si vous négligez votre image, vous prenez le risque que vos interlocuteurs se fassent leur propre idée. Et elle ne sera pas forcément réaliste ni à votre avantage.
Allez sur un moteur de recherche et voyez quels résultats correspondent à vos noms et prénoms.
Cela en dit-il long sur vos qualités personnelles ?

Je vous invite vivement à prendre en main votre communication. Utilisez tous les moyens disponibles sur le net ou autres. Les sites de réseaux sociaux sont particulièrement adaptés à cet usage. On en revient au conseil « développer votre réseau » :)
Avoir une présence sur le net c’est aussi tisser des liens avec le monde réel.
Donnez un éclairage particulier à vos expériences personnelles et professionnelles et éveiller l’intérêt d’employeurs.

Je vous garantie que si vous adoptez une démarche motivée à l’aide de ces préceptes votre réussite professionnelle est assurée.

Olivier Prize

http://www.etre-meilleur.com/job/reussite-professionnelle-pour-nuls.html

Histoire de nuls qui ont reussi


Histoire de Madonna (partie1) par JF66MICHEL


Histoire de Madonna (partie2) par JF66MICHEL

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Michael Faraday (Partie 1) par JF66MICHEL


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