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Comment renforcer la confiance en soi

Définir la confiance en soi

 

Selon Direct 8, 75% des gens manqueraient de confiance en eux. Qui ne s’est jamais senti mal à l’aise face à une situation donnée, le plus souvent sans oser le dire et dont les projets professionnels se sont retrouvés entravés?

Un déficit, même mineur, de confiance en soi peut transformer certaines actions à mener en épreuves dévoreuses d’énergie: parler de soi en entretien d’embauche, convaincre un partenaire potentiel, prendre son téléphone, construire ou interagir avec son réseau etc… Et il n’y a pas d’échelle unverselle des actions difficiles à mener ou non: le sentiment d’inconfort va se loger là où le manque de confiance s’exprime, ce qui est très variable en fonction des personnes. Inutile donc de dire “Il n’y a rien à craindre” à une personne angoissée à l’idée de passer un entretien d’embauche, car la raison n’a rien à voir là-dedans.

En ces temps ou la norme nous dicte d’être extravertis et dynamiques, on associe un peu trop vite le manque de confiance en soi avec la timidité. Nul besoin d’être un timide introverti en retrait version carpe planquée sous un cailloux pour manquer d’assurance dans certaines circonstances. Car la confiance en soi, c’est l’idée que nous nous faisons de notre capacité à affronter une situation donnée. Du coup, il est à l’évidence impossible de se sentir sûr(e) de soi en permanence, car nous n’avons pas toutes les compétences nécessaires pour faire face à tout. Cependant, bien se connaître et reconnaître nos capacités permet de se sentir plus serein face aux aléas de nos vies professionnelles.

Les conséquences du manque d’assurance

Le malaise qui découle du manque de confiance peut générer une maladresse relationnelle bien pénalisante:

En bref, le manque de confiance en soi peut mener tout droit aux stratégies d’échec et à la procrastination

(Re)construire la confiance

Le manque d’assurance ou de confiance en soi n’est pas une fatalité: la confiance en soi se construit, se façonne et s’entretient au travers de techniques et d’actions concrètes. Martine Teillac, psychanalyste et psychothérapeute, lors d’une interview pour Direct 8, explique que ce travail de construction s’articule autour de trois aspects:

1- le discours intérieur 

Arrêtons d’exacerber nos défauts et d’oublier nos qualités. “Le dialogue intérieur (…) va conditionner notre comportement, explique Martine Teillac. Ca peut être des phrases très simples, par exemple je croise ma voisine qui ne me dit pas bonjour et je me dis “bon sang je suis nul(le)”. J’aurais pu penser “ma voisine a des préoccupations, elle n’a pas la tête à ça” et je ne me remets pas en question.”

En d’autres termes, repérons dans nos discours intérieurs tout ce qui est de l’ordre de la dévalorisation, de l’interprétation abusive qui nous déprécie et remplaçons ces pensées par un discours plus objectif (et non pas positif), de façon à éviter une dévalorisation paralysante et favoriser un regard sur soi plus bienveillant et motivant:

2- la construction de sa propre échelle de valeur: se détacher du passé

“Lorsque nous avons eu des parents qui ont mis systématiquement le doigt sur ce qui n’allait pas, on va avoir tendance à faire de même. Donc remettre le passé à sa place, reconsidérer les critiques des parents, leurs injonctions et construire notre propre système de valeurs, notre propre échelle personnelle”, conseille la psychanalyste.

L’éducation et les personnes qui s’en sont chargées nous ont transmis des wagons de croyances limitantes qui entretiennent un regard et un état d’esprit négatifs sur nous-mêmes. Leur rendre leurs convictions et construire des systèmes de croyances qui nous sont propres, qui correspondent à ce que nous pensons et ce que nous voulons aide à croire… en nous-mêmes. Quelques pistes pour remettre le passé à sa place et construire notre présent:

3- le passage à l’action accompagné de l’évaluation des talents mis en oeuvre 

Le passage à l’action, quitte à le faire à petits pas plutôt que de sauter dans le grand bain d’un coup, est la condition indispensable du renfrcement de la confiance en soi, car il nous apporte des preuves de nos capacités à chaque challenge relevé.

Martine Teillac propose d’auto-évaluer, sur une échelle de 1 à 10, notre confiance en nous dans des situations précises. “Il y a fort à parier que vous serez très rarement au point zéro de votre compétence, de votre savoir-faire ou savoir-être”. Réalisant cela, “vous allez prendre appui sur le fait que l’estimation que vous faisiez de vous-même était peut-être prodigieusement sévère et pas si en adéquation avec la réalité des comportements que vous mettez en oeuvre”.

Ce constat favorise le passage à l’action, car suite à cette prise de conscience et à l’analyse des compétences, ressources, qualités, talents dont nous disposons, nous sommes plus enclins à avoir envie d’agir, y compris en dehors de notre zone de confort. Renouons donc avec ces ressources:

 

http://www.ithaquecoaching.com/categories/relation-a-soi

Imaginer aide à améliorer ses performances

 

 
Pour améliorer ses performances, en sport notamment, quoi de mieux que la pratique ? Qu'est-ce qui pourrait être davantage efficace que répéter encore et encore les actions, les déplacements ou les mouvements que requiert une tâche donnée ? Selon certains scientifiques, la visualisation mentale serait la réponse. Imaginer par exemple les multiples façons dont le ballon pourrait arriver à vous si vous êtes gardien de but améliorerait vos performances le moment venu.

« L'idée selon laquelle nous pouvons entraîner notre cerveau à être plus performant est à la mode dans notre société, mais nos travaux suggèrent que le cerveau humain pourrait tirer autant de bénéfices, voire plus, en s'imaginant exécuter une tâche plutôt qu'en la répétant à plusieurs reprises. » C'est ce qu'affirme Geoffrey Woodman, co-auteur de l'étude en question, réalisée dans le centre de recherche sur la vision de l'université de Vanderbilt aux Etats-Unis.

Pour en venir à cette conclusion, les participants ont réalisé une tâche d'exploration sur ordinateur, requérant vitesse et concentration. Ils ont été amenés à visualiser une série d'images composées de plusieurs « C » (la lettre), disposés en couronne, chaque C variant dans son orientation. Pour chaque image ils ont dû déterminer le plus rapidement possible si une cible donnée, une lettre C rouge ou verte dans une orientation précise, était présente ou absente. La visualisation mentale et la pratique ont été testées et comparées : à un premier groupe, on a demandé aux participants de s'imaginer chercher la cible alors que ceux du second groupe ont eu droit à un essai d'entraînement avant le test.

Imaginer chercher la cible parmi des distracteurs s'est donc bien révélé plus efficace que pratiquer l'exercice au préalable, et a même permis aux participants de s'améliorer davantage au cours de l'expérience que ceux qui s'étaient entraînés.

Selon les auteurs, ces résultats montrent que l'imagination est plus efficace que la pratique car elle n'implique pas autant d'interférences visuelles, c'est-à-dire d'éléments intrus, en l'occurrence les autres lettres C, que la pratique. En effet, lors de la pratique, les intrus laissent des traces en mémoire qui vont perturber les performances de l'essai suivant. Au contraire avec l'imagination, puisque l'on se focalise sur la cible, les intrus reçoivent moins d'attention et interfèrent donc moins au cours de l'exercice.
 
 
Source : Reinhart R.M., McClenahan L. J., Woodman G.F. Visualizing Trumps Vision in Training Attention. Psychol Sci. 2015 May 11. pii: 0956797615577619. [Epub ahead of
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Trop de pression des parents peut nuire aux résultats scolaires

Education des adolescents

Les résultats scolaires des enfants sont une source de nervosité pour les parents. Mais une pression trop importante peut frustrer les élèves et conduire à l'effet inverse. 

Mettre trop de pression sur les épaules des enfants peut nuire à leurs performances scolaires. Une étude de l’université de Reading s’intéresse au stress ressenti par les jeunes élèves face à l’exigence de leurs parents, et montre l’importance pour ces derniers de trouver un juste milieu. Des attentes trop élevées, voire irréalistes, peuvent en effet conduire les enfants à se braquer et leurs résultats à dégringoler.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé les données d’une précédente étude réalisée en Allemagne et portant sur 3 530 adolescents de 11 à 16 ans, suivis sur une durée de cinq ans.

Spécifiquement, ils se sont intéressés à leurs résultats à des tests de mathématiques effectués sur toute la période, et à des questionnaires remplis par les parents, où ces derniers rapportaient leurs aspirations pour leurs enfants, à quel point ils voulaient qu’ils atteignent une certaine note, et s’ils pensaient que ce désir était réaliste. Les chercheurs ont ensuite comparé ces données à celles d’une étude américaine de deux ans, présentant de fortes des similitudes.

Le juste milieu

Le résultat de leurs analyses est à double tranchant. D’un côté, ils soulignent que les parents qui croient en leurs enfants et les poussent à obtenir les meilleures notes possibles aident leur progéniture à atteindre le premier rang de la classe. Les adolescents se montrent en moyenne plus performants lors des tests de mathématiques. Toutefois, des aspirations irréalistes et une pression démesurée peuvent avoir l’effet inverse.

« Lorsque nous nous sommes intéressés aux enfants de parents ayant des attentes trop importantes par rapport aux capacités de l’élève, nous avons constaté des résultats moins bons. Cela peut s’expliquer par le manque de confiance en soi, la frustration et la nervosité qui peut se développer chez ces enfants », note Kou Murayama, auteur principal de l’étude, interrogé par le journal The Guardian.

D’après cet expert, le message est clair. Les parents doivent tout faire pour soutenir les enfants, et pour les encourager sur le plan académique. Ils doivent leur montrer qu’ils souhaitent les voir réussir.

Néanmoins, les parents doivent aussi mesurer leur comportement, et ne pas trop en demander. Cela peut en effet conduire à créer chez les enfants un sentiment de rejet face à l’école et aux examens, et cela peut avoir un impact bien plus négatif sur les notes que s’ils n’avaient au contraire apporté aucun soutien.

 

http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/12912-Trop-de-pression-des-parents-peut-nuire-aux-resultats-scolaires

L’optimisme : une des clefs de la longévité ?

L’optimisme : une des clefs de la longévité ?

Si vous faites partie de celles et ceux qui ont plutôt tendance à voir le verre à moitié vide, plutôt qu’à moitié plein, la lecture de ce billet pourrait vous faire changer de « philosophie »… Grâce à des données recueillies auprès de plus de 70 000 personnes, une équipe de chercheurs, majoritairement de l’Ecole de médecine de l’Université de Boston (Etats-Unis), ont mis en lumière le rôle que pourrait jouer l’optimisme dans l’espérance de vie.

Les travaux sur la longévité exceptionnelle ont jusqu’à présent souvent porté sur les facteurs biomédicaux, alors que l’influence positive des facteurs psychosociaux sur un vieillissement en bonne santé est beaucoup plus floue. C’est en ce sens que Lewina O Lee et ses collègues ont souhaité étudier les possibles effets de l’optimisme sur la longévité. Ils ont posé l’hypothèse suivante : une personne (très) optimiste aurait une durée de vie plus longue. Pour la tester, ils se sont basés sur des données provenant de deux cohortes. La première concerne 69744 femmes de l’Etude sur la santé des infirmières et la seconde 1429 hommes de l’Etude sur le vieillissement normatif des anciens combattants. Les participants ont répondu à différentes questions sur leur santé en général, leurs habitudes alimentaires, leur consommation d’alcool, le tabagisme, mais aussi sur leur degré d’optimisme (en mode « auto-évaluation »). Il faut savoir que ce sont des enquêtes longitudinales de grande ampleur, puisqu’elles ont duré 10 ans (2004 à 2014) pour les femmes et 30 ans pour les hommes.

A partir de ces données et à l’aide de corrélations statistiques, les scientifiques ont ensuite comparé les niveaux d’optimisme des différents participants. Qu’ont-ils constaté ? Les personnes présentant les niveaux d’optimisme les plus élevés, par opposition aux plus faibles, avaient en moyenne, une espérance de vie de 11 à 15% plus longue et avaient 50 à 70% plus de chances de parvenir à ce que les auteurs estiment être une « longévité exceptionnelle », c’est-à-dire vivre au-delà de 85 ans. Avec les multiples croisements de facteurs possibles, précisons que ces résultats ont été confirmés après la prise en compte du statut socioéconomique, des problèmes de santé, de la dépression, du réseau social et des comportement liés à la santé (régime alimentaire, consommation d’alcool, tabagisme).

Selon Lewina Lee : « cette étude présente un grand intérêt pour la santé publique car elle suggère que l’optimisme est l’un des atouts psychosociaux les plus susceptibles de prolonger la durée de vie. […] Il est également intéressant de noter que l’optimisme peut être modifiable à l’aide de techniques ou de thérapies relativement simples. »

Les auteurs reconnaissent ne pas savoir comment l’optimisme pourrait « concrètement » prolonger la durée de vie. Ils citent d’autres recherches qui suggèrent que les personnes optimistes seraient plus à même de réguler leurs émotions et le stress. Les scientifiques considèrent également que les optimistes seraient plus susceptibles d’adopter des habitudes plus saines (pratique régulière d’un exercice physique, moins de tabagisme) qui pourraient prolonger leur durée de vie. Par ailleurs, une récente étude de R. Hernandez et ses collègues (2019), menée auprès de 3500 personnes (32 à 51 ans), vient aussi de montrer que les optimistes auraient un sommeil de meilleure qualité.

Au final, si les effets positifs de l’optimisme nécessitent encore des recherches, ce facteur psychosocial devient, selon les auteurs, de plus en plus évident.
Source :
 

Comment protéger ses yeux des écrans

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Pour palier les effets d’une lecture prolongée des écrans, et parce que La science a prouvé que les exercices de relaxation avaient une influence positive sur notre état psychique ainsi que notre métabolisme, voici quelques exercices de relaxation simples qui préserveront vos capacités oculaires et vous changeront la vie au travail. En les pratiquant au quotidien vous pourrez éviter les désagréments causés par le travail sur écran. Toutefois, en cas de trouble oculaire, la consultation d’un médecin devra rester une priorité. En effet, des problèmes pouvant sembler bénins cachent parfois une pathologie : plus son diagnostique sera précoce, plus il sera facile de la soigner.
 
Protéger ses yeux des écrans : les exercices
1 – Cillez des yeux pour éviter la sécheresse oculaire.
Assis ou debout, fermez puis rouvrez les yeux lentement (=ciller des yeux) une trentaine de fois d’affilée chaque heure.
« Cette alternance de fermeture et d’ouverture des paupières créé un effet stroboscopique : le cerveau reçoit une série de perceptions lumineuses normales, entrecoupée par de courtes périodes d’obscurité. Cette sensation procure un état de détente lié à la diminution du contrôle que nous activons inconsciemment en état d’éveil. » Pascal Barbey, « De bons yeux pour la vie. Entretenez vos yeux au quotidien ». Albin Michel.
 
2 – Regardez au loin toutes les 20mn, pour « Voir plus loin que le bout de votre nez ».
Cet exercice vous permettra d’entretenir votre faculté à changer de plan, car regarder de près est une fonctionnalité semblable à celle du focus d’un appareil photo. Si vous restez la plupart du temps en mode focus, la myopie ou la vision floue auront plus de chance de s’installer ou d’empirer avec les années. De même, lorsque vous marchez dans la rue ou à la campagne, prenez l’habitude de regarder le plus loin possible.
 
3 – Mouvements obliques
 
Pour maintenir la tonicité de vos muscles oculaires, ou lorsque vous ressentez de la fatigue, enchaînez les exercices suivants, en gardant toujours votre tête droite, sans la bouger : regardez d’abord à droite au maximum puis à gauche le plus loin possible, dix fois d’affilée. PUIS faites des mouvements obliques avec vos yeux en commençant par regarder en bas tout à droite pour les diriger vers le haut tout à gauche dix fois. Faites ensuite le même mouvement en commençant de l’autre côté (en bas tout à gauche pour porter votre regard dans un mouvement oblique tout en haut à droite)
 
PUIS Regardez tout en haut puis tout en bas, dix fois. Fait chaque jour, ce mouvement permet à vos paupières de garder leur tonicité, leur évitant ainsi de tomber .
 
 
Et enfin : faites des cercles avec vos yeux dans le sens des aiguilles d’une montre en essayant de rapprocher vos yeux au plus près de vos orbites oculaires, puis faites le même exercice, cette fois en allant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
 
4 – Tapotez le contour de vos yeux pour réactiver la circulation énergétique.
A la mi-journée, ou lorsque vous sentez que la fatigue commence à s’installer dans vos yeux, essayez cet exercice particulièrement agréable : tapotez le pourtour de vos yeux pendant 2 minutes à l’aide de votre index et majeur de chaque main.
 
Commencez par le bord interne de vos sourcils et faites un demi-cercle pour rejoindre vos tempes. Continuez vers le bas en tapotant le pourtour de la partie inférieure de vos orbites oculaires pour rejoindre l’arête de votre nez. Ne tracez pas un cercle complet afin d’éviter de tapoter vos yeux puis recommencez le circuit à partir des arêtes internes de vos sourcils. Vous allez ainsi activer des points d’acupuncture et libérer l’énergie stagnante.
Pour la petite histoire, le point d’acupuncture qui se trouve à l’angle interne de vos sourcils s’appelle « Zanzhu » en chinois (ou « amas de bambou » car les sourcils ressemblent à des feuilles de bambou"car les sourcils ressemblent à des feuilles de bambou entremêlées) , il a pour effet de traiter les problèmes de vue, de soulager les céphalées, etc.
 
5 – Le palming : pour reposer ses yeux et lutter contre les migraines oculaires.
Frottez lentement vos mains paume contre paume jusqu’à sentir une chaleur au creux de celles-ci. Creusez-les ensuite en forme de coque afin de recouvrir vos yeux sans les toucher (le but de la manoeuvre étant que vous ne voyiez plus la lumière passée). Restez ainsi les yeux ouverts pendant 3 à 5 minutes en fixant votre attention sur la sensation de chaleur qui irradie de vos mains et nourrit vos yeux d’une douce énergie.
 
On peut faire cet exercice en journée ou bien tous les soirs avant le coucher. Dans ce cas, pour être plus à l’aise, on pourra le faire assis, les coudes posés sur des coussins à même la table ce qui permettra de reposer les épaules et ménager votre nuque.
Les personnes sujettes aux migraines oculaires trouvent cet exercice miraculeux.
 
Avantages de ces exercices
– Relâcher les tensions accumulées pendant la journée vous permettra de ne pas vous endormir avec elle. Vous pouvez ainsi faire les exercices 3, 4 et 5 le soir avant de vous coucher.
 
– Les hyper sensoriels développent plus facilement une fatigue oculaire à l’usage des écrans. Ils auront ainsi tout intérêt à pratiquer plus souvent ces exercices, notamment le palming.
 
– Pour ceux qui ont une bonne vue, la pratique quotidienne de certains de ces exercices vous permettra de faire régulièrement des pauses et de laisser aux écrans le rôle pour lequel ils ont été créés : des outils de travail formidable et non des maîtres. « C’est quand on n’a pas le temps de prendre une pause qu’il faut en prendre une… » Anonyme
 
– Si vous pratiquez ces exercices en faisant des respirations ventrales, vous transformerez ces moments en vraies séances de méditation de pleine conscience.
 
Comme la médecine occidentale considère que le stress est à l’origine de plus de 70 % des maladies actuelles, l’état de relaxation induit par ces séances aura des effets bénéfiques sur d’autres aspects de votre vie et de votre santé. 
 
Source: thérapeutemagazine
 

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