Le cerveau est certes un territoire énigmatique, mais depuis une cinquantaine d'années, la science a élucidé certains de ses mystères. Aujourd'hui, on utilise non seulement des produits pharmaceutiques pour intervenir dans sa chimie, mais aussi diverses technologies pour en modifier les mécanismes physiques. Ainsi, simplement en écoutant des enregistrements conçus à cet effet ou à l’aide de petits appareils émettant des signaux lumineux, semblables à des stroboscopes, on peut accélérer ou ralentir les ondes cérébrales ou encore synchroniser les ondes de l'hémisphère droit avec celles de l'hémisphère gauche.
Les effets recherchés sont variés et pas toujours orthodoxes sur le plan scientifique : améliorer le sommeil ou les fonctions immunitaires, surmonter la timidité, apprendre en accéléré, développer la créativité, mais aussi atteindre ce qu'on appelle des états « non ordinaires » de conscience - notamment pour faire des rêves éveillés ou des voyages hors du corps. Précisons que non ordinaire ne veut pas dire artificiel, mais qu'il s'agit plutôt d'états peu courants - on pourrait dire exigeant une disponibilité peu compatible avec notre mode de vie habituel.
Dans les différentes zones du cerveau, l'influx nerveux fonctionne en relative cohérence et de façon rythmique : les neurones s'activent ensemble (plus ou moins), comme une pulsation, puis se calment, puis s'activent de nouveau. Grâce à de petites électrodes placées sur le cuir chevelu et reliées à un appareil appelé électroencéphalographe (EEG, inventé en 1929), le rythme de ces pulsations peut se traduire en forme d’ondes.
L'intensité de l'activité cérébrale se manifeste par la fréquence de ces ondes. On les calcule en hertz (Hz) - un hertz égalant une ondulation par seconde. Si le graphique enregistré par l'EEG est plat, c'est qu'il n'y a pas d'activité cérébrale. Quant aux ondes générées par un cerveau actif, on les divise en 4 ou 5 fourchettes, dont les appellations viennent du grec ancien :
Mentionnons par ailleurs que le cerveau est divisé en deux hémisphères, puis en plusieurs aires, chacune ayant une fonction importante : aires du langage, de la sensibilité corporelle, de l'émotion, etc. En ce qui concerne les hémisphères, on sait qu'ils fonctionnent le plus souvent dans une relative indépendance, et que le gauche, généralement dominant, est le siège de la logique et du rationnel, tandis que le droit est celui de la créativité.
La fréquence des ondes cérébrales varie donc selon le type d'activités dans lequel on est engagé, mais les individus non entraînés ont relativement peu de contrôle sur celles-ci. Trop de stress, par exemple, et le système nerveux n'accepte pas de se détendre : les ondes cérébrales continuent alors de se maintenir dans la fourchette bêta et il est impossible de trouver le sommeil...
D'autre part, on avance que les meilleures ressources mentales pour la créativité et la résolution de problèmes se situeraient dans la fourchette des ondes thêta, auxquelles, malheureusement, on n'accède pas facilement.
Plusieurs phénomènes extérieurs peuvent influencer le rythme des ondes cérébrales. La science a découvert que c'est généralement un effet de résonance qui est en cause, comme lorsqu’une note jouée au piano fait vibrer à l'unisson une corde de guitare. Le battement régulier des tambours de même que le chant grégorien ou des activités physiques rythmées comme la marche procurent, à la longue, cet effet. Désormais, la technologie moderne permet d'atteindre ces résultats en un rien de temps.
En effet, certains types de pulsations sonores émises directement dans les oreilles peuvent induire, accélérer ou ralentir la fréquence des ondes en fonction du résultat recherché. Pour améliorer la qualité de détente et favoriser le sommeil, par exemple, on « invite » le cerveau à ralentir le rythme de ses ondes, qui pourraient graduellement passer de 14 à 4 Hz. On peut aussi améliorer la cohérence de l'influx nerveux des neurones, ce qui se traduit sur l'EEG par des ondes d’une plus grande amplitude.
Toutes sortes de compagnies produisent des disques de musique jouant sur ce principe de résonance, généralement avec des fréquences de 3 à 8 Hz, pour favoriser l'apprentissage et surtout la détente. On y combine parfois des injonctions parlées capables d'induction hypnotique — pour arrêter de fumer, par exemple. Une compagnie a même donné le nom « d'audiocaments » (marque déposée) à des produits de ce genre1.
S'agit-il de messages subliminaux? En principe, non. D'ailleurs, les entreprises inscrivent généralement une note sur leurs produits pour déclarer que ceux-ci ne contiennent aucun message subliminal pouvant représenter un viol psychologique. Certaines personnes s'inquiètent quand même2.
Modifier le rythme des ondes cérébrales, c'est une chose, mais faire adopter le même rythme par les 2 hémisphères du cerveau, c'est un pas de plus, semble-t-il. La théorie veut que plus les hémisphères fonctionnent au même rythme, plus grand est le bien-être. On croit même qu’un fonctionnement « intégré » des 2 hémisphères favorise de meilleures performances mentales et intellectuelles, puisque la logique (cerveau gauche) et la créativité (cerveau droit) agissent alors en synergie.
Un moyen d'y arriver a été découvert en 1973 par le Dr Gerald Oster, à l'École de médecine du Mont Sinaï, à New York : cela s'appelle les « battements binauraux » (qui concernent les deux oreilles). Lorsque, avec des écouteurs, on fait entendre une fréquence différente à chaque oreille, le cerveau adopte le rythme de la différence entre les 2 fréquences : si l'oreille gauche reçoit une fréquence de 210 Hz et la droite, de 200 Hz, les neurones des 2 hémisphères du cerveau adopteront une activité de 10 Hz, la fréquence différentielle. On appelle ce mécanisme la « réponse d'adoption de la fréquence ».
Apparemment, on ne peut pas jouer ainsi avec n'importe quelles fréquences, mais les chercheurs de l'Institut Monroe3, l'entreprise la plus active dans le domaine de la technologie de la synchronisation cérébrale, disent avoir découvert une cinquantaine de combinaisons dont les effets sur le cerveau seraient particulièrement bénéfiques. Robert Monroe, aujourd'hui décédé, a fait breveter ce procédé en 1975 et a conçu une série d'outils connus sous le nom de Hemi-Sync. Les plus simples sont des enregistrements sonores dans lesquels les signaux hertziens sont camouflés sous divers sons plus ou moins musicaux. On retrouve également des appareils plus complexes combinant ondes sonores et impulsions visuelles.
Pour faciliter le sommeil, par exemple, la fréquence différentielle des battements binauraux évolue lentement de 8 Hz à 2 Hz, favorisant donc le passage, en 40 minutes, d'un état de relaxation léger (8 Hz) à un état de transe profonde (2 Hz).
L'Institut Monroe affirme sur son site que ses produits sont susceptibles de faire « se concentrer les ressources du cerveau, de l'esprit et du corps pour atteindre divers buts », entre autres :4
Mis à part ceux de l’Institut Monroe, de nombreux autres produits sont offerts sur le marché, surtout pour favoriser la relaxation et la créativité. La synchronisation des ondes cérébrales est également utilisée dans le domaine de la motivation, tant pour les gens d'affaires et les sportifs, que pour ceux voulant atteindre des objectifs personnels. On parle d'ailleurs d'« entraînement mental » et de « neurodynamique ».
http://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=synchrotherapie_th
Tout test n'est en réalité qu'un indice qui doit vous aider à mieux vous connaître. Vous pouvez aussi y ajouter vos facteurs de motivation, sans oublier aussi de tirer leçon de vos stages et de vos expériences professionnelles. Pourquoi vous êtes-vous épanoui dans ce stage ? Qu'avez-vous aimé ? Dans quelles situations êtes-vous à l'aise ? Ou au contraire, quand êtes-vous en difficulté ? Posez-vous ses questions régulièrement.
Pour faire le point, il peut être très utile de discuter avec quelqu'un : conseiller d'orientation, famille, professeurs... Mais là encore, n'attendez pas que votre interlocuteur vous dise "quel métier vous devez faire"... car personne ne pourra vivre et travailler à votre place !
http://www.reussirmavie.net/Pour-quels-metiers-etes-vous-fait_a1524.html
On parle beaucoup de détox en minceur pour purifier son organisme et chasser les toxines. Mais le cerveau aussi a parfois besoin de nettoyer le négatif pour se remplir d'énergie positive. En ce début d'année, une "diète" émotionnelle s'impose. Mode d'emploi.
On limite les informations anxiogènes
A moins de vivre retirée en ermite dans une forêt des Landes (et encore), il est bien difficile (surtout en ce moment) d'être sourd à l'actualité dramatique des derniers jours. Mais à force, le suivi de ce flux d'informations sur les réseaux sociaux et les chaînes en continu peut faire tomber notre moral au niveau des nappes phréatiques. Si vous sentez que ces sources d'information "pompent" trop votre énergie, il est peut-être temps de réduire votre temps d'exposition. Cette mini-diète médiatique doit vous permettre de vous ressourcer en bonnes ondes, pour repartir éventuellement vers une consommation médiatique plus raisonnée.
On s'éloigne des relations toxiques
Ce nettoyage émotionnel passe aussi par une mise à distance des relations toxiques. Vous avez peut-être des personnes de votre entourage qui vous sapent l'ambiance à chaque fois que vous les voyez. Cela peut-être une collègue qui joue les Cassandre dès que vous la croisez, ou ce voisin qui passe son temps à geindre, ou cette connaissance qui raconte ses malheurs dès que vous la voyez. Fuyez-les !
On diminue les activités chronophages et improductives
On a toutes des habitudes que l'on répète inlassablement sans s'en rendre compte et qui ne nous apportent au final aucun réconfort ou aucun intérêt, en dehors celui de nous gaspiller du temps et de l'énergie. La liste d'exemples est infinie : consulter sa boite mail toutes les deux minutes, regarder son portable pour voir si on a un message 50 fois par jour, jouer à Candy crush ou autres jeux en ligne aussi addictifs que le sucre...
Une fois que vous avez fait le point sur ces fâcheuses manies, ne reste plus qu'à tenter de vous en défaire en les remplaçant pas d'autres, beaucoup plus épanouissantes.
On se nourrit en bonnes ondes
Après avoir fait le tri entre ce qui nous fait du bien et ce qui nous coûte beaucoup, on dresse une liste des petites choses du quotidien qu'on aime faire ou qu'on aimerait faire : lire une bande-dessinée, regarder une comédie, faire un soin en institut, écouter de la musique entraînante, faire du coloriage, boire un thé avec ses copines... On se ménage du temps pour profiter de ces plaisirs et on cultive ainsi dans son cerveau un jardin d'inspirations et de pensées positives.
http://www.topsante.com/forme-et-bien-etre/detente/antistress/anxiete-on-se-fait-une-detox-du-cerveau-75325
Être parent est un parcours aussi extraordinaire qu’éprouvant!! En fait, quand nos enfants vivent des périodes d’individuation, c’est plus confrontant qu’autre chose. Car voir nos enfants agir de façon tragique, et, qui plus est, en public, nous touche au plus profond de nous-même. Nos peurs émergent. Celle de ne pouvoir réaliser notre rêve le plus important : être heureux en famille.
Avoir des enfants épanouis. Responsables. Empathiques. Nous sommes aussi souvent confrontés au fait que nous n’avons pas toujours les outils pour les mettre en pratique: dans la spirale de l’émotivité, nous en venons à douter de nos compétences parentales ou à douter que notre enfant possède les outils et les compétences nécessaires pour s’épanouir.
Parent parfait
Face à tout cela, il nous arrive souvent de réagir intensément et d’une façon que nous regrettons amèrement. Nous voyons que nous avons :
•Des idéaux de parentalité difficiles à mettre en pratique
•Un rêve d’une famille heureuse qui ne se réalise pas au rythme que nous souhaiterions et comme nous l’imaginions
•Des limites physiques, émotionnelles et mentales à résoudre
•Des grandes peurs de ne pas être à la hauteur et d’élever un enfant de la mauvaise façon
•Des jugements de soi, de notre enfant et une peur du jugement des autres
Parfois, nous allons trop loin et nous avons ensuite tendance à crouler sous la culpabilité:
•Nous nous sentons coupable de crier, de perdre patience
•Nous nous jugeons comme étant un mauvais parent, incapable et indigne
•Nous restons coincés dans une spirale de jugements qui nous empêchent d’avancer et de voir que nous pouvons apprendre de nos erreurs et faire autrement, une prochaine fois. Plus calmement, plus respectueusement, à chaque fois.
Pour avancer, passons de parent parfait à parent apprenant:
•Nous apprenons à vivre et à évoluer en faisant des erreurs. Voyons-les comme des opportunités d’apprendre à réajuster son tir, une prochaine fois
•Au lieu de se faire violence avec la culpabilité (jugements de soi), voyons que nous avons, au fond, besoin d’exprimer notre regret et de reconnaître l’impact de nos gestes, avec bienveillance pour soi et pour l’autre
•Nous faisons de notre mieux avec les ressources que nous avons, à chaque moment
•Cheminons vers la bienveillance, dans le respect de notre rythme et dans la confiance que nous avancerons, petit à petit!
Apprenons à exprimer du regret en vue de restaurer la connexion
Rien ne nous empêche de revisiter des dialogues pour restaurer la connexion et reformuler avec bienveillance, ce que nous avions dit de manière tragique, dans le moment
Voici un exemple tiré de ma vie personnelle, avec des mots adaptés au tempérament de mon fils et à son âge pour qu’il me comprenne bien.
-Henri? Puis-je te parler?
-Oui.
-Je voulais faire un retour sur ce qui s’est passé, tantôt. J’ai royalement pété un câble!
-Oui!
-Je n’étais pas en mesure de me calmer, dans le moment. Je suis reconnaissante que papa m’ait demandé de prendre une pause, parce que je disais ma colère d’une manière totalement inacceptable.
-Oui, j’ai eu de la peine.
-Tu as eu de la peine parce que tu croyais ce que je disais (montrant ma bouche)?
-Oui et non.
-Au cas où, je te rappelle que c’est ma colère qui a parlé et elle s’est exprimée de manière très tragique. Elle a accusé. Elle a blâmé. Elle a parlé de TOI. Au fond, ma colère voulait parler de MOI et de mes besoins. Dans ce moment, j’étais trop prise dans mon émotivité pour le faire. Maintenant, je suis calme.
-Oui, ça m’arrive. (silence) Tu sais, j’ai eu un peu peur.
-Oui, lorsque je suis dans cet état, tu sens que je ne suis pas à l’écoute de toi et tu ne sais pas à quoi t’attendre?
-Exactement.
-Je m’excuse. J’ai appris qu’il est préférable que j’en parle plus tôt, au lieu d’accumuler ma frustration et la décharger sur les autres. Je souhaite être responsable de ma colère et la dire avec respect.
Tu sais, personne, mais, personne n’a le droit de te brutaliser avec les mots ou avec des gestes. Pas moi. Pas toi. Pas un policier. Pas un enseignant. Personne.
-Oui.
-Me permets-tu de te redire avec respect ce que ma colère voulait dire tantôt?
-Oui, je veux bien comprendre.
-Au fond, ce que j’essayais de dire, c’est que j’ai besoin d’être considérée et rassurée. Lorsque je te demande de fermer l’ordinateur, tel que convenu et que tu ne le fais pas, la partie de moi qui a peur que tu brises notre 8e entente au sujet du temps d’écran est toute inquiète et énervée. Elle veut trouver une façon efficace pour nous de gérer l’écran, dans le respect de tous.
Que m’entends-tu dire?
-Que tu aimerais que je respecte notre entente.
-Oui, c’est ça.
-Je comprends, maman.
-Je veux te rappeler que je t’aime même lorsque je sens la colère monter en moi.
-Oui, je le sais, maman.
-Veux-tu ajouter quelque chose?
-Non. Ça va.
(Câlins)
http://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/parent-parfait.html#sthash.liTCqr3t.dpuf
Dans un documentaire intitulé "Le ventre, notre deuxième cerveau" diffusé il y a quelques mois sur Arte, la chaîne de TV faisait le point le point sur des recherches très récentes menées sur l'influence du ventre sur le cerveau.
Les parois de notre intestin sont tapissées de 200 millions de neurones
Ce réseau de neurones, réparti tout au long de notre tube digestif, joue un rôle dans la digestion bien sûr, mais il agit aussi sur notre cerveau par des voies que les chercheurs commencent à peine à identifier.
Cette interaction à distance peut notamment passer par des neurotransmetteurs, des petites molécules par l'intermédiaire desquelles les neurones communiquent entre eux. Par exemple, la sérotonine est un neurotransmetteur qui, au niveau des neurones de notre ventre, rythme le transit intestinal et régule le système immunitaire.
Mais les chercheurs ont découvert qu'une petite partie de cette sérotonine passe dans la circulation sanguine et remonte jusque dans notre tête. Et là elle va pouvoir agir sur les neurones de notre cerveau qui eux aussi se servent de la sérotonine comme messager mais pour d'autres tâches comme la régulation de nos émotions. Voilà comment les neurones du ventre s'invitent dans la gestion de nos émotions.
On savait depuis longtemps que nos états émotionnels pouvaient agir sur notre ventre et les scientifiques sont en train de découvrir que l'inverse est aussi vrai. Notre ventre peut influencer nos émotions.
Certaines maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson pourraient trouver leurs origines dans notre ventre. C'est une hypothèse sur laquelle travaillent des chercheurs à l'hôpital de Nantes. Ils ont déjà montré que la maladie de Parkinson engendre les mêmes lésions sur les neurones de l'intestin que sur ceux du cerveau. A l'avenir il pourrait donc devenir possible de diagnostiquer cette maladie avec une simple biopsie intestinale. Une intervention bien moins risquée qu'une biopsie du cerveau.
L'idée de se servir du ventre comme une fenêtre sur le cerveau gagne du terrain. Les chercheurs voudraient tester cette approche pour d'autres maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer.
Plus inattendu, notre cerveau serait aussi sous l'influence des bactéries qui peuplent notre tube digestif. Ces bactéries sont particulièrement nombreuses : 100.000 milliards. Elles constituent un véritable écosystème que les scientifiques appellent le microbiote. Il est différent pour chacun d'entre nous et nous est très utile : les bactéries qui le composent digèrent des aliments que nous ne pourrions pas digérer sans elles.
Un biologiste de l'Université McMaster au Canada, Stephen Collins a remarqué que des souris sans microbiote, c'est-à-dire ne portant en elles aucune bactérie se comportent de façon étrange. Elles prennent plus de risques et se mettent davantage en danger. Mais lorsque l'on introduit dans leur tube digestif une flore bactérienne, leur comportement change : elles deviennent plus prudentes.
Cela a conduit le chercheur canadien à mener une expérience encore plus surprenante. Il a choisi deux lignées de souris différentes : l'une présentant un comportement particulièrement actif et téméraire et l'autre beaucoup plus calme. Puis il a administré à chaque lignée le microbiote de l'autre.
Résultat : Les souris agitées, après avoir reçu les bactéries des souris calmes, se sont complètement assagies. Et inversement, les souris calmes sont devenues beaucoup plus agressives après avoir ingéré les bactéries des souris agitées.
Cette expérience démontre que, chez les souris, les bactéries présentes dans le tube digestif ont une influence importante sur le comportement et donc sur le cerveau.
http://www.franceinfo.fr/emission/info-sciences/2013-2014/l-influence-du-ventre-sur-le-cerveau-01-31-2014-12-55
1. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
2. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
3. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
4. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
7. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...
8. Par daya le 2022-09-22
j'apprécie votre site