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Devenir un bon professeur

chec examen

3 raisons pour lesquelles il est si difficile d'enseigner

1. Parce que nous prenons toute chose pour évidente dès lors que nous l'avons comprise
 
Apprendre quelque chose à quelqu'un consistant d'abord à accepter le fait qu'il ne sache ni ne comprenne quelque chose qui pourtant nous paraît évident depuis belle lurette, il va falloir faire l'effort de se souvenir de cette époque où, comme l'élève, nous non plus, ne savions pas. Effort d'autant moins intuitif pour l'ego qu'il nous remémore un passé d'ignorant que nous avons bien vite oublié.
2. Parce que se mettre à la place de l'autre est contre-intuitif.
 
Apprendre quelque chose à quelqu'un se différenciant de "faire la leçon" par l'intérêt que porte l'enseignant à la façon d'apprendre de son élève, enseigner réclame donc de l'empathie. Soit cette capacité à se mettre à la place de l'autre tout en restant à la sienne, dont la vie quotidienne démontre chaque jour à quel point elle peut faire défaut à nos semblables
3. Parce qu'à chaque élève, sa façon d'expliquer (en théorie)

Apprendre quelque chose à quelqu'un reposant sur l'aptitude du recevant à intégrer un message, transmettre réclame non seulement de répéter mais surtout de répéter différemment pour trouver le "canal d'entrée" le plus réceptif chez la personne en face de lui. Pour rappel: les visuels vont retenir les images et éprouver des difficultés à analyser/mémoriser les sons, les auditifs feront le contraire, les conceptuels ne feront ni l'un ni l'autre et apprendront les idées, quant aux kinesthésiques, ils ont envie de manipuler tout ce que vous leur dites avec les mains.

8 techniques pour apprendre quelque chose à quelqu'un

1. Votre passion est votre ennemie
  • Quand vous avez développé beaucoup de connaissances dans un domaine, c'est probablement que vous l'aimez dans les mêmes proportions. L'élève, lui, en est encore au stade où il ignore s'il l'aimera comme vous un jour, et d'emblée cet écart vous sépare. Partez toujours du principe qu'a priori, contrairement à vous, un élève n'éprouve pas (autant) de plaisir dans les tâches que vous lui demandez. Vous éviterez ainsi qu'il se sente en trop grand décalage avec vous.
2. Faites-le reformuler
  • Tout le monde sait écouter en prenant l'air intéressé. On l'a tous fait, notamment par exemple pendant un rendez-vous "amoureux" qui n'en avait que le nom. Ne présupposez jamais qu'un élève a compris parce qu'il vous l'affirme. Il en est peut-être lui-même sincèrement persuadé, mais demandez-lui toujours de reformuler, de "faire ses mots". C'est pendant la phase de reformulation qu'il va lever (et résoudre) ses propres blocages et intégrer l'information.

3. Anticipez les difficultés
  • Oubliez ce que vous savez sur votre discipline et regardez-là avec les yeux d'un "ignorant". Où avez-vous éprouvé des difficultés quand vous l'avez apprise? Il est probable à 99,9% que votre auditeur rencontre (au moins) les mêmes, alors anticipez en ralentissant sur ces points précis et demandez-lui de redoubler d'attention. Assurez-vous par ailleurs que le point précédent est bien "refermé" (en le faisant reformuler) avant d'aborder une difficulté nouvelle, et rassurez-le en lui disant que vous y passerez tout le temps nécessaire, afin de lui ôter la pression implicite d'avoir à comprendre du premier coup.
4. Lors de la première explication, élaguez au maximum
  • Votre connaissance in extenso du problème vous fait penser à l'avance à mille nuances et détails dont la personne qui vous fait face n'a pas idée, et qu'elle n'a pas à savoir pour le moment car ils ne feraient que l'embrouiller. La première fois que vous expliquez quelque chose à quelqu'un, faites l'impasse sur tous les détails qui pourraient ralentir sa compréhension, ne lui donnez que the big picture. De la même façon, demandez-lui toujours ce qu'il veut faire in fine avec ce que vous lui apprenez, c'est la meilleure façon de prioriser et de construire votre plan personnalisé.
5. Une chose a un nom (et le garde)
Votre expérience dans le domaine considéré vous amène souvent à jongler sans y penser avec le champ lexical, intervertissant les mots tout en sachant toujours ce que vous désignez. Pensez que, pour votre interlocuteur, tout est nouveau, même les mots! Je suivais récemment une formation à Photoshop et mon coach pour l'occasion utilisait alternativement les expressions "zones de travail" et "fond" comme équivalant parfaits, au petit détail près qu'il avait oublié de me le dire! Quoique vous expliquiez à un débutant, une chose a un nom et un seul. Pas deux.
6. Si une explication ne "rentre" pas, changez d'explication!
Peut-être le point le plus important. Si la définition des concepts ne doit plus changer (voir point précédent), la clef consiste en revanche à varier la façon d'expliquer. Le dicton populaire disant que la pédagogie passait nécessairement par la répétition est incomplet: utilisée seule, la "bête" répétition n'a jamais été une pédagogie en soi! Mon professeur de boxe me faisait remarquer que mes crochets n'étaient pas à la hauteur de mes directs (au sens propre et figuré) et j'avais du mal à les corriger. Cela faisait des dizaines de fois qu'il me répétait de ramener l'avant-bras parallèle au sol mais cela ne passait pas, j'étais (ou plutôt, mon canal) "bouché". Je lui ai alors demandé, en sueur mais sur le ton de la plaisanterie, de me l'expliquer d'une autre manière. Avec d'autres mots, une autre image. Nouvelle version: "fais comme si tu donnais un coup de coude". Résultat j'ai compris. Je rate, encore, parfois, mais j'ai bien compris.
7. Utilisez des analogies, ou le pouvoir du "fais comme si"
Souvenez-vous que la personne qui vous fait face, aussi novice qu'elle soit sur le sujet du jour, est experte dans d'autres dont vous ne savez probablement rien. Ou pas grand chose. Mettez à profit ce "capital" en utilisant des images: "fais comme si". A un enfant qui apprend le piano, pour "passer le pouce": "fais comme si tu voulais le cacher sous la paume de ta main". A un élève de chant, pour apprendre la "respiration basse": fais comme si tu gonflais un ballon sous ton nombril, etc.
8. Apprendre vs admirer, chaque chose en son temps
 
Vous n'en avez pas conscience, mais à ses yeux vous êtes un virtuose dans votre domaine, et les quelques manipulations de base auxquelles vous pourriez vous livrer inconsciemment devant lui l'impressionnent déjà grandement. Ne faites pas étal de votre "virtuosité" (même relative) pendant l'explication, ça déconcentre l'apprenant. On ne peut pas admirer et apprendre simultanément. Chaque chose en son temps. Si vous apprenez l'informatique à quelqu'un, efforcez-vous par exemple de ne pas utiliser les multiples raccourcis claviers que vous connaissez, vous le perdriez immédiatement.

 

Vous connaissez maintenant les bases de la pédagogie. Alors appelez votre ado, confisquez son iPhone pendant 15 minutes, et apprenez-lui quelque chose qui vous plaît! Transmettre est un plaisir sans équivalent.

 

http://www.huffingtonpost.fr/staphane-edouard/8-techniques-pour-enseigner-avec-pedagogie_b_5392323.html

A quoi ressemblera l'homme en 3012?

Homme du futur the sun 1129260

 

A quoi ressemblera l'homme dans 1000 ans?

Depuis que l'homme est homme, son corps et son visage n'ont cessé d'évoluer. Et ce n'est pas fini! Des experts spécialisés en anatomie humaine ont tenté de déterminer à quoi les générations futures ressembleront dans 1000 ans.  

Le tabloïd britanniqueThe Sun s'est alors amusé à réunir leurs prédictions, pour finalement dévoiler une estimation de l'Homme d'après demain. Résultat: finis les Brad Pitt, Johnny Depp et autres George Clooney. Envolées Monica Bellucci, et Shakira. Nos descendants seront bien loin des canons de la beauté actuels.  

Dans le détail, selon le journal, les humains seront de plus en plus grands au fil du temps grâce aux progrès de la médecine et à une meilleure alimentation. "Aujourd'hui, l'Américain moyen mesure déjà 2,5 centimètres de plus qu'en 1960", constate l'ostéopathe Garry Trainer. En 3012, nous atteindrons jusqu'à 2,10 m. Dans 1000 ans, Michael Jordan et Teddy Rinner seront donc des petits joueurs. 

Plus grands, et moins gros: certains de nos organes liés à la digestion, en particulier les intestins, seront plus courts afin d'échapper naturellement à l'obésité.  

Un plus petit cerveau

L'utilisation toujours plus intensive de technologies telles que les iPhones ou les claviers, engendrera une transformation de nos mains, qui seront plus sensibles grâce à un afflux de terminaisons nerveuses, ainsi que de nos bras, qui seront plus longs pour nous permettre de moins bouger. Fainéants de surcroît! 

A cause de l'influence de ces gadgets électroniques, l'homme sera beaucoup plus ridé qu'aujourd'hui. Ridé mais moins velu. En effet, la climatisation et le chauffage central réduiront notre pilosité. Une sorte de cadeau de consolation.  

Côté cerveau, pourquoi s'encombrer? Une partie du travail de pensée et de mémorisation pourra être déléguée à nos ordinateurs, ce qui justifiera une réduction de la taille du cerveau. 

Les édentés

A force de manger des nourritures plus molles, l'humain aura moins de dents et une plus petite bouche. "On peut penser que notre alimentation se présentera sous forme de liquides ou de pilules, ce qui aboutira à l'avenir à une mâchoire moins importante" affirme le dentiste Philip Stemmer. Il est même prévu que l'homme de l'an 3000 arbore des quadruples mentons à cause de la sédentarité. Charmant.  

En revanche, ses yeux seront plus grands. Pour y voir la nuit, tel un hibou? Que nenni, "La communication sera davantage basée sur les expressions faciales et le contact visuel", explique Cary Cooper, de l'université de Lancaster en Grande-Bretagne.

 

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/a-quoi-ressemblera-l-homme-en-3012_1173258.html

 


Le visage humain dans 100 000 ans : Regardez ce à quoi nous pourrions ressembler par Gentside

Comment apaiser les tensions entre parents et enfants


Les relations sont souvent conflictuelles au moment de l’adolescence. Rares sont les familles qui échappent à ce constat. Parfois le climat s’est tellement dégradé qu’on assiste à un réel blocage. Chacun restant sur ses positions. La communication devient de plus en plus difficile. L’incompréhension est presque totale.

Il reste toutefois une piste intéressante à explorer : la rédaction d’un contrat entre parents et enfants.

Le contrat est un outil puissant qui présente bien des avantages s’il est suffisamment réfléchi et discuté avant sa rédaction par les deux parties.
Rappelons qu’un contrat est « Une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à faire ou ne pas faire quelque chose » (1)
Les différentes étapes dans la création d’un contrat :

;;;; La concertation et la négociation

Avant de se lancer dans la rédaction d’un contrat, il faut s’entendre sur les points qui seront mentionnés et les engagements que chacun est prêt réellement à consentir.
C’est une démarche infiniment respectueuse de l’individu.
Chacun va exprimer ses besoins mais aussi ses limites. Il faut savoir les entendre si l’on veut que le contrat s’avère riche et constructif.
« J’entends ce que tu es prêt à faire mais aussi ce que tu n’es pas prêt à faire … du moins pour le moment ».

En rétablissant la confiance, chacun pourra s’engager un peu plus. Petit à petit, on observera de réels progrès.
Mais ne pas perdre de vue que la phase de concertation est essentielle.

;;;;; La rédaction du contrat

Quelques règles s’imposent en matière de rédaction de contrat dès lors qu’il s’agit de définir les engagements des uns et des autres :

1. La description du point abordé doit être précise et concrète
2. Savoir se limiter à un seul problème à la fois
3. Le contrat doit être formulé positivement
4. Le contrat doit être réaliste ainsi que les moyens à mettre en œuvre
5. Le délai doit être court – Quelques semaines tout à plus dans la réalisation des objectifs
6. Les moyens à mettre en œuvre doivent être clairement définis

Ainsi on retiendra que pour être efficace un contrat devra être concret, limité dans le temps, positif, réaliste et court.
Il faut savoir réduire ses demandes pour avoir une chance de les voir se réaliser.

;;;;; Le processus

Bien souvent la situation de départ entre parents et enfants est confuse, tendue et conflictuelle.
Un premier pas sera franchi quand chacun aura le sentiment d’avoir été entendu dans ses besoins et ses demandes.
Peu importe le nombre de points contenus dans le contrat, dès lors que le processus de restauration de la confiance et de la réussite sera enclenché, on pourra aller plus loin.


L’important étant d’inverser la tendance :

· Passer de l’incompréhension totale à un début de compréhension
· Passer du sentiment d’échec à celui de la réussite même partielle
· Passer de la perte de confiance totale à son rétablissement progressif

;;;;; L’heure du bilan

Etablir un contrat c’est impérativement en définir clairement la durée d’application et savoir très précisément quand aura lieu l’heure du bilan.
Rien ne doit être laissé au hasard de ce point de vue là.
ð « Le contrat est signé pour une durée de 6 semaines. Un bilan sera fait le ……. »

Attention également à garder en mémoire ce principe : Plus la durée est raisonnablement courte, plus son efficacité sera grande.

Avec des enfants et même des adolescents, il ne faut jamais perdre de vue qu’il est quasiment impossible pour eux de se projeter au-delà de quelques semaines.
Exiger d’eux un effort soutenu sur toute une année scolaire ne servirait à rien.
Par contre, leur demander d’appliquer une méthode de travail spécifique dans une matière particulière en visant des résultats concrets dans les 5 ou 6 semaines sera réellement efficace.

Ne pas oublier que les enfants ont tendance à se décourager rapidement
Le point qui sera fait à l’issue de cette période permettra de constater et de fêter les progrès accomplis.


Signer un contrat parent-enfant, c’est aussi devenir partenaires dans la réussite.
C’est avancer main dans la main, conscient des embuches qui se présenteront inévitablement sur le chemin mais dans un même effort de compréhension, de confiance et avec un objectif commun.

 

Dossier : Béatrice VICHERAT

http://apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/article.php?cat_num_sel=&numtxt=673


BAC 2023 : QUELLES SPÉCIALITÉS CHOISIR POUR QUELLES ÉTUDES SUPÉRIEURES ?

 

Dès la fin de la seconde, au Maroc, vous devez opter pour 3 spécialités que vous suivrez en première. Un choix loin d’être anodin, car vous pensez également à vos études supérieures et au secteur professionnel qui vous intéresse le plus au moment de prendre votre décision ! Pour vous aider à mieux choisir vos spécialités, nous faisons le point !

Comment fonctionne le système du Bac au Maroc ?

commet fonctionne le systeme du bac au maroc

Au Maroc, le système scolaire est pensé pour permettre une spécialisation scientifique ou technique qui va ensuite conditionner l’accès à l’enseignement supérieur et au monde professionnel.

Au lycée, le programme d’enseignement se concentre sur l’acquisition par l’élève de connaissances générales qui lui permettront de s’intégrer socialement et culturellement, avec une appétence pour l’histoire et les codes de son pays et de son histoire.

Il s’agit également d’ouvrir l’étudiant à d’autres cultures et fonctionnements, et de s’intéresser aux codes humains, à travers notamment l’apprentissage des matières scientifiques et littéraires.

Trois sections composent cet enseignement au Maroc :

» les sciences expérimentales

» les lettres modernes

» les sciences mathématiques

Trois types de matières y sont obligatoires :

1- Mathématiques-Sciences naturelles-Sciences physiques ;

2- Littérature-Langues-Instruction islamique-Éducation physique-Traduction

3- Sciences sociales (géographie et histoire)

Pourquoi choisir une spécialité est important ?

Pourquoi choisir une spécialité est important

Choisir sa spécialité est un choix important, car il va déterminer les matières qui pèseront le plus dans la balance pour vous ! Si vous n’êtes pas bon en maths, il est donc évident que mieux vaut éviter cette spécialité. L’idée de la spécialité est de valoriser vos points forts et de miser dessus !

Au lycée au Maroc, il existe plusieurs types de formation :

  • Un enseignement professionnel de courte durée qui s’intègre dans un cycle de formation professionnelle qualifiante. Le cycle menant à la qualification professionnelle découle sur le diplôme de qualification professionnelle (DQP). Il est accessible aux élèves qui sont détenteurs du brevet d’études collégiales (BEC)
  • Des formations techniques, professionnelles et générales réparties en deux cycles :
  • Le tronc commun qui dure une année
  • Le baccalauréat de deux ans qui comprend deux branches principales, la branche technologique et professionnelle et la filière générale.

Le bac technologique et professionnel apporte des compétences techniques et est sanctionné par le BETP (baccalauréat d’enseignement technologique et professionnel) qui permet :

–D’accéder à la vie professionnelle

–De s’inscrire dans les écoles de formation pour techniciens

–D’accéder aux prépas des grandes écoles.

–De s’inscrire dans une université tout en étant en phase avec les conditions d’admission de chaque établissement.

Le bac général apporte toutes les bases requises pour entreprendre des études universitaires, postuler aux grandes écoles et établissements d’enseignement supérieur.

Quelles sont les spécialités proposées au Bac général  au Maroc ?

Dès la première, au Maroc, 13 spécialités sont proposées à l’élève :

– Arts ;

– Biologie & écologie ;

– Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques ;

– Humanités, littérature et philosophie ;

– Langues, littérature et culture étrangère et régionale ;

– Littérature, Langues et cultures de l’Antiquité ;

– Mathématiques ;

– Numérique et sciences informatiques ;

– Physique-chimie ;

– Sciences de la vie et de la Terre ;

– Sciences de l’ingénieur ;

– Sciences économiques et sociales ;

– Éducation Physique, Pratiques et Culture Sportives

Cependant, tous les établissements ne proposent pas ces spécialités, il est donc important pour vous de vous informer.

Ainsi vous pouvez passer un : :

  • BAC SCIENCES AGRONOMIQUES
  • BAC SCIENCES ÉCONOMIQUES
  • BAC TECHNIQUES DE GESTION ET COMPTABILITÉ
  • SVT BAC
  • BAC LETTRES
  • BAC SCIENCES MATHÉMATIQUES A
  • SCIENCES HUMAINES
  • BAC SCIENCES MATHÉMATIQUES B
  • SCIENCES DE LA CHARIAA
  • LANGUE ARABE
  • ARTS APPLIQUÉS
  • BAC SCIENCES PHYSIQUES
  • BAC SCIENCES ET TECHNOLOGIES ÉLECTRIQUES
  • BAC SCIENCES ET TECHNOLOGIES MÉCANIQUES

Comment s’orienter en fonction de ses études supérieures ?

Comment s’orienter en fonction de ses études supérieures

Il n’y a pas de spécialités plus pertinentes ou plus faciles !

Il est crucial d’évaluer :

1. Quelles sont vos forces

2. Quels sont vos centres d’intérêt

3. Quels sont vos objectifs d’avenir

En fonction, rapprochez-vous de vos professeurs et de vos conseillers d’orientation qui vous donneront leurs éclairages sur la spécialité la plus optimale pour vous en fonction de ces trois critères.

La spécialité que vous choisissez au Bac ne vous enferme pas !

Après un bac général, de nombreuses opportunités d’études supérieures s’offrent à vous, et le champ des possibles est vaste !

Il est possible pour un bachelier de s’inscrire dans n’importe quelle filière d’études supérieures.

Cependant, il faut penser à faire des choix logiques qui vous permettront de gagner du temps !

Par exemple si vous pensez choisir des études de vétérinaire, un Bac arts appliqués n’est pas la passerelle la plus pratique !

Pour des études en commerce et management, la majorité des Bac généraux vous permettent de rejoindre ces filières, avec une facilité apportée par les disciplines abordées dans les Bac sciences économiques, Bac technique de gestion et comptabilité, Bac sciences humaines.

Notre conseil ?

Ne vous fermez aucune porte lors du choix de votre spécialité ! Choisissez la spécialité dans laquelle vous êtes le plus à l’aise, mais qui reste assez étendue pour ne pas vous cantonner à des études superieurrs trop spécialisées. 

BAC 2022 : QUELLES SPÉCIALITÉS CHOISIR POUR QUELLES ÉTUDES SUPÉRIEURES ?

 

Dès la fin de la seconde, au Maroc, vous devez opter pour 3 spécialités que vous suivrez en première. Un choix loin d’être anodin, car vous pensez également à vos études supérieures et au secteur professionnel qui vous intéresse le plus au moment de prendre votre décision ! Pour vous aider à mieux choisir vos spécialités, nous faisons le point !

Comment fonctionne le système du Bac au Maroc ?

commet fonctionne le systeme du bac au maroc

Au Maroc, le système scolaire est pensé pour permettre une spécialisation scientifique ou technique qui va ensuite conditionner l’accès à l’enseignement supérieur et au monde professionnel.

Au lycée, le programme d’enseignement se concentre sur l’acquisition par l’élève de connaissances générales qui lui permettront de s’intégrer socialement et culturellement, avec une appétence pour l’histoire et les codes de son pays et de son histoire.

Il s’agit également d’ouvrir l’étudiant à d’autres cultures et fonctionnements, et de s’intéresser aux codes humains, à travers notamment l’apprentissage des matières scientifiques et littéraires.

Trois sections composent cet enseignement au Maroc :

» les sciences expérimentales

» les lettres modernes

» les sciences mathématiques

Trois types de matières y sont obligatoires :

1- Mathématiques-Sciences naturelles-Sciences physiques ;

2- Littérature-Langues-Instruction islamique-Éducation physique-Traduction

3- Sciences sociales (géographie et histoire)

Pourquoi choisir une spécialité est important ?

Pourquoi choisir une spécialité est important

Choisir sa spécialité est un choix important, car il va déterminer les matières qui pèseront le plus dans la balance pour vous ! Si vous n’êtes pas bon en maths, il est donc évident que mieux vaut éviter cette spécialité. L’idée de la spécialité est de valoriser vos points forts et de miser dessus !

Au lycée au Maroc, il existe plusieurs types de formation :

  • Un enseignement professionnel de courte durée qui s’intègre dans un cycle de formation professionnelle qualifiante. Le cycle menant à la qualification professionnelle découle sur le diplôme de qualification professionnelle (DQP). Il est accessible aux élèves qui sont détenteurs du brevet d’études collégiales (BEC)
  • Des formations techniques, professionnelles et générales réparties en deux cycles :
  • Le tronc commun qui dure une année
  • Le baccalauréat de deux ans qui comprend deux branches principales, la branche technologique et professionnelle et la filière générale.

Le bac technologique et professionnel apporte des compétences techniques et est sanctionné par le BETP (baccalauréat d’enseignement technologique et professionnel) qui permet :

–D’accéder à la vie professionnelle

–De s’inscrire dans les écoles de formation pour techniciens

–D’accéder aux prépas des grandes écoles.

–De s’inscrire dans une université tout en étant en phase avec les conditions d’admission de chaque établissement.

Le bac général apporte toutes les bases requises pour entreprendre des études universitaires, postuler aux grandes écoles et établissements d’enseignement supérieur.

Quelles sont les spécialités proposées au Bac général  au Maroc ?

Dès la première, au Maroc, 13 spécialités sont proposées à l’élève :

– Arts ;

– Biologie & écologie ;

– Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques ;

– Humanités, littérature et philosophie ;

– Langues, littérature et culture étrangère et régionale ;

– Littérature, Langues et cultures de l’Antiquité ;

– Mathématiques ;

– Numérique et sciences informatiques ;

– Physique-chimie ;

– Sciences de la vie et de la Terre ;

– Sciences de l’ingénieur ;

– Sciences économiques et sociales ;

– Éducation Physique, Pratiques et Culture Sportives

Cependant, tous les établissements ne proposent pas ces spécialités, il est donc important pour vous de vous informer.

Ainsi vous pouvez passer un : :

  • BAC SCIENCES AGRONOMIQUES
  • BAC SCIENCES ÉCONOMIQUES
  • BAC TECHNIQUES DE GESTION ET COMPTABILITÉ
  • SVT BAC
  • BAC LETTRES
  • BAC SCIENCES MATHÉMATIQUES A
  • SCIENCES HUMAINES
  • BAC SCIENCES MATHÉMATIQUES B
  • SCIENCES DE LA CHARIAA
  • LANGUE ARABE
  • ARTS APPLIQUÉS
  • BAC SCIENCES PHYSIQUES
  • BAC SCIENCES ET TECHNOLOGIES ÉLECTRIQUES
  • BAC SCIENCES ET TECHNOLOGIES MÉCANIQUES

Comment s’orienter en fonction de ses études supérieures ?

Comment s’orienter en fonction de ses études supérieures

Il n’y a pas de spécialités plus pertinentes ou plus faciles !

Il est crucial d’évaluer :

1. Quelles sont vos forces

2. Quels sont vos centres d’intérêt

3. Quels sont vos objectifs d’avenir

En fonction, rapprochez-vous de vos professeurs et de vos conseillers d’orientation qui vous donneront leurs éclairages sur la spécialité la plus optimale pour vous en fonction de ces trois critères.

La spécialité que vous choisissez au Bac ne vous enferme pas !

Après un bac général, de nombreuses opportunités d’études supérieures s’offrent à vous, et le champ des possibles est vaste !

Il est possible pour un bachelier de s’inscrire dans n’importe quelle filière d’études supérieures.

Cependant, il faut penser à faire des choix logiques qui vous permettront de gagner du temps !

Par exemple si vous pensez choisir des études de vétérinaire, un Bac arts appliqués n’est pas la passerelle la plus pratique !

Pour des études en commerce et management, la majorité des Bac généraux vous permettent de rejoindre ces filières, avec une facilité apportée par les disciplines abordées dans les Bac sciences économiques, Bac technique de gestion et comptabilité, Bac sciences humaines.

Notre conseil ?

Ne vous fermez aucune porte lors du choix de votre spécialité ! Choisissez la spécialité dans laquelle vous êtes le plus à l’aise, mais qui reste assez étendue pour ne pas vous cantonner à des études superieurrs trop spécialisées. 

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