La meilleure période pour mémoriser se situe avant trente ans. En effet les capacités de concentration sont meilleures. Un lycéen peut par exemple apprendre ses cours tout en écoutantde la musique alors qu'une personne de plus de quarante ans aura besoin d'un peu plus de silence, de concentration.
L'âge n'est pas le seul facteur à entrer dans ce système, la mémorisation dépend du sexe et même de nos gènes. Sachez par exemple que les femmes ont une meilleure mémoire lorsque le langage entre en jeu. Les hommes seraient plus efficaces pour retenir une vision spatiale des choses. L'éducation et le métier qui sont exercés vont conditionner également les capacités de mémoire. Mais la mémoire s'entretient et se travaille ! Et cela commence tout petit à l'école primaire avec la répétition d'un poème.
La formation de la mémoire à long terme se fait en plusieurs étapes.
Le moindre dysfonctionnement de l'un de ces processus est susceptible d'induire un trouble mnésique spécifique. C'est la raison pour laquelle notre mémoire est si fragile.
0.2 seconde Attention
Le cerveau ne peut absorber qu'une quantité limitée de données sensorielles à la fois. Il peut soit capter un échantillon de différents éléments simultanément, soit se concentrer sur un fait unique et en extraire beaucoup d'informations. L'attention incite les neurones qui enregistrent l'évènement à s'activer plus souvent, ce qui rend l'expérience plus intense et augmente les chances que l'évènement soit encodé comme un souvenir.
Se concentrer sur un évènement aide à s'en souvenir, un peu comme une photo instantanée.
0.25 seconde Emotion
Les expériences fortes en émotions, comme la naissance d'un enfant, ont plus de chances d'êtres mémorisées car l'émotion accroît l'attention. Les informations émotionnelles venant d'un stimulus passent par une voie inconsciente qui conduit à l'amygdale, induisant ainsi une réponse émotionnelle avant même que nous soyons conscients que nous réagissons. Certains faits traumatisants sont stockés en permanence dans l'amygdale.
Les interactions personnelles captent l'attention et ont plus de chance d'être stockés.
L'amygdale maintient les expériences émotionnelles "vivantes" en les repassant en boucle, ce qui contribue à les encoder comme souvenirs.
0.2 - 0.5 seconde Sensation
La plupart des souvenirs sont issus d'évènements incluant des expériences visuelles, auditives et plus généralement sensorielles. Plus les sensations sont intenses, plus elles sont susceptibles d'être mémorisées. La partie "sensations" des souvenirs épisodiques peut ensuite être oubliée, cédant la place à des informations factuelles. Ainsi, notre première expérience visuelle de la tour Eiffel peut être réduite à la simple apparence de la tour. Lorsque la tour est évoquée, une image"fantôme" codée dans l'aire visuelle est produite.
Les perceptions sensorielles comme le goût, la vue ou l'odorat sont la matière première des souvenirs.
0.5 seconde-10 minutes Mémoire de travail
Il semble que la mémoire de travail implique deux circuits neuronaux (les différents types de mémoire) dans lesquels les informations sont stockées aussi longtemps que nécessaire.
Le premier circuit concerne les informations visuospatiales, le deuxième les données auditives. Ces circuits englobent les cortex sensitifs dans lesquels les expériences sont enregistrées et les lobes frontaux où elles sont stockées consciemment. Le flux d'information à l'intérieur et autour de ces circuits est contrôlé par les neurones du cortex préfrontal.
10 minutes - deux ans Traitement par l'hippocampe
Les expériences vraiment frappantes quittent la mémoire de travail pour rejoindre l'hippocampe où elles sont traitées. Les neurones hippocampiques codent ces informations en permanence suivantun processus appelé potentialisation à long terme (augmentation importante et durable de l'efficacité synaptique). L'hippocampe convertit les souvenirs à court terme en souvenirs susceptibles d'être présents à vie. Les données essentielles sont ensuite transmises aux régions du cerveau où elles ont d'abord été enregistrées.
Après deux ans Consolidation
Un souvenir a besoin d'environ deux années pour être consolidé, mais il peut quand même être transformé ou perdu par la suite. Lors de cette période, l'hippocampe joue un rôle central. Ce dernier est intégré dans un circuit neuronale dit de "Papez" (en référence à l'anatomiste James Papez qui l'a décrit, en 1937), un vrai travail de bibliothécaire. En passant par le corps mamillaire et le thalamus, l'information reçoit d'abord l'étiquette qui la date. Phase suivante, un petit tour par le gyrus cingulaire, l'information y est cataloguée, rapprochée des connaissances de même nature déjà acquises. Dernière étape, retour dans l'hippocampe où les données seront stockées.
http://lamemoirehumaine.over-blog.fr/article-la-formation-de-la-memoire-a-long-terme-63677889.html
Les parents d’adolescents démunis face à ce sentiment qu’ils éprouvent vis-à-vis de leurs enfants se posent alors des questions suivantes : pourquoi je ressens une telle colère ? Pourquoi me pousse-t-il à bout ? Pourquoi ne suis-je pas capable de garder mon calme ? Est-ce là la traduction d’un échec dans ma manière de l’éduquer ? Voici quelques réponses.
La colère est une émotion qui nous met le plus souvent dans l’embarras. C’est souvent le constat que quelque chose ou que quelqu’un nous a « poussé à bout ».
Et lorsque notre colère est dirigée vers nos enfants, nous nous sentons coupables à tort ou à raison de n’avoir pas su garder notre sang froid.
Les parents d’adolescents démunis face à ce sentiment qu’ils éprouvent vis-à-vis de leurs enfants se posent alors des questions suivantes :
– Pourquoi je ressens une telle colère ?
– Pourquoi me pousse-t-il à bout ?
– Pourquoi ne suis-je pas capable de garder mon calme ?
– Est-ce là la traduction d’un échec dans ma manière de l’éduquer ?
1. Prendre le temps d’analyser les sources de sa colère
Si ce phénomène est récurrent, il peut s’avérer utile de prendre un temps au calme et à distance d’un épisode de colère pour en analyser les raisons.
La colère arrive lorsque nous avons le sentiment d’avoir été trahi alors que nous avions mis notre confiance dans une situation ou une personne. Nous éprouvons alors l’impression de ne pas avoir été respecté.
C’est une vraie souffrance qu’il est bon d’écouter pour avancer.
2. Mettre des mots sur ses émotions
« Tu m’avais promis de ne plus me mentir au sujet de tes notes et je découvre que tu n’as pas respecté ta parole. Nous en avions pourtant longuement parlé et je suis déçu(e) »
« Je me sens trahi, blessé, triste et tout cela se traduit par ma colère »
Cette façon de parler « vrai » aura bien plus d’impact sur votre enfant que toutes les colères ou punitions du monde.
Une fois engagé, le dialogue peut alors se poursuivre en amenant le jeune à expliquer la raison de son comportement :
« Peux-tu m’expliquer la raison pour laquelle tu n’as pas fait ce que tu avais promis de faire ? Nous pouvons peut être ensemble y réfléchir et trouver des solutions pour que cela ne se reproduise pas à l’avenir »
3. Attribuer un degré d’importance aux situations
Les sources de mécontentement pour les parents d’adolescents sont multiples et variées. Si nous devions relever tout ce que nous réprouvons dans leur attitude, nous serions en permanence en colère contre eux.
Il convient préalablement de redéfinir les degrés d’importance pour mieux se concentrer sur l’objectif à atteindre et laisser de côté ce qui est secondaire et n’engage pas votre enfant dans une voie qui vous semble néfaste pour lui.
Prendre le temps régulièrement de clarifier ce qui vous semble essentiel et savoir le dissocier de tout ce qui vous irrite ou vous agace.
« Certes, le désordre de sa chambre me met hors de moi car je ne comprends pas qu’il puisse se complaire dans un tel capharnaüm, mais j’observe qu’il semble épanoui et qu’il réussit plutôt bien en classe et cela me suffit à être rassuré(e) pour son avenir».
..Suis-je prêt(e) alors à accepter qu’il ne se plie pas à toutes mes exigences ?
…Vais-je me sentir défaillant en tant que parent si je n’interviens pas quand ses vêtements sales jonchent le sol ?
Une mère de famille me confiait récemment qu’elle avait résolu le problème de façon satisfaisante avec ses deux fils âgés respectivement de 15 et 17 ans.
Après avoir passé des années à entrer dans des colères noires lorsqu’elle découvrait le désordre qui régnait dans leurs chambres, elle avait déterminé ce qu’elle était en mesure d’accepter d’une part et de refuser catégoriquement d’autre part.
Il était hors de question qu’elle range, nettoie ou même entretienne leur linge s’ils ne se pliaient pas à une règle simple : les vêtements sales devaient être déposés à la buanderie et récupérés ensuite pour être rangés. L’aspirateur devait être passé une fois par semaine. Pour le reste, elle n’intervenait jamais respectant ainsi leur espace et s’interdisant même d’y pénétrer.
4. Avoir de l’estime pour soi
Enfin, on ne peut aborder le thème de la colère sans parler de l’estime de soi. Car très souvent la colère puise sa source dans une mauvaise image de nous. Il faut alors remonter dans notre histoire personnelle pour comprendre combien les blessures d’enfant sont réactivées par des situations que nous vivons dans nos vies d’adultes. Ainsi, on est mieux à même de comprendre la raison pour laquelle nous nous emportons de façon parfois excessive face à des situations que nous aimerions gérer de façon plus paisible.
« Lorsque je m’aperçois que mes enfants ou mon conjoint ne respectent pas le mal que je me donne pour garder cette maison propre cela fait remonter en moi un sentiment que j’ai connu enfant lorsque mes parents ne respectaient pas mes droits les plus élémentaires »
Ainsi nos colères d’adultes, lorsqu’elles deviennent trop fréquentes, méritent qu’on aille revisiter notre passé et l’aide d’un thérapeute peut s’avérer utile.
(*) Rappelons que le terme « adolescent » provient du latin « esso » qui signifie « devenir »
http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/vivre-avec-les-adolescents-quand-la-colere-vous-emporte/
Le Dr Bernard Croisile, neurologue et vice-président scientifique HAPPYneuron, vous donne « 7 trucs » pour prendre en main votre santé cérébrale
C'est une très belle histoire, elle vaut la peine que l'on réfléchisse sur notre relation avec les autres.
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Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus gentil au sujet de chaque camarade et de le noter à côté de chacun des noms. Cela pris toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.
Le week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrites au sujet de chacun.
Le lundi, elle donna à chaque élève sa liste.
Peu de temps après, tous souriaient.
« Vraiment ? » entendait-on chuchoter...
Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un !
« Je ne savais pas que les autres m'aimaient tant » étaient les commentaires que l'on entendait dans la salle de classe.
Personne ne parla plus jamais de cette liste. La prof ne savait pas si les élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela n'avait pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction. Les élèves étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres.
Quelques années plus tard, un élève tomba, mort au Vietnam et la prof alla à l'enterrement de cet élève.
L'église était comble. Beaucoup d'amis étaient là.. L'un après l'autre, ils s'approchèrent du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en dernier et elle trembla devant le cercueil. Un des soldats présents lui demanda « Est-ce que vous étiez la prof de maths de Marc ? »
Elle hocha la tête et dit : « oui. » Alors il lui dit : » Marc a souvent parlé de vous. »
Après l'enterrement, la plupart des amis de Marc s'étaient réunis.
Les parents de Marc étaient aussi là et ils attendaient impatiemment de pouvoir parler à la prof.
« Nous voulions vous montrer quelque chose » dit le père de Marc et il sortit son portefeuille de sa poche. « On a trouvé cela quand Marc est tombé à la guerre.
Nous pensions que vous le reconnaitriez.. » Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être recollé, déplié et replié très souvent.
Sans le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles de la fameuse liste des élèves contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les camarades de classe au sujet de Marc.
« Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait. » dit la mère de Marc « Comme vous pouvez le constater, Marc a beaucoup apprécié ce geste.
Tous les anciens élèves se réunirent autour de la prof.
Charlie sourit et dit : J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier tiroir de mon bureau.»
La femme de Chuck dit : « Chuck m'a prié de la coller dans notre album de mariage.»
« Moi aussi, j'ai encore la mienne, » dit Marilyn « Elle est dans mon journal intime»
Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste toute usée aux autres personnes présentes. Je l'ai toujours avec moi, dit Vicky et elle ajouta : Nous l'avons tous gardée.
La prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura.
Elle pleurait pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.
Dans le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera.
C'est pourquoi, il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont importantes, qu'elles sont particulières et importantes.
Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.
Tu peux aussi le faire en continuant d'envoyer cette histoire. Si tu ne le fais pas tu vas rater une occasion de faire quelque chose de bien.
Si tu as reçu ce courriel c'est que quelqu'un pense à toi et que tu as de l'importance pour au moins une personne.
Si tu es trop occupé, et ne peux pas t'accorder quelques minutes pour l'envoyer,
Pense que tu récoltes ce que tu sèmes. Ce que l'on apporte dans la vie des autres, on le reçoit aussi dans sa propre vie en retour.
Ce jour doit être un jour béni et quelque chose d'aussi important que tu l'es. Ne te pose pas de question, joues-y tout simplement !
Cris, pleurs, découragement, questionnement sur sa motivation de continuer, envie d’abandonner, ras-le-bol, dégoût…voilà le petit lot quotidien de nombreux étudiants, en cette période de résultats de fin d’année. Eh oui, ça doit avoir été énorme par exemple à l’annonce des résultats du BAC.
;;;;;• Découragement
À tous ces étudiants au bord de l’abandon, tous ces parents, ces étudiants pour qui l’été a été « pourri » dès l’annonce des résultats de fin d’année, nous avons un message, un conseil pour vous. Nous adressons plus spécialement à ceux qui n’échouent pas pour la première fois, et qui en ont presque marre déjà, marre d’échouer et marre d’essayer. Alors, vous vous sentez fatigué, vous vous dites dépassé, découragé, lassé d'essayer? Vous avez échoué une fois, deux fois, trois fois,…et vous en avez vraiment marre? Vous en avez marre de toujours avoir cette mauvaise note en maths, en physique, en littérature? On a rendu les résultats de fin d’année et voilà, vous es encore à côté de la plaque? Vous pensez avoir déjà tout tenté, tout fait, et vous êtes sur le point d'abandonner?
;;;;;• Thomas Edison
Ok. Alors, pensez-vous avoir tout donné ? Combien de fois pensez-vous l'avoir déjà fait? Combien de fois à peu près avez-vous essayé? Maintenant, comparez ce chiffre au nombre de fois où le très connu Thomas Edison a dû répéter ses expériences toutes ratées, pour pouvoir aboutir à sa grande invention: la première ampoule électrique.
Savez-vous combien de fois il l'a fait? C'était dix mille fois. DIX MILLE. 10 000 expériences réalisées nuits comme jours, 10 000 tentatives toutes vouées à l'échec, et sans jamais se décourager, pourtant rien n'aboutissait. Dix mille essais, dix mille recommencements, dix mille répétitions, 10 000 fois l'échec. Réalisez-vous combien de fois valent DIX MILLE? Dix mille c’est 1000 fois, 10 fois ! Dix milles c’est cent fois, cent fois ! C'est énorme non ?! Et pourtant IL A CONTINUÉ, IL A ESSAYÉ, RESSAYÉ, encore, encore et encore, sans se décourager, sans JAMAIS ABANDONNER.
Résultat: malgré la souffrance, l'épuisement, l'impatience, l'envie de tout laisser tomber, et tout ce qu'il a enduré, il a fini par inventer l'ampoule électrique qui se retrouve aujourd'hui dans l'éclairage de tous les grands stades et grandes métropoles du monde, tous les hôtels, palais, immeubles et gratte-ciels, toutes les rues, toutes les avenues, et se retrouve jusque dans l'éclairage votre maison, votre lieu de travail, votre laboratoire, même ce lieu duquel vous êtes en ce moment en train de lire cet article, tous vos lieux d'étude, tous vos lieux de travail...disons, partout. Thomas Edison est à jamais rentré dans l’histoire de la science, il a marqué son temps, il a marqué l’histoire, et il est inoubliable !
;;;;;• Rien n'est joué
Vous aussi, même si vous vous dites que vous n'êtes pas un futur Thomas Edison, même si vous vous croyez tout petit et même « incapable », même si vos échecs dans vos études vous font vous sentir « nul », rien n’est encore joué, rien n’est fini. Même si vos mauvaises notes vous découragent et vous donnent l’envie d’abandonner, n’abandonnez pas, recommencez. Sachez que vous aussi vous avez un bel avenir qui vous attend, même si vous n’y croyez pas, pourvu que vous fassiez ce qu’il faut pour y arriver. Vous avez le pouvoir de faire que cet avenir soit le plus beau de tous, rien qu’en continuant de travailler.
« Il n'y a qu'une façon d'échouer, c'est d'abandonner avant d'avoir réussi. ». Olivier Lockert
;;;;;• Le sentiment de découragement est normal
Beaucoup d’étudiants rencontrent de grosses difficultés dans leur parcours, et il est tout à fait normal que vous vous sentiez découragé du fait que vous n’obtenez pas les notes que vous désirez. Cela veut simplement dire que vous avez encore des choses à améliorer dans votre manière de travailler, et puis si vous parvenez à améliorer ces choses, vous verrez le grand changement positif dans vos résultats. Peu importe ce que vous faites comme études, peu importe leur importance et leur portée, peu importe ce que vous attendez, peu importe les difficultés que vous rencontrez, peu importe les mauvaises notes que vous obtenez, peu importe les moqueries des autres personnes, peu importe la fatigue que vous ressentez en ce moment, peu importe le découragement qui essaye de vous envahir, peu importe, peu importe…, faites comme Thomas Edison…n’abandonnez pas.
;;;;;• Faites comme Thomas Edison !
On ne sait jamais à quelle étape se trouve notre succès, et on ne sait jamais à quel tournant il nous attend. Peut-être qu’il nous attend dans deux jours, peut-être ce soir même, peut-être dans une semaine, peut-être dans un mois, dans un an,…personne ne sait. Alors, si vous abandonnez aujourd’hui alors que votre succès vous attendait demain matin, voyez-vous combien vous aurez perdu? Vous aurez passé tout ce temps à le chercher, à le chercher, à le fouiller, à vous battre, pour ensuite abandonner, si proche du but. Personne ne sait quand arrivera le succès, et, comme l’a dit Olivier Lockert « Il n'y a qu'une façon d'échouer, c'est d'abandonner avant d'avoir réussi ». Faites comme Thomas Edison. Essayez, réessayez, réessayez encore, encore et encore, faites-le dix fois, cent fois, mille fois, dix mille fois, faites-le, encore, encore et encore, comme Thomas Edison. Il n'y a qu'une seule possibilité et un seul résultat pour vous à la fin: LE SUCCÈS. Il y a rien à faire: tôt ou tard, vous réussirez. Souvenez-vous que seuls les faibles abandonnent, et vous n’êtes pas faible ! Vous, vous n'es pas un faible, même si vous le croyez, ou même si on vous le fait croire. Alors, NEVER GIVE UP !
Pour finir: Relisez ce texte autant de fois que nécessaire. Relisez-le jusqu'à ce que ses lignes s'impriment dans votre cerveau, et rappelez-vous de lui dans toutes vos difficultés et toutes vos épreuves. Vos résultats de fin d’année ne sont pas bons, mais cela ne veut en rien dire que tout est fini pour vous. Au contraire, c’est l’occasion de vous asseoir, faire le bilan, vous réarmer d’énergie et d’envie, et avancer encore…vers le sommet où votre succès vous attend ! Ne vous préoccupez pas des autres, ne regardez pas ce qu’ils font ou ce qu’ils ont, mais focalisez-vous sur vos forces, vos points faibles (à améliorer), vos points forts (à utiliser), et foncez tout droit vers votre succès…qui vous attend !
Texte: Gervais Kamga (ABC champions.com)
http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/face-aux-difficultes-des-etudes-comment-reagir-1753-8-2.html
1. Par wassim le 2024-02-26
tres bien
2. Par fistone le 2023-07-09
Bon courage
3. Par mouna el achgar le 2023-07-09
je suis une enseignante de la langue française et cette année je vais enseigner pour la première fois ...
4. Par Salwa le 2023-03-18
Merci
5. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
6. Par Rbandez le 2022-11-19
Trés Bon resumé
7. Par El otmani le 2022-11-01
Bonjour Merci pour votre exemple je le trouve vraiment intéressant Auriez-vous un exemple pour une ...
8. Par Ben le 2022-10-26
C'est un des articles les plus complets qu'il m'a été donné de lire sur les blogs et l'enseignement ! ...