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Comment rebondir après un échec ?

Ecole



Seuls ceux qui n'ont jamais connu d'échec ne peuvent comprendre ce que vous ressentez. Abattement, colère, tristesse... Et si ce n'est pas votre premier échec, c'est encore plus dur.

Mais la bonne nouvelle, c'est que vous n'êtes pas seul à vivre cela. "Il n’y a pratiquement jamais de parcours de vie sans échec, aime à dire Michel Giraud, ancien ministre du Travail, et directeur général de la Fondation de la Deuxième chance. Contrairement à une tendance culturellement trop répandue chez nous, il ne faut pas considérer l'échec comme un naufrage mais à l’inverse, comme une opportunité de rebond !" Rebondir, oui, mais comment ?

Attention à la perte d'estime de soi !

Le risque est de se laisser emporter par les émotions, très fortes, qui vous submergent. Le découragement, l'angoisse, et surtout, la perte de confiance en soi. "De toutes façons, je suis nulle"...
"En France, on a souvent tendance à confondre "avoir" et "être" : je n'ai pas le bac, donc je suis nul. Alors que je vaux beaucoup plus que cet échec !", fait remarquer le psychiatre Patrice Huerre.

La blessure d'amour propre peut être si vive, que certains en viennent presque à perdre toute estime d'eux-même, et jusqu'au goût de vivre. "J'ai raté mon bac avec 9,5, a écrit Khalid sur nos forums. Quelle agonie ! Le plus grave, c'est que tout mes amis l'ont eu sauf moi. Je préfère mourir que refaire une année !"
Autre réaction courante, la fuite : "De toutes façons, c'est nul ces études, je vais tout laisser tomber". On peut fuir dans les voyages lointains, les addictions, pour oublier, ou, après un échec amoureux, les aventures sentimentales à répétition.

Evidemment, ce sont de fausses pistes, qui ne vous permettront pas vraiment de rebondir parce que vous niez la blessure plutôt que de la soigner. "L'échec n'est pas à nier, confirme Isabelle Stoquelet-Dargent, psychologue. Il faut plutôt l'analyser, en tirer les éléments pour bâtir d'autres stratégies."

Analyser l'échec pour mieux le digérer

[Soyez franc avec vous-même : où sont les causes de cet échec ?]
Soyez franc avec vous-même : où sont les causes de cet échec ?
Laissez donc un peu de côté  vos émotions, et forcez-vous à raisonner. Imaginez votre échec devant vous, comme un objet extérieur, et tâchez de l'analyser.

Pour quelles raisons avez-vous échoué ? L'objectif que vous vous étiez fixé était-il trop élevé ? Aviez-vous le bon profil ? Etiez-vous réellement motivé ? Et avez-vous mis toutes les chances de votre côté ? Répondez franchement à toutes ses questions, soyez en vérité avec vous-mêmes. "En fait, j'avais fait ces études pour faire plaisir à mes parents, mais je ne les avais pas vraiment choisies, je n'ai jamais voulu être ingénieur, raconte Alice, en échec après deux ans de classes préparatoires aux grandes écoles.

Un gagnant est une personne qui sait choisir ses combats, vous diront tous les coachs. En matière d'études ou de vie professionnelle, il est donc capital de savoir si vous avez choisi la bonne orientation, c'est-à-dire celle qui vous motive et pour laquelle vous avez les compétences et les talents requis.

En tirer les bons enseignements

Il ne s'agit pas de vous accommoder de l'échec, mais d'en tirer toutes les leçons possibles pour l'avenir. En cas d'échec sentimental, ne mettez pas tous les torts sur l'autre, mais reconnaissez aussi vos manques et vos erreurs.

Sur le terrain professionnel ou étudiant, cernez bien les raisons qui vous ont fait échouer. Et tenez-en compte pour ne pas recommencer. "J'ai voulu mener de front mes études avec un travail à temps plein, mais c'était trop pour moi", reconnaît Laetiita qui a décidé cette année de consacrer plus de temps à l'étude. Ne vous contentez d'ailleurs pas de bonnes résolutions ("l'an prochain, c'est décidé, j'apprends mes cours dès le début'"), mais mettez en place des moyens concrets pour réussir. Emploi-du-temps, lecture, travail, nouvelles habitudes de vie... Pour partir en guerre, et être victorieux, mieux vaut avoir les bonnes armes !

Ne pas rester seul

Pour reprendre confiance en vous, il faut vous appuye sur vos points forts, vos qualités, vos succès antérieurs ou annexes. L'échec que vous venez de subir a tendance à tout recouvrir, mais peu à peu, il va prendre moins de place. Pour vous aider, repensez à ce que vous avez réussi jusque-là, aux qualités que votre entourage apprécie en vous....

L'idéal est de faire ce travail avec une personne extérieure, qui vous aidera à être objectif : un membre de votre famille, un ami, un conseiller d'orientation... "Il ne faut pas rester seul face à son échec, insiste Isabelle Stoquelet-Dargent. Au contraire, certaines personnes peuvent vraiment vous aider à vous relever en portant sur vous un regard qui vous voit dans votre globalité, avec tout votre potentiel".

Construire un nouveau projet

[A partir de l'analyse de votre échec et de votre personnalité, vous allez bâtir un nouveau projet.]
A partir de l'analyse de votre échec et de votre personnalité, vous allez bâtir un nouveau projet.
Comme l'étincelle qui relance le moteur, il suffit souvent de ce coup de projecteur sur vos qualités et vos points forts pour vous remettre en route. L'analyse de votre échec conjugué à ce bilan vous indique de nouvelles voies à suivre : vous pouvez ainsi bâtir un nouveau projet, plus en phase avec votre personnalité, et donc plus motivant.

"Après mon échec en médecine, raconte Tiphaine, j'ai fait un bilan avec un conseiller d'orientation. Je me suis rendu compte que j'avais finalement peu de goût pour les matières scientifiques, mais une forte motivation sociale. Je me suis réorientée vers un DUT Carrières sociales et je pense passer le concours d'assistante sociale, un métier qui me convient finalement bien mieux que la médecine, même si au départ, il n'y avait que cela qui m'attirait".

Elargir son horizon

Les parcours réussis sont souvent ainsi semés d'échecs... Interrogez quelques seniors aujourd'hui épanouis dans leur travail. Vous serez étonnés par la sinuosité de leur itinéraire ! En matière professionnelle, il vous faut cependant élargir vos horizons et vous dire une fois pour toutes qu'il n'y a pas qu'un métier fait pour vous, mais des quantités de métiers ou secteurs professionnels qui pourraient vous convenir !

De même sur le plan amoureux : il n'y a pas qu'une personne faite pour vous ! Après un échec sentimental, évitez cependant de repartir tout de suite en conquête, car en la matière, la réussite n'est jamais assurée et un nouvel échec pourrait vous faire replonger.  Fixez-vous plutôt de petits objectifs de réussite, très faciles à atteindre. Organisez un voyage, refaites la déco de votre chambre, refaites du sport... Et félicitez-vous lorsque vous avez réussi !

Vous relancez ainsi la spirale de la réussite, et vous rechargez  les batteries de la confiance en vous pour aborder votre nouveau projet de vie.

 

http://www.reussirmavie.net/Comment-rebondir-apres-un-echec_a953.html

 

Conseils pour réussir ses études supérieures !

Ensignant

La plupart des bacheliers décidés sur l’établissement où ils vont poursuivre leurs études ou alors ils vont décider dans les prochains jours.

Une peur de l’inconnu accompagne en général cette période et des questions sont posées ici et là :

Est ce que c’est difficile ? Comment je dois réviser ? Comment marche le système ? …

Aujourd’hui nous n’allons pas répondre à ces questions, parce que les études supérieures est un monde si différent des études secondaires que même plusieurs articles ne seront pas suffisants pour donner une image fiable de ce monde.

Mais il faut se mettre dans la tête une idée essentielle :

L’objectif principal des études supérieures c’est de permettre à l’étudiant de travailler une fois diplômé.

Donc on peut conclure que l’objectif n’est pas d’avoir les meilleures notes ou le meilleur classement (sauf pour les filières style classes prépa qui ne rentrent pas dans cette catégorie). Le but principal est donc de se préparer à intégrer le monde du travail après, 2 ans, 3 ans, 5 ans voire plus !

Au lieu de vous servir un long discours, je préfère citer des conseils donnée par Anas El Filali, médecin de formation et entrepreneur.

  1. Faites votre formation universitaire, mais faites pleins d’autres choses à coté : créez vous un nom, une expérience durant votre présence à l’université. En s’engageant dans des associations, en faisant du bénévolat, en créant vos réseaux de contacts, et en attendant votre tour.
  2. N’hésitez pas aussi à proposer vos services aux entreprises (les plus petites) pour un stage non rémunéré et prenez la chose au sérieux : vous trouverez toujours une porte qui s’ouvrira ici et là surtout dans les petites entreprises.
  3. Et surtout n’attendez rien de personne, même pas un Merci. Ce que vous ferez, vous le faites pour vous avant tout.
  4. Le rêve serait que vous trouviez du travail à coté de Maman et Papa, mais n’hésitez pas à sillonner le pays pour vous retrouver : En parlant à un haut responsable de la ville de Dakhla, il me racontait comment les usines de sa ville peinaient à trouver des employés.
  5. Au fait, ce que vous ferez durant tout votre cursus, c’est d’apporter de la valeur à VOTRE PERSONNE, à travers un diplôme, un engagement social et une expérience.
  6. Et puis, sortez des sentiers battus, ne suivez pas les autres : On ne vous remarquera qu’en vous démarquant des autres.

Les conseils de Dr El Filali sont très pertinents, et je vous recommande personnellement de les suivre ! Certes la chose la plus facile dans les études universitaires c’est d’étudier seulement, mais en sortant des sentiers battus, vous gagnez plus !

 

 

http://www.9rayti.com/conseils-pour-reussir-ses-etudes-superieures

Comment quitter le Maroc pour trouver un meilleur emploi à l’étranger ?

 

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La plupart des Marocains rêvent de travailler à l’étranger. Selon une étude de l’association marocaine d’études et de recherches sur les migrations (AMERM)  ce sont bels et biens 42 % des Marocains qui veulent partir à l’étranger. Cependant, la migration n’est plus une simple décision, mais bien un réel projet migratoire.

Selon la même étude, sur l’ensemble de personnes sondées, seules 9 % ont un réel potentiel d’émigration. Le potentiel à migrer étant disponible chez les personnes ayant un niveau élevé et moyen d’éducation. Cette personne doit bénéficier de plusieurs ressources (information, documents de voyages, ressources financières ) qui facilitent la réalisation du projet migratoire.

1- Cibler un pays qui a une politique sérieuse et claire d’immigration

Si vous avez décidé d’un coup de tête de vous expatrier à l’étranger et vous ne savez pas encore quels est le pays à choisir pour commencer votre nouvelle vie. Je vous propose de regarder cette liste des 5 pays où l’on vit le mieux quand on est expatriés. En 2014, la banque HSBC a effectué une étude sur les pays les plus agréables lorsque l’on est expatrié. C’est finalement la Suisse qui monte sur la première marche du podium avec un score de 0,55, les critères n’étant le “mode de vie équilibré” ainsi que les salaires élevés et les perspectives professionnelles.

2- Se renseigner au maximum sur le pays voulu

Il faut tout d’abord se renseigner sur le pays en général : que cela soit au niveau de sa situation économique, sa demande en main d’œuvre, le niveau de vie, le pouvoir d’achat, le prix de l’immobilier… Votre job à l’étranger doit vous permettre de vivre sur place sans dépenser l’intégralité de votre salaire. Avant de partir, informez-vous sur ce que vous allez gagner et sur le coût de la vie dans votre pays d’accueil.
 Vous l’avez compris, Internet est un atout de taille dans vos recherches. Il faut donc utiliser tous les moyens pour trouver les informations pertinentes par rapport au pays choisi : sur les moteurs de recherches, forum, groupes facebook....
 Ensuite, il faut se renseigner sur les démarches de visas pour savoir à vous attendre lorsque vous allez effectuer les démarches pour l’immigration. Il existe certains pays qui demandent certains formulaires ou certaines conditions pour obtenir le visa.

3- Préparer un projet professionnel réaliste et enthousiasmant

S’expatrier, c’est se confronter à l’inconnu : il faut se poser les bonnes questions. Et même si vous croyez avoir pensé à tout, il reste une part d’imprévu. Une bonne préparation est souvent une garantie contre des désillusions.

Il faut donc être au clair avec :
– le type de poste que vous voulez occuper
– le type d’entreprise
– le secteur d’activité
– le niveau de salaire
– la ville dans laquelle vous voulez travailler
– a quelle échéance, vous voulez occuper ce poste
 Plus cet objectif sera précis et enthousiasmant pour vous, plus votre communication autour de votre projet sera claire et la mise en place de votre plan d’action aussi !

4- Apprendre la langue du pays

Avant de choisir le pays dans lequel vous souhaitez vous installer, il vous faudra apprendre quelques rudiments de la langue locale. Même si l’anglais est un atout pour une entreprise internationale, vous aurez néanmoins besoin de comprendre ce dont on parle autour de vous.

Le type d’emploi que vous recherchez déterminera alors le niveau des compétences linguistiques dont vous aurez effectivement besoin. Dans tous les cas, vous allez devoir montrer à votre futur employeur votre motivation à apprendre la langue locale.

Enfin, sachez rédiger votre Cv dans la langue et dans les règles du pays. Un Cv américain n’est pas un Cv français traduit en anglais !

5- Impliquer votre réseau dans la recherche

Faites vos recherche à la fois en ligne et « dans la vraie vie.» Lorsque vous décidez sur un pays, il faut en parler à vos amis, à votre famille, à vos collègues, à vos voisins. Bref à tout le monde dans votre réseau. Il ya des chances qu’ils connaissent quelqu’un qui peut vous aider. Votre objectif est d’avoir un réseau de plus en plus qualifié. C’est l’image de l’entonnoir : au début, vous connaissez beaucoup de personnes, mais peu d’entre elles pourraient vous aider. Puis, petit à petit, vous allez affiner et filtrer les personnes que vous allez rencontrer et serez plus efficace.

6- Se faire accompagner par des professionnels

Trouver un travail motivant à l’étranger demande d’abord de l’audace et une profonde envie mais également de maitriser les techniques et garder la motivation! Alors, n’hésitez pas à vous faire accompagner dans ce projet.

De nombreux organismes destinés à aider et renseigner les candidats à l’expatriation existent, ne les négligez pas ! Un certain nombre d’organismes – qui sont aussi des sources sûres d’information - existent dans de nombreux pays pour vous aider à trouver un emploi ou un stage à l’étranger :

Forem (http://www.leforem.be/): service public wallon sur l’emploi et la formation. La rubrique “Consulter les offres d’emploi à l’étranger” () regroupe les offres d’emploi à l’étranger ;
 BIJOB (http://www.bijob.be): « BIJOB, le Brussels International Jobcentre, est le service de placement international du service public de l’emploi bruxellois, ACTIRIS. La mission principale de BIJOB est de promouvoir la mobilité internationale à partir de et vers la Région bruxelloise. » Les offres d’emploi à l’étranger se trouvent à la rubrique : « Offres d’emploi à l’étranger »
Réseau EURES (http://ec.europa.eu/eures/) : portail européen sur la mobilité de l’emploi. Il concerne les demandeurs d’emploi, les employeurs et les personnes à la recherche de possibilités d’éducation et de formation. Comprenant plusieurs centaines de miliers d’ offres d’emploi, le site permet une sélection par secteur d’activité, par pays et par région.
 AMSEP (http://www.wapes.org). L’AMSEP est l’Association Mondiale des Services d’Emploi Publics. Les membres sont des Services Publics d’Emploi du monde entier. En 2012, c’est un réseau de 89 Services Publics d’Emploi, concernant 86 pays.

Côté petites annonces, les sources d’informations sont diverses : sites internet, réseau, presse et Pôle emploi international. Quelques sites généralistes pour trouver un emploi à l’étranger :
 - Monster
 - Career Builder
 - Michael Page
- Pôle emploi international
 - Emploi Expat

 

 

J'ai eu 21/20 au bac : peu importe le milieu social, c'est le travail qui prime


Bac : qui est Myriam Bourhail, la meilleure... par francetvinfo

 

J'ai eu des profs géniaux.

Myriam Bourhail a eu 21,03 de moyenne au bac S. Une grande surprise pour elle.

J'ai 18 ans et j'ai eu 21,03 de moyenne au bac scientifique. Je suis agréablement surprise, et pour tout dire, plutôt étonnée. Non pas que j'avais de mauvaises notes pendant l'année, mais je tournais autour de 18 ou 19 de moyenne.

21, c'est vraiment surprenant. J'ai eu une mention très bien avec les félicitations du jury, même si je crois que le terme n'existe plus vraiment.

Mes notes ? 20, 19, 18…

J'ai eu 20 dans les matières scientifiques, en anglais, espagnol, grec et français. En philo, j'ai eu 19, 18 en histoire… et ma plus mauvaise note, c'est en sport que je l'ai obtenue : j'ai eu 15.

En philo, j'ai pris la dissertation "Vivons-nous pour être heureux ?". Alors évidemment, j'ai parlé du bonheur, que ce n'était pas une fin en soi, mais une étape. J'ai philosophé, comme dans la vie de tous les jours, en fait. C'était effectivement une question que je m'étais déjà posée.

Je suis fille d'ouvrier mais ...

Mon papa est ouvrier et ma mère ne travaille pas. Ils sont évidemment très fiers de moi et on va fêter ça tous ensemble bientôt. Mais quand les médias parlent de la "bachelière issue d'un milieu ouvrier", je trouve ça réducteur. Pourquoi toujours mettre en avant le milieu social, et pas le travail ? C'est plutôt ça qui prime.

J'ai travaillé dur tout au long de l'année, je n'ai pas révisé au dernier moment pendant une semaine de façon intensive. J'ai fait énormément d'exercices avec les professeurs, de nombreuses relectures…

Myriam bourhail

J'ai quand même réussi à profiter de mon année

Mais n'allez pas croire que je sois restée enfermée dans ma chambre pour bachoter ! J'ai aussi eu le temps de profiter, en sortant avec des amis, et avec ma famille.

Mes camarades de classe sont très contents pour moi. Ils m'ont beaucoup félicitée. Il n'y a aucune jalousie. Avoir de bonnes notes durant ma scolarité n'a jamais été difficile dans mon cas. Cette année, on s'est tous soutenus.

J'ai eu des profs exceptionnels

Cette réussite, je la dois à mon travail, oui, mais aussi aux professeurs de mon établissement, le lycée européen Villers-Cotterêts. Ils ont été très bons pour nous préparer. Ils ont toujours été là, très impliqués, à faire des heures supplémentaires, notamment mon principal, qui est passionné par son travail

C'est beau à voir.

Maintenant, j'aimerais bien tenter médecine. J'aimerais bien devenir chirurgien ou pédiatre. J'ai toujours voulu faire ça.

 

 

Propos recueillis par Audrey Kucinskas

 

La carte mentale comme outil pédagogique

Haut de la page Ma définition de la carte mentale


Communication ecrite

 

La carte mentale (mind map) est un outil qui m'aide à cerner et à organiser tout ce que je sais déjà sur un sujet. Elle représente la manière dont je pense. Grâce à cette structure, je visualise et je contrôle mieux mon sujet.

Je peux placer beaucoup d'idées dans un très petit espace et avoir à la fois une vision détaillée et une vision d'ensemble de mon sujet.

Haut de la page Avantages de la carte mentale


La carte mentale permet :

  • de faire travailler les deux côtés du cerveau selon son inventeur Tony Buzan :
        le côté gauche associé à la logique | le côté droit associé à l'imagination;
  • de comprendre plus rapidement une situation;
  • d'établir des liens entre des idées;
  • de capter promptement des infos par l'ajout de couleurs, d'illustrations;
  • de mémoriser et de restituer l'info, plus particulièrement avant et pendant des examens;
  • de travailler en équipe, à l'aide d'une carte que tous comprennent;
  • de passer à l'action, par exemple pour un projet, etc.

Une carte mentale est en constante évolution. Le lendemain, sa structure pourrait être réaménagée et/ou enrichie de nouvelles idées qui viennent constamment à l'esprit.


 

Haut de la page Usages de la carte mentale


La carte mentale est un outil utile dans toutes sortes d'occasions, du primaire à l'université et toute la vie durant. Il est possible de trouver tout le temps de nouvelles raisons d'utiliser ce type de schéma.

Des profs s'en servent pour présenter une leçon, la clarifier, ou pour s'assurer que les élèves vont retenir l'essentiel (exemple : Maghreb).

Voir des exemples utiles durant les études dans la Galerie de cartes mentales.

Haut de la page Étapes de création


OPTIONNEL : Seul (ou en équipe), je commence par faire un remue-méninges (brainstorming) et je choisis ensuite les mots-clés les plus pertinents pour préciser mon sujet. Je fais une liste des idées principales et des idées secondaires...

...ou je peux immédiatement commencer à fabriquer une carte mentale.

Je place ma question de recherche ou mon idée centrale au milieu de la carte autour de laquelle j'inscris des idées principales. Celles-ci forment des branches dans lesquelles j'inscris des mots-clés ou de courtes phrases, comme elles me viennent à l'esprit. Les branches se dédoublent ou se multiplient en branches secondaires, tertiaires, etc.

IMAGES : Je dessine ou j'insère une image au centre de la carte afin de la reconnaître rapidement parmi les autres cartes. Au besoin et si j'ai le temps, j'ajoute des images dans les branches qui m'aideront à capter plus rapidement des idées.

Au fur et à mesure de l'avancement de ma carte, je développe de nouvelles idées, je fais des liens entre des idées, je mets de l'ordre dans ma structure.

Si les idées prennent du temps à venir, je donne un petit coup de pouce à mon cerveau en lui posant les questions suivantes : Quoi ? Qui ? (avec qui ? pour qui ?) Où ? Quand ? Pourquoi ? Comment ? Combien ? (exemple : Collecte de fonds).

Si je suis à court d'idées sur mon sujet, j'utilise un thésaurus pour enrichir ma réflexion.

Ma carte mentale sera plus ou moins élaborée si elle est :

  • réalisée au début de mon travail, pour mieux cerner le sujet;
  • modifiée ultérieurement, pour visualiser et réorganiser les idées suite à mes découvertes;
  • révisée pour la production finale, pour décrire les champs des concepts couverts.

ORDRE DE LECTURE : Si beaucoup de cartes mentales se lisent dans le sens des aiguilles d'une montre, d'autres sont découpées en deux parties, et se lisent d'abord à droite, ensuite à gauche.

Mon prof ou toute autre personne à qui je remets ma carte ne devrait pas avoir à la défricher : la structure est claire, les couleurs facilitent la compréhension, les images sont pertinentes, la carte n'est pas trop chargée et l'ensemble est facilement lisible, esthétique et attrayant.

Haut de la page Une carte réalisée à la main ou avec un logiciel ?


Je peux faire une carte mentale :

  • à la main, sur une feuille de papier placée à l'horizontale, avec des crayons de couleur;
  • avec des post-it sur une affiche;
  • à l'ordinateur avec un logiciel de dessin;
  • avec un logiciel dédié (mindmapping software) gratuit ou payant téléchargé d'Internet (liste de logiciels dans Wikipedia)

Avantages des cartes dessinées à la main :

  • prise de notes : durant un cours, une rencontre; au besoin, je refais une carte plus propre à partir de la première carte;
  • meilleure mémorisation : plus de temps pour réfléchir quand j'écris ou dessine;
  • créativité et originalité : à partir d'un même sujet, mes camarades vont réaliser des cartes très différentes;
  • symboles et codes : ceux que l'on dessine sont uniques alors que ceux fournis avec les logiciels se ressemblent;
  • souplesse : certaines belles cartes donnent une impression de souplesse alors que celles exécutées à l'ordi paraissent plus "rigides";
  • reflet de la personnalité et d'un talent certain pour le dessin dans certains cas.

Je choisis de faire une carte à la main si l'info ne nécessite pas d'être modifiée (exemple : Sang) ou si mon objectif consiste à fabriquer une carte artistique.

Si les cartes réalisées à la main sont parfois très créatives, elles ne sont pas pour autant faciles à comprendre par quelqu'un d'autre que l'auteur.

INCONVÉNIENT PRINCIPAL des cartes dessinées : on doit refaire la carte en tout ou en partie si on veut la modifier. Une bonne idée serait de faire d'abord une carte avec un logiciel afin de pouvoir la réorganiser, puis la dessiner ensuite pour le plaisir de la rendre plus attrayante et plus originale.

Les belles cartes exécutées à la main mettent l'accent sur le design des lignes, sur une écriture nette et à l'horizontale, sur la qualité des dessins en 3D.

Avantages des cartes réalisées à l'ordinateur avec un logiciel dédié :

 

http://www.ebsi.umontreal.ca/jetrouve/projet/cartes_m/mental_1.htm

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